3617 résultats pour "grand+s"
- Gabriel-Joseph de Guilleragues, Lettres portugaises, Lettre V
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Les oiseaux
- Anatole FRANCE (1844-1924) (Recueil : Les poèmes dorés) - Les sapins
- Céline, Voyage au bout de la nuit.
-
Miguel Hernández
Miguel Hernández 1910-1942 Né à Orihuela, province d'Alicante, dans une famille de paysans pauvres. Après avoir fréquenté pendant deux ans seulement l'école primaire, il travailla comme chevrier, pour aider ses parents, jusqu'à l'âge de 16 ans. Autodidacte, il publie ses premiers poèmes dans la revue d'Orihuela, “ Gallo Crisis ”, que dirige son ami Ramon Sije, qui meurt après avoir préfacé le premier livre de Miguel, Perito en Lunas (1933). 1934 sera une année cruciale dans sa vie ; il se consac...
- Zola, GERMINAL, Partie IV, chapitre 7.
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La fin de Satan) - Satan pardonné
- André Malraux, La Condition humaine - 21 mars 1927 - Minuit et demi.
-
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les forces tumultueuses) - Sur la mer
- Pierre LE MOYNE (1602-1671) (Recueil : Lettres morales et poétiques) - De la vie champêtre
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - A ceux qui sont petits
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les feuilles d'automne) - Où donc est le bonheur ? disais-je.
-
Anna de NOAILLES (1876-1933) (Recueil : Le coeur innombrable) - L'empreinte
Sujet: Anna de NOAILLES (1876-1933) (Recueil : Le cœur innombrable) - L'empreinte Je m'appuierai si bien et si fort à la vie, D'une si rude étreinte et d'un tel serrement, Qu'avant que la douceur du jour me soit ravie Elle s'échauffera de mon enlacement. La mer, abondamment sur le monde étalée, Gardera, dans la route errante de son eau, Le goût de ma douleur qui est âcre et salée Et sur les jours mouvants roule comme un bateau. Je laisserai de moi dans le pli des collines La chaleur de mes yeux...
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Elégies) - Avant toi
- La Bruyère, Les Caractères ou les moeurs de ce siècle. De la mode.1688. Les curieux
- Emile NELLIGAN (1879-1941) (Recueil : Premiers poèmes) - C'était l'automne...et les feuilles tombaient toujours
-
-
A votre avis, les oeuvres biographiques et autobiographiques sont-elles de toute manière des monuments érigés à la gloire de quelqu'un ?
A votre avis, les oeuvres biographiques et autobiographiques sont-elles de toute manière des monuments érigés à la gloire de quelqu'un ? Analyse du sujet et problématisation : Le sujet joint un examen d'œuvres biographiques et autobiographiques en leur présupposant une finalité commune : être des « monuments érigés à la gloire de quelqu'un ». Avant d'analyser plus précisément cette expression, donnons, en guise de préalable une définition des deux genres que sont autobiographie et biographie. Un...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les visages de la vie) - Vers la mer
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chansons des rues et des bois) - Fuite en Sologne
- Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, Acte I, scène 1.
- Apollinaire GINGRAS (1847-1935) - Feuille d'automne et jeune artiste
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La fin de Satan) - La plume de Satan
-
Constantin Cavafis
Constantin Cavafis Le 17 avril 1863, le patriarcat d'Alexandrie, en Égypte, inscrivait sur ses registres le nom de Constantin P. Cavafis, rejeton d'une riche famille grecque : le père, un négociant fixé dans la colonie alexandrine ; la mère, une phanariote. Comme plusieurs des fils de cette " bonne société ", le jeune Constantin fit ses études en Angleterre. Plus tard, il vécut à Constantinople, où sa mère était née ; il connut la France et la Grèce. La trentaine passée, il revint en Égypte, tr...
- Robert GARNIER (1535-1601) - Elégie sur la mort de Ronsard
-
- Nicolas GILBERT (1750-1780) - Le dix-huitième siècle
- Jean BERTAUT (1552-1611) - Stances
-
Faut-il forcément une fin inatendue pour faire un roman ou une piéce de théatre réussie ?
Analyse du sujet et problématisation : Le sujet porte sur la question du dénouement dans deux genres littéraires : le roman et le théâtre. Il semble fondé sur un présupposé : un roman ou une pièce de théâtre propose souvent, voire quasi systématiquement, « une fin inattendue », c'est-à-dire, un dénouement surprenant. Par roman, on entendra un long récit fictif en prose. Par pièce de théâtre, on entendra plus précisément ici le texte dramatique fixant les ressorts de l'intrigue, et déterminant do...
- Musset, On ne badine pas avec l'amour, acte III, scène 3
- Michel Tournier, Vendredi ou les limbes du Pacifique (1967).
-
L'inspiration poétique
Demande d'échange de corrigé de Abitboul Christian ([email protected]). \Sujet déposé : L\'inspiration poétique Dissertation sur l'inspiration poétique. 1. Une influence secrète. 1.1. la voix de dieu ou de la nature. Pour Platon « ce n'est pas grâce à un art que les poètes proférant leurs poèmes, mais grâce à une puissance divine ». L'inspiration, dans cette conception est un don des dieux, et le poète un instrument entre les mains de ces mêmes dieux. Ronsard dans Hymne de l'automne est fidèl...
-
Cours de Français sur: LA LETTRE.
Qu'est-ce qu'une lettre ? Selon la définition qu'en propose le Grand dictionnaire de la langue française de Paul Robert, la lettre est « un écrit que l'on adresse à quelqu'un pour lui communiquer ce qu'or) ne peut ou ne veut pas lui dire oralement ». Elle peut combler une distance et remplir un vide affectif en tant qu'elle est manifestation de la présence de l'autre : « Est-il possible que j'aie déjà vécu près de quinze jours sans avoir entendu parler de vous ? Ne m'avez-vous point écrit ? » de...
- La Bruyère, Les Caractères ou les moeurs de ce siècle. De la mode.1688. Les curieux
-
- Stendhal, Le Rouge et le Noir, II, 4
- Victor Hugo, Quatrevingt-treize, III, VI.
- Joinville, Vie de Saint Louis, « la dernière croisade ».
-
Réécrire, est-ce imiter ou innover ?
Analyse du sujet et problématisation Ce sujet prend place dans l'objet d'étude des « réécritures » en littérature. La réécriture en littérature c'est le fait de réécrire un texte en y apportant des modifications. Ainsi, dans la définition même de cette notion on perçoit déjà qu'il n'est pas question de choisir, de trancher entre imitation et innovation, mais de montrer qu'il s'agit de deux facettes de la réécriture. La notion de réécriture est étudiée par Genette dans Palimpsestes : il crée pour...
- Charles GILL (1871-1918) (Recueil : Les étoiles filantes) - Vive la Canadienne
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - L'Homme qui court après la Fortune et l'Homme qui l'attend
- Alfred de VIGNY (1797-1863) (Recueil : Poèmes antiques et modernes) - La neige
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Bergeries) - Ô bien heureux qui peut passer sa vie
-
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chansons des rues et des bois) - L'oubli
-
Précisez en quoi le récit littéraire, avec les moyens qui lui sont propres, constitue-t-il une voie efficace pour transmettre au lecteur des vérités de portée universelle.
- L'écrivain ne peut rester enfermé dans sa bulle fictive et ressent le besoin de poser un regard sur le réel. Ainsi en tant que messager, il choisit de faire passer certaines vérités auprès de ses lecteurs. - Cependant, on peut se demander pourquoi certains écrivains ont recours à la fiction pour transmettre des vérités ou des leçons. I. Pour des raisons propres à l'auteur 1. Pour éviter la censure Si l'on prend le cas des Fables de la Fontaine, les dénonciations sont exprimées à travers des...
- Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, Acte IV, scène 9.
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes barbares) - La fin de l'homme
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Méditations poétiques) - Ode
- Anatole FRANCE (1844-1924) (Recueil : Idylles et légendes) - La part de Madeleine
- Jules BARBEY D'AUREVILLY (1807-1889) (Recueil : Poussières) - Treize ans
- Boileau ne s'est-il pas condamné lui-même dans ce vers: c'est un méchant métier que celui de médire ?
-
- Beaucoup plus parfait que Corneille et moins grand, Racine doit être moins révéré (Joubert). qu'en pensez-vous ?
- LA PROMENADE - Jean-Jacques ROUSSEAU, La Nouvelle Héloïse, 1761. (Quatrième partie, lettre XVII)









