Résultats pour "pleine"
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - Ô doux regards, ô yeux pleins de beauté
- Marin Le Roy de GOMBERVILLE (1600-1674) (Recueil : Second livre des Delices de la Poesie françoise) - Effroyables deserts, pleins d'ombre, et de silence
- Rainer Maria RILKE (1875-1926) (Recueil : Les quatrains valaisans) - Au ciel, plein d'attention
- Rainer Maria RILKE (1875-1926) (Recueil : Les roses) - De ton rêve trop plein
- Clovis Hesteau de NUYSEMENT (1550-16xx) - Maintenant que le Ciel, plein d'une alme influence
- Jean-Antoine de BAÏF (1532-1589) (Recueil : Amours de Méline) - Ô doux plaisir plein de doux pensement
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : L'homme intérieur) - L'ambre, le seigle mûr, le miel plein de lumière
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours d'Hippolyte) - Ô mon coeur plein d'ennuis, que trop prompt j'arraché
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chansons des rues et des bois) - La nature est pleine d'amour
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : L'Amour passionnée de Noémie) - Sur ses ailes, Amour, d'un vol plein de vitesse
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Puisque j'ai mis ma lèvre à ta coupe encor pleine
- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Réversibilité
- Remy de GOURMONT (1858-1915) (Recueil : Les divertissements) - La forêt blonde
- Molière est parti à Venise et il y arrive en plein carnaval : théâtre, bals, fêtes, masques et costumes, que de découvertes et que d'idées à exploiter à son retour ! ?
- Commentez ce qu'à propos d'une pièce de Racine, Antoine Vitez, metteur en scène, déclarait : « Il ne s'agit après tout que d'une conversation sous les lustres. Mais pleine de dangers : on se fait des blessures par les mots qu'on dit ».
- « Tout homme qui sait lire a en lui le pouvoir de se magnifier, de multiplier ses modes d'existence, de rendre sa vie pleine, intéressante et significative. » Aldous Huxley. Vous commenterez cette phrase en illustrant vos idées par des exemples.
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« Tout homme qui sait lire a en lui le pouvoir de se magnifier, de multiplier ses modes d'existence, de rendre sa vie pleine, intéressante et significative. » Aldous HUXLEY. Vous commenterez cette phrase en illustrant vos idées par des exemples.
Introduction Après Rousseau : « Je hais les livres ; ils n'apprennent qu'à parler de ce qu'on ne sait pas » ; après Montesquieu : « Je n'ai jamais eu de chagrin qu'une heure de lecture ne m'ait ôté », voici l'auteur du Meilleur des Mondes qui promet à l'homme qui « sait lire » un immense pouvoir. Que penser de cette opinion ? Développement (Sous forme de plan détaillé) I. — Partie négative. 1° Certes, un enfant est tout fier de raconter à tout le monde ce qu'il a appris « à l'école, dans les liv...
- « C'est propre la tragédie. (...) Et puis surtout c'est reposant la tragédie, parce qu'on sait qu'il n'y a plus d'espoir, le sale espoir ; qu'on est pris, qu'on est pris comme un rat, avec tout le ciel sur notre dos, et qu'on n'a plus qu'à crier, pas à gémir, non, pas à se plaindre, - à gueuler à pleine voix ce qu'on avait à dire, qu'on avait jamais dit et qu'on ne savait peut-être même pas encore ». Dans quelles mesures cette définition de la tragédie correspond-elle à Phèdre de Racine ?
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Étudiez cette définition du romantisme que Musset met ironiquement dans la bouche d'un clerc d'avoué : « Le romantisme, mon cher monsieur, mais à coup sûr, ce n'est ni le mépris des unités, ni l'alliance du comique et du tragique, ni rien au monde que vous puissiez dire. Vous saisiriez vainement l'aile du papillon, la poussière qui le colore vous resterait dans les doigts. Le romantisme, c'est l'étoile qui pleure, c'est le vent qui vagit, c'est la nuit qui frissonne, la fleur qui vole et l'oiseau qui embaume ; c'est le jet inespéré, l'extase alanguie, la citerne sous les palmiers et l'espoir vermeil et ses mille amours, l'ange et la perle, la robe blanche des saules; ô la belle chose, monsieur! c'est l'infini et l'étoile, le chaud, le rompu, le désenivré, et pourtant en même temps le plein et le rond, le diamétral, le pyramidal, l'oriental, le nu à vif, l'étreint, l'embrassé, le tourbillonnant; quelle science nouvelle! » (Lettres de Dupuis et Cotonet, première lettre, 1836.) ?
[Introduction] Le drame romantique s'inscrit dans la rupture que les jeunes écrivains romantiques veulent marquer avec l'esthétique du classicisme. Dans cette mesure, on comprend que Musset s'insurge contre une tentative de définition réductrice d'un élan naissant : « Non [...], ce n'est ni le mépris des unités ni l'alliance du comique et du tragique, ni rien au monde que vous puissiez dire. » Mais, lui, le poète, peut tenter de dire l'indicible en multipliant les images, les antithèses, en évoq...