Résultats pour "+ainsi"
- Pierre de CROIX (1539-1614) (Recueil : Le Miroir de l'Amour divin) - Ainsi que tous les corps que la nature anime
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : L'Hécatombe à Diane) - Si vous voyiez mon coeur ainsi que mon visage
- Jean GODARD (1564-1630) - Je voudrais être ainsi comme un Penthée
- Etienne de LA BOETIE (1530-1563) (Recueil : Vingt neuf sonnetz) - Ce n'est pas moy que l'on abuse ainsi
- Céline, Voyage au bout de la nuit - De le voir ainsi cet ignoble cavalier dans une tenue...
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - Tout ainsi que ces pommes
- Jean GODARD (1564-1630) - Feux déliens, ainsi qu'il, vous plaira
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - Ainsi, ce chemin de nuage
- Mellin de SAINT-GELAIS (1487-1558) - Voyant ces monts de veue ainsi loingtaine
- Béroalde de VERVILLE (1556-1626) - Ainsi qu'on voit plorer la chaste tourterelle
- Pontus de TYARD (1521-1605) (Recueil : Second livre des erreurs amoureuses) - Des yeux auxquels ainsi, qu'en un Trophée
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : L'Hécatombe à Diane) - Oui, mais ainsi qu'on voit en la guerre civile
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Quel rôle et quelles fonctions ont été ceux des philosophes des lumières ? Vous répondre en vous référant aux Lettres philosophiques et Candide de Voltaire, ainsi qu'aux Lettres persanes ?
Quel rôle et quelles fonctions ont été ceux des philosophes des lumières ? La réponse doit comporter des références aux lettres philosophiques de Voltaire, Candide, ainsi qu'aux Lettres persanes ? Par rôle, nous entendons la place occupée par un individu dans un groupe. Ainsi, un rôle dans une pièce de théâtre est la place d'un personnage par rapport aux autres, la définition de l'activité du personnage dans les interactions dramatiques. Le terme de fonction est à peu prés synonymique de celui...
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Montaigne écrit dans les Essais : « ainsi, lecteur, je suis moi-même la matière de mon livre ». Vous montrerez (en structurant votre propos et en évitant de juxtaposer les oeuvres) dans quelle mesure cette citation s'applique aux oeuvres au programme ?
INTRODUCTION «Les Essais, écrivait Gustave Lanson, c'est Montaigne», et de fait peu d'oeuvres littéraires nous entretiennent aussi complaisamment de leur auteur. Il ne nous laisse autant dire rien ignorer de son aspect physique, de ses habitudes de vie, de son caractère. D'ailleurs, même s'il s'était montré avare de confidences sur lui-même, la manière dont il a composé son ouvrage et la qualité originale de son style suffiraient presque à nous renseigner sur ce qu'il est. Sa personnalité vigour...
- Dites dans quelle mesure la mise en scène d'une pièce de théâtre peut révéler ou atténuer son comique. Vous vous appuierez sur les textes étudiés au cours de la séquence ainsi que sur votre culture personnelle.
- Max WALLER (1860-1889) (Recueil : La flûte à Siebel) - C'est ainsi
- Joachim Du Bellay, Sonnet XII, in Les Regrets
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Quel rôle et quelles fonctions ont été ceux des philosophes des lumières ? La réponse doit comporter des références aux lettres philosophiques de Voltaire, Candide, ainsi qu'aux Lettres persanes ?
Quel rôle et quelles fonctions ont été ceux des philosophes des lumières ? La réponse doit comporter des références aux lettres philosophiques de Voltaire, Candide, ainsi qu'aux Lettres persanes ? Par rôle, nous entendons la place occupée par un individu dans un groupe. Ainsi, un rôle dans une pièce de théâtre est la place d'un personnage par rapport aux autres, la définition de l'activité du personnage dans les interactions dramatiques. Le terme de fonction est à peu prés synonymique de celui...
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Vu le soin ménager dont travaillé je suis
- Peut-on dire de toute autobiographie qu'elle est à la recherche d'un bonheur perdu ? Pour répondre à cette question, vous vous appuierez sur les textes du corpus ainsi que sur vos lectures personnelles ?
- Victor Hugo fustige : Le penseur qui se mutile / Et s'en va chanteur inutile / Par la porte de la citée. Pensez-vous que les auteurs doivent ainsi être toujours au service de la proclamation ?
- Dans sa correspondance, ainsi que dans son oeuvre autobiographique, Jean-Jacques Rousseau évoque souvent son « esprit romanesque ». Comment votre lecture des quatre premiers livres des Confessions peut-elle être éclairée par cette expression ?
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Tout ce que je vois jette les semences d'une révolution qui arrivera immanquablement, et dont je n'ai rai pas le plaisir d'être le témoin... Vous essaierez d'expliquer pourquoi Voltaire parlait ainsi et ce qu'il voulait dire ?
50. VOLTAIRE ' Tout ce que je vois jette les semences d'une révolution qui arrivera immanquablement, et dont je n'aurai pas le !Jlaisir d'être le témoin .... La lumière s'est tellement répandue de proche en proche, qu'on éclatera, à la première occasion;· et alors ce sera un beau tapage. Les jeunes gens sont bien heureux; ils verront de belles choses. • (Voltaire à Chauvelin, 2 avril 1764.) Vous essaierez d'expliquer pourquoi Voltaire parlait ainsi à ce qu'il çoulait dire. Quelles ' belles chose...
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« Le roman cherche l'Art et la Vérité ainsi que la Souffrance humaine », remarquent les frères Goncourt dans leur préface de Germinie Lacerteux (1865). Cette vision sociale du roman naturaliste vous paraît-elle correspondre au roman de l'Assommoir de Zola ?
PLAN I. Le roman lu cherche effectivement la Vérité 1. Il montre la société telle qu'elle est. 2. Il met en évidence le rôle de l'argent. 3. Il met en valeur les souffrances humaines. II. Ce roman peint la vérité avec art 1. La mise en scène est artistique. 2. Les descriptions proposées sont littéraires (plus que scientifiques). 3. L'amplification est au service d'une vision sociale. III. Il invite à nuancer la conception des Goncourt. 1. Ce roman est organisé comme une « histoire naturelle et s...
- L'intérêt des Mémoires, des confessions, des autobiographies, tient a ce que la vie de chaque homme devient ainsi un miroir où chacun peut s'étudier, dans une partie du moins de ses qualités ou de ses défauts », écrit Gérard de Nerval (Les Illuminés, 1852). Expliquez et commentez cette affirmation ?
- Selon un critique, « le mythe antique stimule la réflexion de chacun. Son but n'est pas de fournir des réponses toutes faites, mais d'inciter à rechercher ces réponses ». En quoi l'oeuvre théâtrale du XXe siècle que vous avez étudiée cette année vous semble-t-elle avoir tiré parti du mythe ainsi défini ?
- Seriez-vous aussi sévère qu'un critique affirmant, à propos de la reprise des mythes antiques par les dramaturges modernes : « Il y a une étonnante mesquinerie à rapetisser ainsi ces grandes figures qui, sur la route de l'humanité, incarnent nos éternelles passions. » ? Pour répondre, vous vous appuierez sur la pièce étudiée cette année ?
- Un critique contemporain présente le mythe antique comme « une histoire vraie qui s'est passée au commencement des temps et qui sert de modèle aux comportements humains. » En vous appuyant sur l'oeuvre théâtrale du XXe que vous avez étudiée, vous vous demanderez dans quelle mesure elle exploite le mythe ainsi défini ?
- Commentez : "À moins de rompre en quelque façon le pacte de solidarité qui le lie à l'oeuvre, le critique n'est capable que de paraphrase ou de pastiche (...) Ainsi, malgré notre désir de nous abîmer dans les profondeurs vivantes de l'oeuvre, nous sommes contraints de nous distancer d'elle pour pouvoir en parler."
- Le costume de théâtre ne donne-t-il au spectateur que des indications concernant l'époque de la pièce et la condition sociale du personnage ? Vous répondrez à cette question en vous appuyant sur le corpus, sur les textes étudiés en classes et ceux que vous avez lus, ainsi que sur les spectacles que vous avez pu voir ?
- Beaucoup affirment que le théâtre ne prend son véritable sens que pendant la représentation et grâce à elle - la simple lecture de l'oeuvre rédigée par l'écrivain passerait ainsi à côté de l'essentiel : on ne peut pas lire le théâtre . Vous expliquerez, en vous référant à des textes de théâtre étudiés en classe ou à d'autres expériences de spectacle, ce que vous pensez de cette affirmation ?
- Imaginez un débat dialogué entre un personnage défendant le propos de Mme du Châtelet : moins notre bonheur dépend des autres et plus il nous est aisé d'être heureux et son contradicteur. Un court paragraphe placé avant le débat permettra au lecteur de connaître les circonstances dans lesquelles les personnages échangent leurs points de vue ainsi que leur condition sociale et leurs relations ?
- « L'histoire du peuple hébreu d'une part, celle des premiers chrétiens d'autre part et la corruption de la Rome impériale lui fournissent des points de référence continuels pour montrer dans l'histoire de son temps une répétition du passé, élever la circonstance présente à un plan plus général et lui conférer ainsi une valeur d'exemple éternel. Cette lecture vous paraît-elle conforme au dessein d'Agrippa d'Aubigné dans Les Tragiques ?
- « L'eau permet au Grand Siècle de se contempler tout entier et sous toutes ses facettes, géomètre et baroque, passionné d'ordre et de méthode tout autant que de surprises et d'illusions, mystiques aussi bien qu'affamé de jeu et de plaisirs » Orsenna. Vous montrerez la pertinence de cette réflexion d'Érik Orsenna tirée de son Portrait d'un homme heureux (2000) en vous fondant sur les textes, documents étudiés, ainsi que votre culture personnelle ?
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Dans le journal d'un poète, en 1836, Alfred de Vigny écrivait: Le drame est vrai puisque, dans une action tantôt comique, tantôt tragique, suivant les caractères, il finit avec tristesse comme la vie des hommes puissants de caractère, énergiques de passion. Le drame n'a été appelé bâtard que parce qu'il n'est ni comédie ni tragédie. [...] Mais les vivants sont ainsi. Vous expliquerez cette opinion en l'illustrant à partir des drames romantiques que vous connaissez ?
Stùets traités Dans le Joumol d'uu jJoèlt, en 18.'36, Alrred de Vigny écri,·ait :
- Quelques soient les méthodes utilisées, le Narrateur s'assignera pour mission de traduire la séparation entre la conscience de soi et la conscience du monde (mais aussi leurs interférences) ainsi que l'activité immédiate de la vie mentale. Il devra faire en sorte que le monologue soit un mode de relation entre le héros et le monde, et de communication entre le héros et le lecteur. Michel Zéraffa, La Révolution romanesque, 1969. En quoi cette citation semble rendre compte de Combray et de Mrs Dalloway ?
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Dans La mort au siècle des Lumières, Robert Favre s'exprimait ainsi :« Dénonciation et appel, La Religieuse est toute entière frémissante de vulnérabilité tendue et de volonté inflexible. Dans sa longue lutte pour échapper à l'abîme du désespoir quand « il y a des puits partout », Suzanne incarne l'esprit des Lumières où se mêlent courage et besoin de puissante protection, ingénuité et habileté, lucidité et vertige devant les gouffres ». Vous commenterez cette citation.
Sujet: Dans La mort au siècle des Lumières, Robert Favre s'exprimait ainsi :« Dénonciation et appel, La Religieuse est toute entière frémissante de vulnérabilité tendue et de volonté inflexible. Dans sa longue lutte pour échapper à l'abîme du désespoir quand « il y a des puits partout », Suzanne incarne l'esprit des Lumières où se mêlent courage et besoin de puissante protection, ingénuité et habileté, lucidité et vertige devant les gouffres ». Vous commenterez cette citation. En 1761, dans Elo...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les douze mois) - Les pauvres
- L'écrivain Cocteau (1889-1963) définit ainsi la poésie : « L'espace d'un éclair nous voyons un chien, un fiacre, une maison pour la première fois. Voilà le rôle de la poésie. Elle dévoile dans toute la force du terme. Elle montre nues, sous une lumière qui secoue la torpeur, les choses surprenantes qui nous environnent et que nos sens enregistraient machinalement. Mettez un lieu commun en place, nettoyez- le, frottez-le,éclairez-le de telle sorte qu'il frappe avec sa jeunesse et la avec la même fraîcheur, le même jet qu'il avait à sa source, vous ferez oeuvre de poète ». ?
- Dans son essai critique Sur Racine, Roland Barthes qualifie Bérénice de « tragédie de l'aphasie » ; Jean Starobinski, quant à lui, souligne « que dans le théâtre français classique, et singulièrement chez Racine, les gestes tendent à disparaître au profit du langage, il faut ajouter au profit du regard. Les scènes chez Racine sont des « entrevues ». Les personnes du drame se parlent et s'entre-regardent mais les regards échangés ont valeur d'étreinte et de blessure... Ils troublent les âmes. Une contrainte esthétique devient ainsi moyen d'expression ». Dans quelles mesures cette définition de la tragédie correspond-elle à la pièce de Racine que vous avez étudiée ?
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Claude Roy définit ainsi la fonction de l'écrivain, dans Le Commerce des classiques, 1953 : « Il v a des hommes dont le métier est de répondre aux questions, de résoudre les problèmes. l'homme politique et le mathématicien, l'ingénieur et l'arpenteur, leur métier c'est d'avoir réponse à tout. Le romancier, le poète, le critique, etc., leur métier est d'avoir question à tout, c'est de s'interroger et d'interroger, c'est de mettre en question ce que personne ne songeait à mettre en question. Ils sont les grands poseurs de questions du monde. »
Quelles réflexions vous inspire cette définition ? Correspond-elle à ce que vous attendez personnellement de la lecture d'une oeuvre littéraire ?
Lécri,·ain, la littérature et !"art Claude Roy définit ainsi la lom:tiou de l'écrivai n, dans Le Commerce drs classiques, !953 : « Il y a le hommes dont le métier est de répond re atLx que tious. de résoudre les problèmes. L'homme politique et le mathématicien, l'ingénieur et l'arpenteur, leur métier c'est d'al'oir réponse à toul. Le romancier le poète, le critique, etc., lem métier e t d'avoir que Lion à touL c'e t de 'interroger et d'imerroger, c'est de mettre eu question ce que per ou ne ne...
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« qu'est-ce que l'acanthe grecque ? Un artichaut stylisé. Stylisé, c'est-à-dire humanisé : tel que l'homme l'eût fait s'il eût été Dieu. l'homme sait que le monde n'est pas à l'échelle humaine ; et il voudrait qu'il le lût. Et lorsqu'il le reconstruit, c'est à cette échelle qu'il le reconstruit... Dans ce qu'il a d'essentiel, notre art est une humanisation du monde. » c'est ainsi qu'André Malraux, dans Les Noyers de l'Altenburg, lait parler, au colloque international de l'Altenburg, le père du narrateur, le professeur Vincent Berger. En prenant appui sur des exemples précis, empruntés à des oeuvres littéraires, musicales, picturales ou autres, vous expliquerez comment vous comprenez ces propos et direz ce que vous en pensez ?
S~jets traités « Qu'est-tc que l'acant he gn:cque '? 11 artichaut stylisé. Stylisé, c'est-à-dire humanisé : tel CJUC l'homme l'eîll htit s'il etît été Dieu. L'homme sait que le monde n'est pas à l'échelle humaine ; et il Yondrait qu'il le fîu. Et lorsqu'il le n:construit. c'est à celle échelle qu'il le reconMruit... Dans ce qu'il a d'essentiel. notre art est une humanisation du monde. >> C'est aitL~i qu'Amlré MalratLx, dan Les },~l'I'I "S de I'Ailmburg, fait parler, a11 colloque intematicmal...
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Elégie à Janet, peintre du roi
- En vous inspirant du texte de Ponge prenez un objet banal et transformez-le en lui donnant une vie particulière. Texte de Ponge : Le Pain La surface du pain est merveilleuse d'abord à cause de cette impression quasi panoramique qu'elle donne : comme si l'on avait à sa disposition sous la main les Alpes, le Taurus ou la Cordillère des Andes. Ainsi donc une masse amorphe en train d'éructer fut glissée pour nous dans le four stellaire, où durcissant elle s'est façonnée en vallées, crêtes, ondulations, crevasses... Et tous ces plans dès lors si nettement articulés, ces dalles minces où la lumière avec application couche ses feux, - sans un regard pour la mollesse ignoble sous-jacente. Ce lâche et froid sous-sol que l'on nomme la mie a son tissu pareil à celui des éponges : feuilles ou fleurs y sont comme des soeurs siamoises soudées par tous les coudes à la fois. Lorsque le pain rassit ces fleurs fanent et se rétrécissent : elles se détachent alors les unes des autres, et la masse en devient friable... Mais brisons-la : car le pain doit être dans notre bouche moins objet de respect que de consommation. ?