930 résultats pour "l+eau+de+vie"
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La vie
La vie, cette énigme insaisissable qui nous enveloppe dès notre naissance jusqu'à notre dernier souffle, est une expérience à la fois merveilleuse et complexe. Elle nous confronte à un kaléidoscope d'émotions, de défis et de questions existentielles qui suscitent notre curiosité et alimentent notre quête de sens. En explorant les méandres de la vie, nous sommes souvent amenés à nous interroger sur sa nature profonde, sur son but ultime et sur notre place en son sein. Comme l'a si poétiqueme...
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Chateaubriand, Le Port de Brest
Cette mer que je devais rencontrer sur tant de rivages, baignait à Brest l'extrémité de la péninsule armoricaine : après ce cap avancé, il n'y avait plus rien qu'un océan sans bornes et des mondes inconnus; mon imagination se jouait dans ces espaces. Souvent assis sur quelque mât qui gisait le long du quai de Recouvrance, je regardais les mouvements de la foule : constructeurs, matelots, militaires, douaniers, forçats passaient et repassaient devant moi. Des voyageurs débarquaient et s'embarquai...
- Nul ne peut écrire la vie d'un homme que lui même. Sa manière d'être interieure sa véritable vie n'est connue que de lui; mais en l'écrivant, il l'a déguise ; il se montre comme il veut être vu, mais point du tout comme il est. Dans un développement composé vous commenterez et discuterez cette citation d'un écrivain cotemporain en prenant apuis sur les textes que vous avez étudié en classe et vos propres lectures ?
- Nul ne peut écrire la vie d'un homme que lui même. Sa manière d'être intérieure sa véritable vie n'est connue que de lui; mais en l'écrivant, il l'a déguise ; il se montre comme il veut être vu, mais point du tout comme il est. Dans un développement composé, vous commenterez et discuterez cette citation d'un écrivain contemporain en prenant appuis sur les textes que vous avez étudiés en classe et vos propres lectures ?
- Vie et oeuvre de ROUSSEAU
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« Tout homme qui sait lire a en lui le pouvoir de se magnifier, de multiplier ses modes d'existence, de rendre sa vie pleine, intéressante et significative. » Aldous HUXLEY. Vous commenterez cette phrase en illustrant vos idées par des exemples.
Introduction Après Rousseau : « Je hais les livres ; ils n'apprennent qu'à parler de ce qu'on ne sait pas » ; après Montesquieu : « Je n'ai jamais eu de chagrin qu'une heure de lecture ne m'ait ôté », voici l'auteur du Meilleur des Mondes qui promet à l'homme qui « sait lire » un immense pouvoir. Que penser de cette opinion ? Développement (Sous forme de plan détaillé) I. — Partie négative. 1° Certes, un enfant est tout fier de raconter à tout le monde ce qu'il a appris « à l'école, dans les liv...
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Le but du théâtre est-il de représenter des crises exceptionnelles ou de proposer des tableaux de la vie quotidienne ?
Analyse du sujet et problématisation : Ce sujet interroge sur la finalité du théâtre. Le théâtre est d'emblée envisagé comme un genre scénique, à travers l'utilisation du verbe « représenter ». En effet, le théâtre n'est pas seulement constitué d'un texte dramatique, mais il trouve son achèvement dans une représentation scénique. La représentation de crises exceptionnelles est souvent l'objet de la tragédie qui met en scène des conflits extraordinaires et des destins tragiques. La représentation...
- Jean Edouard DU MONIN (1557-1586) (Recueil : Les nouvelles oeuvres) - Si quand il faut tirer le rideau de la vie
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- Émile Zola, L'Assommoir, chapitre XIII.
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FROMENTIN: sa vie et son oeuvre.
FROMENTIN: sa vie et son oeuvre. La vie d'EUGÈNE FROMENTIN fut discrète comme son caractère, comme la bourgeoisie rochelaise à laquelle il appartenait. On connaît cependant l'essentiel de l'épisode sentimental qui est à l'origine de Dominique. Dans sa première adolescence, il aima une jeune créole de dix-sept ans, Léocadie Chessé. Elle le considérait encore comme un enfant. Il fut le témoin désolé de ses fiançailles, puis de son mariage. Il la revit ensuite chaque été à La Rochelle, et leurs rel...
- Jean-Baptiste CHASSIGNET (1571-1635) - Nous n'entrons point d'un pas plus avant en la vie
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Marivaux in La vie de Marianne.
Si M arivaux est plus connu comme homme de théâtre, il fut également journaliste et auteur de deux romans princ ipaux, L e P a y s a n parvenu et La V ie de M arianne. La filiation est d'ailleurs évidente : quel que soit le genre littéraire pratiqué, il s 'y révèle analys te du cœur humain et de s es réticences à avouer son amour. C et épisode de La V ie de M arianne est fondamental c ar il s celle la rencontre et l'ébauc he d'un s entiment amoureux entre M arianne, une jeune fille dont on ignor...
- Maupassant, Une vie, chapitre 10
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Montesquieu confie dans ses Cahiers : « l'étude a été pour moi le souverain remède contre les dégoûts, n'ayant jamais eu de chagrin qu'une heure de lecture ne m'ait ôté ». qu'en pensez-vous ? Quel rôle assignez-vous vous-même à la lecture dans votre vie d'adolescent d'aujourd'hui (divertissement, enrichissement moral, intellectuel...) ?
Montesquieu était l'homme le plus équilibré qui fût jamais. C'était un intellectuel, comme nous dirions maintenant, non un sentimental, ni un passionné. Et comme il commence par nous déclarer : Je n'ai jamais eu de chagrin, encore moins d'ennui, nous ne nous étonnons pas de l'entendre dire : L'étude a toujours été pour moi.... N'allons pas croire, cependant, que cette pensée ne nous révèle qu'un trait de caractère. I. Sens précis des mots. Au lieu de nous récrier sur le manque de coeur et la séc...
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MARCEL PROUST: vie et oeuvre
MARCEL PROUST est le fils d'un médecin réputé. Sa mère appartenait à la riche bourgeoisie israélite. A neuf ans, il commence à souffrir d'un asthme nerveux, qui affine sa sensibilité déjà excessive. Après avoir été un brillant élève du lycée Condorcet, il commence des études d e droit, qu'il abandonne, et des études de lettres, qu'il pousse jusqu'à la licence. Il se passionne pour l'enseignement de Bergson. L'été, il fréquente les plages de la Manche, Cabourg, Trouville. La fortune de ses parent...
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On a pu dire que le théâtre était parmi les genres littéraires le plus conventionnel. Quelles sont ces conventions et pourquoi le spectateur s'y plie-t-il volontiers et accepte-t-il sur scène les fantaisies les plus débridées qu'il refuserait dans la vie réelle ?
Analyse du sujet et problématisation Ce sujet invite à une double réflexion : d'une part il implique que l'on définisse en quoi le théâtre est un genre « conventionnel » et d'autre part, il appelle à expliquer la soumission du spectateur à ces conventions et à leurs conséquences ( parfois le spectateur assiste à des scènes qu'il condamnerait dans la vie réelle). Le terme « conventionnel » est ici ambigu : il présente le théâtre comme un genre littéraire fondé sur des conventions mais cet adjecti...
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- Jean d'Ormesson, Presque rien sur presque tout - L'EAU
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On a pu dire que le théâtre était parmi les genres littéraires, le plus conventionnel. Après avoir précisé quelles sont les conventions essentielles que le théâtre impose, vous chercherez les raisons pour lesquelles, selon vous, le spectateur se soumet volontiers à ces conventions et accepte sur scène les fantaisies les plus débridées qu'il refuserait dans la vie réelle ?
Analyse du sujet et problématisation Ce sujet invite à une double réflexion : d'une part il implique que l'on définisse en quoi le théâtre est un genre « conventionnel » et d'autre part, il appelle à expliquer la soumission du spectateur à ces conventions et à leurs conséquences ( parfois le spectateur assiste à des scènes qu'il condamnerait dans la vie réelle). Le terme « conventionnel » est ici ambigu : il présente le théâtre comme un genre littéraire fondé sur des conventions mais cet adjecti...
- Vincent VOITURE (1597-1648) - D'un buveur d'eau, comme avez débattu
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - Mon âme est triste jusqu'à la mort !
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Mortels, qui des mortels avez pris vostre vie
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : Les Tragiques) - Jugement (2)
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Paul Eluard: La victoire de Guernica
L'orientation du commentaire Les indications du libellé sont presques superflues. Elles orientent vers ce qui ne pouvait passer inaperçu : l'indignation à l'égard de ceux qui n'ont pas hésité à anéantir sous les bombes un village et ses habitants. Cette indignation s'exprime en deux portraits antithétiques : celui des victimes auxquelles va la sympathie profonde d'Eluard et sa pitié; celui des bourreaux dont il dénonce l'hypocrisie et l'inhumanité. Notons en outre cette impression d'horreur insp...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La fin de Satan) - Chanson des oiseaux
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MADAME DE SÉVIGNÉ: vie et oeuvre
MADAME DE SÉVIGNÉ (1626-1696) MARIE DE RABUTIN-CHANTAL est de vieille noblesse par son père, de noblesse beaucoup plus récente par sa mère. Lorsqu'elle devient orpheline en 1633, c'est sa famille maternelle qui prend soin d'elle et particulièrement son oncle Christophe de Coulanges, abbé de Livry, « le bien bon », qui plus tard l'aidera dans l'administration de ses biens. Elle reçoit une bonne formation. Elle est guidée par les conseils de maîtres éminents : Chapelain, Ménage. Elle comprend le l...
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FONTENELLE: sa vie, son oeuvre.
FONTENELLE (1657-1757) BERNARD LE BOVIER DE FONTENELLE est le neveu des frères Corneille. Parenté illustre qui lui sert de tremplin pour se lancer dans la littérature. Il se croit d'abord une vocation de poète. Il écrit des tragédies, des comédies, des églogues et jusqu'à des livrets pour les opéras de Lulli. Par solidarité envers ses oncles, il prend position contre Racine et Boileau, ce qui le pousse dans le clan des modernes. Il partage son temps entre Rouen et Paris et ne se fixe dans la cap...
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Vie et oeuvre de George SAND
GEORGE SAND (1804-1876) Aurore Dupin est fille d'un officier de l'armée impériale. Par lui, elle descend de Maurice de Saxe et des rois de Pologne. Du côté maternel, elle se rattache au petit peuple parisien. Orpheline de père à quatre ans, elle est élevée par sa grand-mère paternelle à Nohant, modeste village proche de La Châtre. Son éducation s'achève à Paris, dans l'aristocratique couvent des Augustines anglaises. En 1822, elle épouse Casimir Dudevant, fils d'un baron d'Empire. Elle ne tarde...
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Victor HUGO: vie et oeuvre
VICTOR HUGO (1802-1885) Il est le troisième fils du commandant Hugo, qui devint plus tard général et comte. Sa mère appartenait à une famille d'armateurs nantais. Tous deux étaient incroyants. Victor Hugo ne fut pas baptisé. Sa vocation se dessine de bonne heure. En 1816, il écrit :« Je veux être Chateaubriand ou rien.» Les récompenses qui lui sont décernées par l'Académie française et par l'Académie des Jeux floraux de Toulouse favorisent cette vocation et le détournent de la préparation à l'Éc...
- Pierre LOUŸS (1870-1925) (Recueil : Derniers vers) - Et je m'étais fait une vie
- Marivaux, Avertissement à la seconde partie de La Vie de Marianne.
- Guillaume CRÉTIN (1460-1525) - Chant royal de l'arbre de vie
- MATHURIN RÉGNIER: vie et oeuvre (Les Satires)
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- Jacques DAVY DU PERRON (1555-1618) - Au bord tristement doux des eaux, je me retire
- Le roman nous aide-t-il à découvrir un sens à nos vies ?
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Les pièces d'eau, songeant dans les parcs taciturnes
- Brecht, La vie de Galilée, Acte I, scène 1
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les visages de la vie) - L'action
- Marivaux, La Vie de Marianne. PREMIERE PARTIE
- Cécile SAUVAGE (1883-1927) (Recueil : Le vallon) - Ma tête, penche-toi sur l'eau blanche...
- Siméon-Guillaume de LA ROQUE (1551-1611) (Recueil : Oeuvres) - Ô misérable vie ! ici bas agitée
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- Anna de NOAILLES (1876-1933) (Recueil : Le coeur innombrable) - La vie profonde
- Exposez en argumentant ce que seraient, selon vous, les conditions d'une vie réussie.
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les visages de la vie) - La crypte
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Les vies encloses) - Les glaces sont les mélancoliques gardiennes
- Victor SEGALEN (1878-1919) (Recueil : Stèles) - Mon amante a les vertus de l'eau
- GUSTAVE FLAUBERT : sa vie, son oeuvre.
- Stendhal, L'Abbesse de Castro. VI.
- Stendhal, L'Abbesse de Castro, VI.
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- Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux, la Vie de Marianne.
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villages illusoires) - Le passeur d'eau