18 résultats pour "tuées"
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Je l'ai tué, je l'ai tué
- Béroalde de VERVILLE (1556-1626) - Perdez, froissez, tuez cette âme vagabonde
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Amour me tue, et si je ne veux dire
- Charles CROS (1842-1888) (Recueil : Le collier de griffes) - A tuer
-
Que pensez-vous de la généralisation de l'usage des armes non létales - conçues pour que les cibles ne soient pas blessées ou tuées - par les différents services de police et de gendarmerie ?
Sujet Que pensez-vous de la généralisation de l'usage des armes non létales - conçues pour que les cibles ne soient pas blessées ou tuées - par les différents services de police et de gendarmerie ? Ge corrigé est intégralement rédigé. Il devrait vous donner une idée indicative de la longueur souhaitable d'une copie. Toutefois, nous vous rappelons qu'en la matière, aucune règle n'est fixée. L'essentiel est qu'à l'issue des trois heures de l'épreuve, vous puissiez rendre une copie intégral...
-
CAMUS: le phiosophe et l'écrivain
ALBERT CAMUS (1913-1960) ALBERT CAMUS est le fils de pauvres colons algériens. Son père est tué à la première bataille de la Marne. L'enfant peut faire des études secondaires comme boursier, mais en 1930 il est atteint de tuberculose. Attiré par la philosophie, il prépare une licence, tout en exerçant divers métiers : mécanicien, employé de bureau. Sa mauvaise santé l'empêche d'aller jusqu'à l'agrégation et il se tourne vers le journalisme..En 1940, il cherche à s'engager, mais n'y parvient pas....
-
Musset, Lorenzaccio - Acte III, scène 3
Musset, Lorenzaccio, acte III, scène 3. LORENZO. Tu me demandes pourquoi je tue Alexandre ? Veux-tu donc que je m’empoisonne, ou que je saute dans l’Arno ? veux-tu donc que je sois un spectre, et qu’en frappant sur ce squelette (il frappe sa poitrine), il n’en sorte aucun son ? Si je suis l’ombre de moi-même, veux-tu donc que je m’arrache le seul fil qui rattache aujourd’hui mon cœur à quelques fibres de mon cœur d’autrefois ? Songes-tu que ce meurtre, c’est tout ce qui me reste de ma...
-
Musset, Lorenzaccio, III, 3.
Musset, Lorenzaccio, acte III, scène 3. LORENZO. Tu me demandes pourquoi je tue Alexandre ? Veux-tu donc que je m’empoisonne, ou que je saute dans l’Arno ? veuxtu donc que je sois un spectre, et qu’en frappant sur ce squelette (il frappe sa poitrine), il n’en sorte aucun son ? Si je suis l’ombre de moi-même, veux-tu donc que je m’arrache le seul fil qui rattache aujourd’hui mon cœur à quelques fibres de mon cœur d’autrefois ? Songes-tu que ce meurtre, c’est tout ce qui me reste de ma vertu? Song...
-
-
Alfred JARRY, Ubu Roi, acte III, scène 3.
Alfred JARRY, Ubu Roi, acte III, scène 3 et scène 4. Une maison de paysans dans les environs de Varsovie. Plusieurs paysans sont assemblés. UN PAYSAN, entrant : - Apprenez la grande nouvelle. Le roi est mort, les ducs aussi et le jeune Bougrelas s'est sauvé avec sa mère dans les montagnes. De plus, le Père Ubu s'est emparé du trône. UN AUTRE : - J'en sais bien d'autres. Je viens de Cracovie, où j'ai vu emporter les corps de plus de trois cents nobles et de cinq cents magistrats qu'on a tués, et...
-
MALRAUX - La Condition Humaine: 21 mars 1927. Minuit et demi.
Cet incipit doit son originalité à une ouverture in médias res, à la focalisation interne et à une nouvelle forme d'écriture. Contrairement à la technique balzacienne, la narration se caractérise chez Malraux par l'absence de tout préliminaire : le lecteur entre de plain-pied dans un monde inconnu, il lie connaissance avec un tueur, il s'intéresse enfin à une action violente, un assassinat imminent. Mais s'il connaît la date des événements (21 mai 1927), il ignore tout du lieu : seul le nom Tche...
-
Francisco de Quevedo Y Villegas
Francisco de Quevedo Y Villegas 1580-1645 Né à Madrid. Sa famille, des gens de cour. Secrétaire de la princesse Marie, épouse de Maximilien d'Allemagne. Très spirituel. A la cour, il se fit une grande réputation de poète (voir : Flores de pontas illustres (1605) d'Espinosa). Très satirique et cynique, il avait la tête près du bonnet. D'étranges histoires courent sur son compte : il aurait tué un homme à Alcala ; transpercé de son épée le capitaine Rodriguez qui lui refusait le haut du pavé et tu...
-
Albert Camus, L'Etranger, 1942.
Albert Camus, L’Étranger, « Quand je suis entré en prison ». Quand je suis entré en prison, on m'a pris ma ceinture, mes cordons de souliers, ma cravate et tout ce que je portais dans mes poches, mes cigarettes en particulier. Une fois en cellule, j'ai demandé qu'on me les rende. Mais on m'a dit que c'était défendu. Les premiers jours ont été très durs. C'est peut-être cela qui m'a le plus abattu. Je suçais des morceaux de bois que j'arrachais de fa planche de mon lit. Je promenais toute la jour...
-
Anne Philipe, Le temps d'un soupir
Le V O L D ' I C A RE de BREUGHEL, plein de soleil, est l'expression même de la solitude, non pas de l'égoïsme, mais de l'indifférence qui isole les hommes les uns des autres. Il a sans doute raison, ce laboureur, de tracer son sillon pendant qu'Icare se tue. Il faut que la vie continue, que le grain soit semé ou récolté pendant que d'autres meurent. M ais on s ouhaiterait qu'il lâche sa charrue et aille au sec ours de son prochain. Je me trompe peut-être et sans doute ignore-t-il qu'un homme se...
-
L'oeuvre de Alfred de MUSSET
L'ENTRÉE AU, CÉNACLE (1828). Après d'excellentes études au lycée Henri-IV, Alfred de Musset fait la connaissance de Victor Hugo, pontife de la jeune école littéraire. A peine âgé de dix-huit ans, il est introduit par Paul Foucher au Cénacle de la rue Notre-Dame-des-Champs. Son élégance, son esprit, son aisance mondaine, lui valent des succès flatteurs; ses premiers vers sont accueillis avec enthousiasme; on acclame l'enfant prodige. LES DÉBUTS POÉTIQUES (1830). En janvier 1830, le jeune poète pu...
-
Jean Anouilh, Antigone, (1944).
Sujet: Jean Anouilh, Antigone, (1944) « CRÉON, sourdement. - Eh bien, oui, j'ai peur d'être obligé de te faire tuer si tu t'obstines. Et je ne le voudrais pas. ANTIGONE - Moi, je ne suis pas obligée de faire ce que je ne voudrais pas! Vous n'auriez pas voulu non plus, peut-être, refuser une tombe à mon frère ? Dites-le donc, que vous ne l'auriez pas voulu ? CRÉON - Je te l’ai dit. ANTIGONE - Et vous l’avez fait tout de même. Et maintenant, vous allez me faire tuer sans le vouloir. Et c'est...
-
Jean Anouilh, Antigone, extrait (1944).
Sujet: Jean Anouilh, Antigone, (1944) « CRÉON, sourdement. - Eh bien, oui, j'ai peur d'être obligé de te faire tuer si tu t'obstines. Et je ne le voudrais pas. ANTIGONE - Moi, je ne suis pas obligée de faire ce que je ne voudrais pas! Vous n'auriez pas voulu non plus, peut-être, refuser une tombe à mon frère ? Dites-le donc, que vous ne l'auriez pas voulu ? CRÉON - Je te l’ai dit. ANTIGONE - Et vous l’avez fait tout de même. Et maintenant, vous allez me faire tuer sans le vouloir. Et c'est cela,...
-
-
Eschyle
Eschyle Eschyle est le seul des grands poètes grecs de l'âge classique qui ait vu de ses propres yeux la brillante victoire de la démocratie athénienne, à l'intérieur sur la tyrannie, à l'extérieur sur l'agression perse, et qui l'ait aidée de ses propres mains à la remporter. A vrai dire, Sophocle, alors âgé de seize ans, fut présent à Salamine, mais Hérodote et Euripide étaient encore enfants, et Thucydide et Socrate n'étaient pas encore nés. Eschyle a donc une place à part, non seulement à cau...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les châtiments) - Souvenir de la nuit du 4