Résultats pour "connaissance"
- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - Sans connaissance aucune en mon Printemps j'étais
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Odes) - Je l'aimais par dessein la connaissant volage
- Dans quelle mesure le personnage de roman donne-t-il au lecteur un accès privilégié à la connaissance du coeur humain ? Vous répondrez à cette question dans un développement argumenté en vous appuyant sur les textes qui vous sont proposés, ceux que vous avez étudiés en classe et vos lectures personnelles.
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De l'astrologie, telle qu'elle est bâtie depuis des millénaires sur des connaissances dépassées, et largement, depuis quatre siècles, il ne reste rien... Et pourtant, des millions de gens continuent à y croire sans y croire, et à alimenter une industrie florissante... Le goût du merveilleux, l'inquiétude de la vie quotidienne et ses difficultés : certes, on comprend ! Mais il n'est pas possible de ne pas proclamer qu'il vaudrait mieux diffuser dans le public la compréhension des faits avérés et cohérents de la physique quotidienne, que d'étaler complaisamment dans les colonnes des journaux, ou sur les ondes, le fatras de conjectures sans fondements. Jean-Claude PECKER, membre de l'Académie des Sciences, La Recherche, janvier 1983. En vous appuyant en particulier sur des exemples dont vous avez pu avoir connaissance, vous présenterez de façon ordonnée les différentes réflexions que vous inspire cet extrait.
étude de la citation Lorsqu'une citation est très longue — le libellé parle d'extrait —il convient de procéder à une véritable explication. Dès la première lecture, on constate que l'auteur prend le parti de la physique contre l'astrologie, de la vraie science contre la fausse science, impression justifiée par l'appartenance de J.-C. • Quelles sont les disciplines en présence ? D'un côté la science exacte, aux faits avérés (prouvés, réels), cohérents (en accord avec la droite logique), de l'autr...
- Le voyage est-il nécessaire à la connaissance des hommes ?
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Notre mère la ville) - Connaissance de l'ivresse
- Voltaire, Candide, chapitre 19. CE QUI LEUR ARRIVA À SURINAM, ET COMMENT CANDIDE FIT CONNAISSANCE AVEC MARTIN
- Selon vous, l'art épistolaire relève-t-il plutôt de la pratique du monologue ou du dialogue ? Vous prendrez appui, dans votre réflexion, sur des exemples précis, tirés du corpus et/ou de vos connaissances personnelles ?
- Quels ressorts du comique les relations entre le maître et le valet (ou entre la soubrette et la maîtresse) permettent-ils de tendre ? Vous répondrez à cette question en étayant votre argumentation par votre connaissance de la comédie du 18e siècle étudiée cette année ?
- l'écrivain H. Tachan déclarait au cours d'un entretien télévisé sur TF1, le 11 novembre 1983 : »Le poète, c'est quelqu'un qui rêve, qui raconte des mensonges, mais bien ». En faisant appel à votre connaissance de la poésie et des poète, vous expliquerez, commenterez et si vous le souhaitez discuterez ce propos ?
- En vous appuyant sur votre connaissance et sur votre sensibilité, vous expliquerez et discuterez ce point de vue sur la poésie formulé par Claude Roy lors de sa réception du premier Goncourt de la poésie en septembre 1985 : Aussi vaine que les nuages, aussi nécessaire que le pain, la poésie n'est pas forcément une maîtresse d'illusions. Elle peut être aussi, elle doit être surtout la réalité profonde prise aux mots, une vérité qui se fait chant ?
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Beaucoup de lecteurs pensent que le compte rendu d'une oeuvre par un critique suffit à en donner la connaissance. Or, Alain a écrit, dans ses Propos sur l'esthétique, en 1949 : «Ce que dit l'oeuvre, nul résumé, nulle imitation, nulle amplification ne peut le dire... » Vous examinerez ces deux points de vue opposés, en appuyant votre réflexion sur des exemples précis, empruntés à votre expérience personnelle et à vos lectures.
Beaucoup de lecteurs pensent que le compte rendu d\'une oeuvre par un critique suffit à en donner la connaissance. Or, Alain a écrit, dans ses Propos sur l\'esthétique, en 1949 : «Ce que dit l\'oeuvre, nul résumé, nulle imitation, nulle amplification ne peut le dire... » Vous examinerez ces deux points de vue opposés, en appuyant votre réflexion sur des exemples précis, empruntés à votre expérience personnelle et à vos lectures. Remarques préliminaires. Il serait fallacieux, pour traiter ce suje...
- Vous vous interrogerez sur les raisons qui incitent le « véritable voyageur » à rendre compte de tout ce qu'il a vécu lors de ses voyages. Après avoir défini « le véritable voyageur », en prenant appui sur les textes du corpus, vous vous demanderez, sans vous limiter aux textes proposés, ce que la relation d'un voyage, quel que soit le genre adopté (autobiographie, récit de voyage, journal, poésie) peut apporter aux lecteurs. En vous fondant sur vos connaissances et vos lectures personnelles, vous construirez un développement argumenté, appuyé sur des exemples littéraires appartenant à différents genres ?
- Vous vous interrogerez sur les raisons qui incitent le « véritable voyageur » à rendre compte de tout ce qu'il a vécu lors de ses voyages. Après avoir défini « le véritable voyageur », en prenant appui sur les textes du corpus, vous vous demanderez, sans vous limiter aux textes proposés, ce que la relation d'un voyage, quel que soit le genre adopté (autobiographie, récit de voyage, journal, poésie) peut apporter aux lecteurs. En vous fondant sur vos connaissances et vos lectures personnelles, vous construirez un développement argumenté, appuyé sur des exemples littéraires appartenant à différents genres ?
- « Si un homme n'a jamais lu les bons auteurs, les livres qui bouleversent les coeurs et les intelligences de millions de lecteurs, s'il ne peut réciter une ou deux douzaines de vers de son poète favori - n'en aurait-il qu'un - celui-là est condamné à l'indigence spirituelle, à vivre à « mi-coeur » ; il se prive d ; il se prive dune part immense des joies que procure la connaissance du beau ». Lev Kassil, le Courrier de l'Unesco, février 1968. Vous vous interrogerez sur ce jugement en vous référant aux oeuvres littéraires que vous avez appréciées ?
- Après avoir écrit : « Au même Baudelaire appartient une autre initiative. Le premier parmi nos poètes, il subit, il invoque, il interroge la Musique... », Paul Valéry affirme : « Ce qui fut baptisé : le Symbolisme, se résume très simplement dans l'intention commune à plusieurs familles de poètes (d'ailleurs ennemies entre elles) de reprendre à la Musique leur bien. » (Variété I, Avant-propos à « La connaissance de la Déesse », pp. 95 et 97. Valéry pense à la phrase où Mallarmé parle d'un art capable « d'achever la transposition, au livre, de la symphonie ou uniment de reprendre notre bien ».) Vous commenterez cette affirmation. ?