Résultats pour "crois"
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Chansons pour elle) - Tu crois au marc de café
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Poésies inédites) - Crois-moi
- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - Je ne crois point ce que vous dites
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Si tu m'en crois, Baïf, tu changeras Parnasse
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Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours d'Hippolyte) - Je crois que tout mon lit de chardons est semé
Philippe DESPORTES, Les amours d'Hippolyte, « Je crois que tout mon lit de chardons est semé ». 1. Je crois que tout mon lit de chardons est semé ! 2. Qu'il est rude et malfait. Hé ! Dieu suis-je si tendre 3. Que je n'y puis durer ? je ne fais que m'étendre, 4. Et ne sens point venir le Somme accoutumé. 5. Il est après mi-nuit, je n'ai pas l'oeil fermé, 6. Et mes membres lassés repos ne peuvent prendre. 7. Sus Phebus, lève-toi ! ne te fais plus attendre. 8. Et de tes clairs regards rends le cie...
- Commentez ce jugement de Brunetière: Si nous disons que l'éloquence de Bossuet est essentiellement lyrique, je crois que, pour la définir, il suffirait de développer le contenu de ce mot ?
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Dans la préface de son recueil de poèmes Les Contemplations (1856), Victor Hugo répond à ceux qui se plaignent des écrivains qui disent moi : « Ah ! quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas ? Ah ! insensé qui crois que je ne suis pas toi ! ?
LE ROMANTISME Hugo écrit dans une de ses préfaces : « Quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas P Ah ! insensé qui 1t:rois que je ne suis pas toi. » En appliquant ce jugement à l'ensemble de nos poètes roman~ tiques, vous montrerez que les sentiments qu'ils expriment, les grands problèmes qu'il évoquent, ont une portée largement humaine. (Rennes) LES GRANDES LIGNES DU PLAN Comme il arrive souvent, la citation n'est qu'un point de départ. Les indications pr...
- Pensez-vous comme Saint-John Perse dans sa Lettre à un ami : Ce que je crois, [c'est] que la sincérité, en art, n'a jamais droit à l'immédiat ; qu'elle ne peut affluer qu'involontaire, par transparence, ou même négativement ; que l' « essentiel », là, ne peut jamais, sans ruser, devenir à lui-même l'objet. L'essentiel ne se dit pas, et bien plus, n'a jamais désiré se dire.