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Qu'est-ce qui, dans morceaux des Lettres Persanes que vous avez lus, vous a paru le plus intéressant ?
Qu'est-ce qui, dans morceaux des Lettres Persanes que vous avez lus, vous a paru le plus intéressant ? Les Lettres Persanes sont principalement intéressantes pour un lecteur moderne, par la peinture des mœurs, par la satire religieuse et politique, et par les principes généraux de gouvernement que l'auteur y développe. On s'efforcera donc de grouper sous ces trois rubriques les morceaux de cet ouvrage que l'on connaît. Introduction : Les Lettres Persanes, parues en 1721, eurent un succès considé...
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« À la limite, l'homme le plus civilisé d'aujourd'hui pourrait être illettré » a dit Georges Gusdorf. Vous montrerez cependant que l'homme moderne ne peut se passer de la littérature.
Analyse du sujet et problématisation : Georges Gusdorf met en doute l'intérêt de la littérature pour l'homme. Son propos « à la limite, l'homme le plus civilisé d'aujourd'hui pourrait être illettré » tend à disqualifier l'appartenance de la littérature à la civilisation moderne. (illettré ne doit pas être ici entendu au sens littéral de « ne sachant pas lire » mais dans le sens figuré de « ne connaissant pas la littérature ») La littérature n'est plus, selon lui, ce qui permet de civiliser l'hom...
- Jacques GRÉVIN (1538-1570) - Plus je suis tourmenté...
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Marguerite Yourcenar a imaginé les mémoires qu'aurait pu écrire l'empereur Hadrien (empereur romain du IIe siècle après Jésus-Christ). Il écrit : « Comme tout le monde, je n'ai à mon service que trois moyens d'évaluer l'existence humaine : l'étude de soi, la plus difficile et la plus dangereuse, mais aussi la plus féconde des méthodes ; l'observation des hommes, qui s'arrangent le plus souvent pour nous cacher leurs secrets ou pour nous faire croire qu'ils en ont ; les livres, avec les
Marguerite Yourcenar a imaginé les mémoires qu'aurait pu écrire l'empereur Hadrien (empereur romain du IIe siècle après Jésus-Christ). Il écrit : « Comme tout le monde, je n'ai à mon service que trois moyens d'évaluer l'existence humaine : l'étude de soi, la plus difficile et la plus dangereuse, mais aussi la plus féconde des méthodes ; l'observation des hommes, qui s'arrangent le plus souvent pour nous cacher leurs secrets ou pour nous faire croire qu'ils en ont ; les livres, avec les erreurs p...
- Selon un critique contemporain, dans le théâtre de Marivaux, on assiste à l'affrontement théâtral de deux langues au moins : la langue des maîtres, dans son élégante simplicité ; la langue plus bariolée, souvent impropre mais plus vivante des valets. ?
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Les grandes oeuvres littéraires du passé sont aussi aptes - sinon plus - que celles écrites aujourd'hui en lien direct avec l'actualité à mettre en question le monde dans lequel nous vivons. Partagez-vous cette opinion ?
Les grandes oeuvres littéraires du passé sont aussi aptes - sinon plus - que celles écrites aujourd'hui en lien direct avec l'actualité à mettre en question le monde dans lequel nous vivons. Partagez-vous cette opinion ? Il peut sembler provocant d'affirmer que des oeuvres écrites à une époque antérieure à la nôtre peuvent mieux parler de notre monde que celles qui sont nées au coeur de l'actualité. Cette affirmation pose la question du type de regard qui doit être posé sur l'actualité : n'est-i...
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Alors qu'il cherchait vainement un éditeur pour A la recherche du temps perdu, Proust écrivait en 1913, à la Nouvelle Revue française : Le point de vue métaphysique et moral prédomine partout dans l'oeuvre. Quelles réflexions vous inspire cette affirmation, si vous considérez plus particulièrement Du côté de chez Swann, qui parut à la fin de cette même année ?
Alors qu\'il cherchait vainement un éditeur pour A la recherche du temps perdu, Proust écrivait en 1913, à la Nouvelle Revue française : Le point de vue métaphysique et moral prédomine partout dans l\'oeuvre. Quelles réflexions vous inspire cette affirmation, si vous considérez plus particulièrement Du côté de chez Swann, qui parut à la fin de cette même année ? Pourquoi cette affirmation? L'écrivain accumule pendant les premiers mois de 1913 les démarches auprès des éditeurs pour faire publier...
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Pour présenter un recueil des plus beaux poèmes français, le critique littéraire Robert Kanters écrit : « Ce n'est pas un livre comme un autre dont vous venez de tourner les premières pages. C'est un jardin qui vous accueille, si vous le voulez, peuplé d'amis connus et inconnus. » Quel est le meilleur des « amis » que vous reconnaîtriez dans ce «jardin » des poètes ? Faites-nous comprendre et partager votre amitié. ?
Introduction Au jardin des poètes, le meilleur ami peut être chaque jour différent ; ce n'est pas inconstance mais besoin d'enrichissement et de renouvellement. Pourtant, Apollinaire est sans doute celui que j'aime à rencontrer le plus souvent (1). I. — Pour sa personnalité complexe. 1° Explicable par son ascendance slave et italienne, et la diversité des lieux qui l'ont marqué : la Méditerranée, l'Ardenne et le Rhin, Paris. 2° Nourrie de sa curiosité et de son appétit de nouveauté (diversité de...
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« Nous autres, écrivains du xxe siècle, ne serons plus jamais seuls. Nous devons savoir au contraire que nous ne pouvons nous évader de la misère commune, et que notre seule justification, s'il en est une, est de parler, dans la mesure de nos moyens, pour ceux qui ne peuvent le faire... Il n'y a pas pour l'artiste de bourreaux privilégiés... » A. CAMUS, Discours de Suède. La littérature a-t-elle attendu le XXe siècle pour lutter contre les bourreaux ? Vous avez lu des textes qui prouve
« Nous autres, écrivains du XXe siècle, ne serons plus jamais seuls. Nous devons savoir au contraire que nous ne pouvons nous évader de la misère commune, et que notre seule justification, s'il en est une, est de parler, dans la mesure de nos moyens, pour ceux qui ne peuvent le faire... Il n'y a pas pour l'artiste de bourreaux privilégiés... » A. CAMUS, Discours de Suède. La littérature a-t-elle attendu le XXe siècle pour lutter contre les bourreaux ? Vous avez lu des textes qui prouvent le cont...
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« Nous autres, écrivains du XXe siècle, ne serons plus jamais seuls. Nous devons savoir au contraire que nous ne pouvons nous évader de la misère commune, et que notre seule justification, s'il en est une, est de parler, dans la mesure de nos moyens, pour ceux qui ne peuvent le faire... Il n'y a pas pour l'artiste de bourreaux privilégiés... » A. Camus, Discours de Suède. La littérature a-t-elle attendu le XXe siècle pour lutter contre les bourreaux? Vous avez lu des textes qui prouven
« Nous autres, écrivains du XXe siècle, ne serons plus jamais seuls. Nous devons savoir au contraire que nous ne pouvons nous évader de la misère commune, et que notre seule justification, s'il en est une, est de parler, dans la mesure de nos moyens, pour ceux qui ne peuvent le faire... Il n'y a pas pour l'artiste de bourreaux privilégiés... » A. Camus, Discours de Suède. La littérature a-t-elle attendu le XXe siècle pour lutter contre les bourreaux? Vous avez lu des textes qui prouvent le contr...
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Montaigne écrit, dans le livre II de ses Essais : « Je n'ai pas plus fait mon livre que mon livre ne m'a fait. » Pensez-vous que l'on puisse définir ainsi toute entreprise autobiographique ?
Analyse du sujet et problématisation Ce sujet invite à réfléchir sur la définition de l'autobiographie que donne Montaigne et à la discuter. Cette définition, construite sur un chiasme, montre que l'entreprise autobiographique est une construction de soi : en écrivant son livre, l'autobiographe approfondit sa connaissance de soi et construit sa personnalité. Il y a un effet rétroactif de l'écriture autobiographique sur l'autobiographe. Mais en disant que son livre l' « a fait » Montaigne montre...
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On a pu dire que le théâtre était parmi les genres littéraires le plus conventionnel. Quelles sont ces conventions et pourquoi le spectateur s'y plie-t-il volontiers et accepte-t-il sur scène les fantaisies les plus débridées qu'il refuserait dans la vie réelle ?
Analyse du sujet et problématisation Ce sujet invite à une double réflexion : d'une part il implique que l'on définisse en quoi le théâtre est un genre « conventionnel » et d'autre part, il appelle à expliquer la soumission du spectateur à ces conventions et à leurs conséquences ( parfois le spectateur assiste à des scènes qu'il condamnerait dans la vie réelle). Le terme « conventionnel » est ici ambigu : il présente le théâtre comme un genre littéraire fondé sur des conventions mais cet adjecti...
- Analysant la complexité de la pensée de Camus sur la religion, Marcel Mélançon conclut : La position la plus honnête (...) est certainement celle qui prend la pensée de Camus là où elle s'est arrêtée : entre le OUI et le NON. On ne peut pas dire qu'il soit athée, puisqu'il a le sens du sacré, on ne peut pas non plus affirmer qu'il soit chrétien puisqu'il l'a refusé. Expliquez et critiquez cette réflexion ?
- « C'est propre la tragédie. (...) Et puis surtout c'est reposant la tragédie, parce qu'on sait qu'il n'y a plus d'espoir, le sale espoir ; qu'on est pris, qu'on est pris comme un rat, avec tout le ciel sur notre dos, et qu'on n'a plus qu'à crier, pas à gémir, non, pas à se plaindre, - à gueuler à pleine voix ce qu'on avait à dire, qu'on avait jamais dit et qu'on ne savait peut-être même pas encore ». Dans quelles mesures cette définition de la tragédie correspond-elle à Phèdre de Racin
- Que pensez-vous de ce jugement porté en 1859 par Baudelaire sur le réalisme : « Dans ces derniers temps nous avons entendu dire de mille manières différentes : « Copiez la nature; ne copiez que la nature. Il n'y a « pas de plus grande jouissance ni de plus beau triomphe « qu'une copie excellente de la nature. » Et cette doctrine, ennemie de l'art, prétendait être appliquée non seulement à la peinture, mais à tous les arts, même au roman, même à la poésie. A ces doctrinaires si satisfai
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On a pu dire que le théâtre était parmi les genres littéraires, le plus conventionnel. Après avoir précisé quelles sont les conventions essentielles que le théâtre impose, vous chercherez les raisons pour lesquelles, selon vous, le spectateur se soumet volontiers à ces conventions et accepte sur scène les fantaisies les plus débridées qu'il refuserait dans la vie réelle ?
Analyse du sujet et problématisation Ce sujet invite à une double réflexion : d'une part il implique que l'on définisse en quoi le théâtre est un genre « conventionnel » et d'autre part, il appelle à expliquer la soumission du spectateur à ces conventions et à leurs conséquences ( parfois le spectateur assiste à des scènes qu'il condamnerait dans la vie réelle). Le terme « conventionnel » est ici ambigu : il présente le théâtre comme un genre littéraire fondé sur des conventions mais cet adjecti...
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« Les hommes ont toujours aimé lire des histoires, dont ils savaient qu'elles étaient feintes, parce qu'ils en attendaient une vérité plus intime, plus vaste, plus proche de leur coeur que la vérité dite historique ». De quelle vérité l'oeuvre littéraire, malgré son caractère fictif, peut être l'expression ?
Vérités à portée universelle ? Y a-t-il une vérité ? => Comment le récit littéraire, la fiction, parvient à argumenter, à convaincre, à faire passer ses idées comme vraies ? Par le dialogue mais aussi la correspondance et surtout l'essai, les auteurs ont souvent tenté de présenter et d'argumenter ce qui est, pour eux, une vérité, leur avis. Toutefois, ces genres restent ardus et donc ne peuvent toucher tout le monde. C'est pourquoi de nombreux auteurs ont recourt à la fiction : I- L'intérêt de l...
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La Bruyere trouvait le caractère de Tartuffe outré et invraisemblable. Il a refait le portrait de l'hypocrite dans Onuphre. Vous comparerez les deux personnages et vous direz lequel vous semble plus vrai, plus vivant, plus dramatique ?
La Bruyère a refait le portrait de l'hypocrite, déjà tracé par Molière. L'intention de critiquer est manifeste : Tartuffe et Onuphre s'opposent trait pour trait. Tartuffe lui semble outré et invraisemblable. Voyons qui a raison du moraliste ou du poète dramatique. I. Certaines exagérations s'expliquent par les nécessités du théâtre. 1. La scène en effet a ses exigences. Elle demande des traits accentués (optique théâtrale). Onuphre qui est discret, adroit, qui vient à ses fins sans se donner la...
- L'écrivain contemporain, Claude Roy écrit dans Défense de le Littérature (1968) : Certains esprits refusent le roman. Ils y voient une amusette, un gaspillage de force. Ils trouvent la vie (ou l'Histoire) plus riche en histoire, la science plus excitante et que la philosophie donne mieux à penser. Vous direz, en vous appuyant sur les textes du corpus, sur les romans que vous avez étudiez et sur vos lectures personnelles ce que vous pensez de ce jugement sur les romans rapporté par Cla
- Commentez cette page d'Albert Camus: « L'art formel et l'art réaliste sont des notions absurdes. Aucun art ne peut refuser absolument le réel. La Gorgone est sans doute une créature purement imaginaire; son mufle et les serpents qui la couronnent sont dans la nature. Le formalisme peut parvenir à se vider de plus en plus de contenu réel, mais une limite l'attend toujours. Même la géométrie pure où aboutit parfois la peinture abstraite demande encore au monde extérieur sa couleur et ses
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Les plus désespérés sont les chants les plus beaux./Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots écrit Alfred de Musset (1810-1857) dans sa Nuit de mai. Commentez et discutez cette affirmation en vous appuyant sur le corpus et sur les poèmes que vous connaissez. Pensez-vous que le poète soit condamné à l'incompréhension et que la source de la poésie se trouve le plus souvent dans la souffrance ?
Introduction. Depuis le romantisme, non seulement bien des oeuvres poétiques sont consacrées à la souffrance, mais encore beaucoup de poètes vont jusqu'à croire qu'elle est par excellence la source de l'inspiration : « Les plus désespérés sont les chants les plus beaux Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. » I. La théorie romantique de la souffrance, notamment chez Musset. 1. D'abord un problème de culture, ou plutôt d e réaction contre cette culture. Musset souffre — comme les aut...
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - Afin qu'amour-oiseau ne soit plus si volage
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qu'est-ce qui est plus égoiste que la paresse ?
« Qu'est ce qui est plus égoïste que la paresse ? » se demande Henri Michaux. Vous expliquerez et discuterez cette remarque en vous appuyant sur le corpus, mais sans vous y limiter.
- Jacques GRÉVIN (1538-1570) - Ce n'est plus moy que veult faire ...
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- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Epigrammes) - Il ne me faut plus qu'un air de flûte
- Jean-Baptiste CHASSIGNET (1571-1635) - Nous n'entrons point d'un pas plus avant en la vie
- Béroalde de VERVILLE (1556-1626) - Mon sang est tout gelé, je n'ai plus dans le coeur
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - Vos attraits n'ont plus rien que l'épée et la cape
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On ne travaille plus là où l'on vit; on ne vit plus là où l'on travaille (Antoine Prost). Qu'en pensez-vous ?
Selon Antoine Prost, « on ne travaille plus là où Von vit ; on ne vit plus là où l'on travaille ». Cette différenciation des espaces du travail et de la vie inhérente à certains métiers (nous pensons par exemple aux personnes naviguant de tous les transports ou aux représentants de commerce) s'est en effet étendue à la plupart des métiers et des travailleurs. Les embouteillages des grandes villes et des artères les desservant, les trains emplis d e banlieusards en sont bien la preuve. Cette dich...
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Le dialogue vous parait-il plus efficace que l'essai pour convaincre ?
Introduction Un réflexe naturel serait de dévaloriser l'essai, activité solitaire, au profit du dialogue, vu comme un partage spirituel entre deux interlocuteurs. L'expérience de l'activité qu'on appelle couramment « dialogue » amène pourtant l'observateur à réaliser l'inverse : non seulement le discours dialogique peine à se construire en une pensée rigoureuse, mais il est de surcroît un terrain de prédilection pour quiconque cherche à se mettre en valeur, et à imposer la bonne image qu'il a de...
- Loÿs LE CARON (1534-1613) - Claire en beauté plus que la claire Aurore
- Octavien de SAINT-GELAIS (1468-1502) - Plus n'ay d'actente au bien que j'espéroye
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- Théophile de VIAU (1590-1626) - Proche de la saison où les plus vives fleurs
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Pourquoi moliere est-il le plus populaire des auteurs dramatique francais ?
Si Molière n'a pas toujours trouvé grâce auprès des critiques, il a toujours été apprécié du grand public. A de rares exceptions près, ses pièces connurent, en dépit des cabales, le plus beau succès. Elles tiennent encore brillamment l'affiche, de nos jours. Le choix des sujets, la vigueur de son comique, la vérité de ses peintures sociales et morales, le style, la morale enfin sont autant d'éléments qui expliquent la popularité de Molière. I. Les sujets des pièces de Molière plaisent au grand p...
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Le promeneur) - Il pleut. je n'ai plus rien à dire de moi-même
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Je hais plus que la mort un jeune casanier
- Catherine d' AMBOISE (x-1550) - Chant royal de la plus belle qui jamais fut au monde
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Très doucement, plus doucement encore
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Les stalactites) - Nous n'irons plus au bois
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - La mer est plus belle
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- Théophile de VIAU (1590-1626) - La frayeur de la mort ébranle le plus ferme
- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - C'est une ardeur d'autant plus violente
- Abbé Prévost, Manon Lescaut – « Je demeurai plus de vingt-quatre heures... »
- Charles d' ORLEANS (1394-1465) (Recueil : Rondeaux) - Ne hurtez plus a l'uis de ma pensee
- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Spleen : J'ai plus de souvenirs que si j'avais mille ans
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Quel personnage des quatre premiers livres des Confessions vous a le plus intéressé ? Analysez les raisons de votre choix.
[Introduction] Une foule de personnages de tous âges et de toutes conditions se pressent dans les quatre premiers livres des Confessions, de gracieuses figures féminines et des aventuriers, des hommes d'église et de robe, des paysans et des nobles. Mais tous gravitent autour de Jean-Jacques Rousseau, personnage central, narrateur et auteur de l'autobiographie. Parmi les multiples raisons que le lecteur a de s'intéresser à Rousseau, les plus fortes sont peut-être son caractère attachant, sa perso...
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François de Malherbe (1555-1628), poète de Cour, aurait dit un jour: "Un bon poète n'est pas plus utile à l'État qu'un bon joueur de quilles". Qu'en pensez-vous?
Sujet: François de Malherbe (1555-1628), poète de Cour, aurait dit un jour: "Un bon poète n'est pas plus utile à l'État qu'un bon joueur de quilles". Qu'en pensez-vous? Introduction Si l'on en croit Malherbe, le poète (et par extension son art) n'est pas d'un grand secours pour le monde dans lequel il évolue. Il représente uniquement un « bon ouvrier du vers », non pas un mage ou un prophète, d'où sa fameuse réplique : « Un bon poète n'est pas plus utile à l'État qu'un bon joueur de quilles ». D...
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - De ce qu'on ne voit plus qu'une vague campagne
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- Guillaume DES AUTELZ (1529-1581) (Recueil : Repos de plus grand travail) - De la persévérance de son amour
- Isaac HABERT (1560-1615) - Ah ! ne me baisez plus, ah ! mon coeur, je me meurs