79 résultats pour "mme"
- Louis-Honoré FRÉCHETTE (1839-1908) (Recueil : Oiseaux de neige) - A Mme Eliza Frank
- Si vous étiez Mme Caroline Perrichon, dans Le voyage de M. Perrichon d'Eugène Labiche, qu'auriez-vous fait face à la situation : (le choix des prétendants pour Henriette), comment auriez-vous réagi face à un mari tel que Perrichon ?
- Expliquer ce jugement de Grimm: On a raison de considérer les lettres de Mme de Sévigné comme un des monuments les plus précieux du siècle de Louis XIV. Quel historien l'a peint avec plus de vérité ?
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Le quiétisme
Le quiétisme Le jansénisme du XVIIe siècle est trop intellectuel pour être mystique. On peut se demander pourquoi il n'y a pas de grands mystiques français, tels Maître Eckhart à la fin du XIIIe siècle allemand, Catherine de Sienne au )(Ive siècle italien, Jean de la Croix ou Thérèse d'Avila au XVIe siècle espagnol. Cette indigence serait-elle du même ordre que celle qui affecte la « tête épique » ? Siècle religieux le XVIIe siècle connut tous les excès du formalisme mais guère ceux de l'illumin...
- Imaginez un débat dialogué entre un personnage défendant le propos de Mme du Châtelet : moins notre bonheur dépend des autres et plus il nous est aisé d'être heureux et son contradicteur. Un court paragraphe placé avant le débat permettra au lecteur de connaître les circonstances dans lesquelles les personnages échangent leurs points de vue ainsi que leur condition sociale et leurs relations ?
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Incipit d'Un amour de Swann (Proust)
L'incipit d'Un amour de Swann situe l'action. Dans l'extrait étudié (de « Pour faire partie du petit noyau » à « pour avoir trop ri »), Swann se trouve dans un lieu qui ne lui correspond pas : un salon grotesque et ridicule. Le narrateur évoque, avec ironie, le salon de l'intérieur et de l'extérieur. Il apparaît comme le double de Swann, son complice face au clan Verdurin dont il nous donne une vue panoramique pour finir sur un zoom de son chef : Mme Verdurin. Proust met ici la parole en scène e...
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MADAME DE SÉVIGNÉ (1626-1696) Marie de RABUTIN-CHANTAL, marquise de.
MADAME DE SÉVIGNÉ (1626-1696) Marie de RABUTIN-CHANTAL, marquise de. Au même rang que Montaigne et Rousseau, Mme de Sévigné signe une des très rares entreprises authentiquement originales d'accomplissement du moi par la littérature. Les Lettres, comme les Essais et les Rêveries, sont des instruments d'existence et non des alibis, des autobiographies, sans projet autobiographique qui informe et, par conséquent, déforme. Cet épanchement de la vie dans l'écriture, cette captation de sa substance pa...
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LE CARDINAL DE RETZ
LE CARDINAL DE RETZ (1614-1679) PAUL DE GONDI est issu d'une famille florentine protégée par Catherine de Médicis. Les Gondi étaient ducs de RETZ depuis 1581. Quoiqu'il n'ait pas la vocation, on le dirige vers la prêtrise, afin qu'il puisse un jour succéder à son oncle comme archevêque de Paris. De fait, en 1643, il devient le coadjuteur de son oncle, avec le titre d'archevêque de Corinthe. C'est « un petit homme noir, mal fait, laid et maladroit », mais d'une incontestable séduction. Il a des p...
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Le récit de vie doit-il nécessairement éveiller la sympathie pour le personnage central ?
3 mots-clés : "récit de vie", "sympathie" et "personnage" qui sont chacun porteurs d'ambiguïtés : On ne peut qualifier un texte de "récit de vie" qu'à partir du moment où il rapporte la plus grande partie de la vie d'un personnage : ainsi Mme Bovary ou une oeuvre plus courte comme Un coeur simple de Flaubert vont jusqu'à la mort du personnage. Mais L'éducation sentimentale est aussi un récit de vie. Ce terme semble englober aussi l'autobiographie, qui ne comprend évidemment pas le récit de la mo...
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Le récit de vie doit-il nécessairement éveillé de la sympathie pour le personnage qui le met en scène ?
3 mots-clés : "récit de vie", "sympathie" et "personnage" qui sont chacun porteurs d'ambiguïtés : On ne peut qualifier un texte de "récit de vie" qu'à partir du moment où il rapporte la plus grande partie de la vie d'un personnage : ainsi Mme Bovary ou une oeuvre plus courte comme Un coeur simple de Flaubert vont jusqu'à la mort du personnage. Mais L'éducation sentimentale est aussi un récit de vie. Ce terme semble englober aussi l'autobiographie, qui ne comprend évidemment pas le récit de la mo...
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FÉNELON: Politique, religion et littérature
FÉNELON (1651-1715) Fils d'un gentilhomme périgourdin, FRANÇOIS DE SALIGNAC DE LA MOTHE-FÉNELON est attiré vers la prêtrise par une vocation impérieuse et tout d'abord il rêve de se consacrer aux missions du Levant. Sa santé fragile ne lui permet pas de réaliser ce projet. Mais il a l'occasion de déployer son zèle apostolique dans ses fonctions de supérieur des Nouvelles-Catholiques et au cours de deux missions dont il est chargé en Saintonge pour la conversion des protestants, en 1685 et 1687....
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Tartuffe est-il un drame ou une comédie ?
Il y a longtemps qu'on a remarqué que les pièces de Molière ont quelque chose de tragique et que son rire, pourtant si franc et irrésistible, a comme un arrière-goût d'amertume. De Tartuffe surtout, on peut se demander: Est-ce un/drame, est-ce une comédie ? I. Il y a des éléments de drame dans « Tartuffe. » 1. Le sujet n'est guère plaisant en soi : Un hypocrite s'introduit dans une famille, y met le désordre et la désunion... suborne Elmire, est près d'épouser la fille, réussit presque à expulse...
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Voltaire
Voltaire Cet homme qu'on ne pouvait faire taire (1694-1778). François Marie Arouet, fils d'un notaire au Châtelet, fut un homme multiple, à la vie intense. Brillant élève des jésuites, le plus jeune poète et libertin de France sous la Régence, il est, par deux fois, emprisonné à la Bastille, en 1717 et en 1725. Parisien, il est, la plupart du temps, forcé de s'éloigner de Paris. De 1726 à 1729, il séjourne en Angleterre. Pendant dix ans (1734-1744), il est réfugié à Cirey, en Lorraine, chez Mme...
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MARCEL PROUST: vie et oeuvre
MARCEL PROUST est le fils d'un médecin réputé. Sa mère appartenait à la riche bourgeoisie israélite. A neuf ans, il commence à souffrir d'un asthme nerveux, qui affine sa sensibilité déjà excessive. Après avoir été un brillant élève du lycée Condorcet, il commence des études d e droit, qu'il abandonne, et des études de lettres, qu'il pousse jusqu'à la licence. Il se passionne pour l'enseignement de Bergson. L'été, il fréquente les plages de la Manche, Cabourg, Trouville. La fortune de ses parent...
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Le théâtre de RACINE
RACINE (1639-1699) Né à la Ferté-Milon, où son père exerçait les fonctions modestes de contrôleur du grenier à sel, JEAN RACINE se trouve orphelin à l'âge de trois ans. Il est recueilli par ses grands-parents paternels, famille pieuse, étroitement liée avec le monastère de Port-Royal. Sagrand-mère, devenue veuve en 1649, se retire à Port-Royal, l'y emmenant. Sa jeune tante, Agnès, y était déjà religieuse depuis plusieurs années. Jusqu'en 1653, il est élève des « petites écoles ». De 1653 à 1655,...
- La vie intellectuelle au début du XIXe siècle
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- Stendhal, Le Rouge et le Noir, Partie I.
- BALZAC, Illusions perdues (1836-1843)
- Stendhal, Le Rouge et le Noir, Partie I.
- Stendhal, Le Rouge et le Noir, I, 6.
- Stendhal, Le Rouge et le Noir, Partie I.
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Les salons philosophiques au XVIIIe siècle.
Les salons philosophiques au XVIIIe siècle. Dans la seconde moitié du siècle, l'influence des salons• sur la vie intellectuelle devient prépondérante. Ils dirigent les courants d'opinion. Ils consacrent la gloire littéraire. Ils font, dans bien des cas, les élections à l'Académie. Certains hommes de lettres, Grimm, l'abbé Galiani, doivent leur réputation moins à leurs écrits qu'à la place qu'ils ont tenue dans les salons. Toutes les classes s'y coudoient. Les philosophes y prennent conscien...
- Stendhal, Le Rouge et le noir
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Madame de Sévigné, Lettre du 3 février 1695 à Emmanuel de Coulanges.
Mme de Chaulnes me mande que je suis trop heureuse d'être ici avec un beau soleil ; elle croit que tous nos jours sont filés d'or et de soie. Hélàs ! mon cousin, nous avons cent fois plus de froid ici qu'à Paris ; nous sommes exposés à tous les vents ; c'est le vent du midi, c'est la bise, c'est le diable, c'est à qui nous insultera ; ils se battent entre eux pour avoir l'honneur de nous renfermer dans nos chambres ; toutes nos rivières sont prises ; le Rhône, ce Rhône si furieux, n'y résiste pa...
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Les salons de 1700 à 1750.
Les salons de 1700 à 1750. Au temps de la Fronde, les femmes qui voulaient jouer un rôle se lançaient dans les intrigues de l'amour ou de la politique. Sans doute il y eut l'Hôtel de Rambouillet. Mais la marquise ne prétendait à rien de plus qu'à faire régner autour d'elle la délicatesse des manières et les agréments de l'esprit. Maintenant ce sont les femmes qui dirigent et orchestrent la vie intellectuelle. Le préjugé qui s'attachait aux « femmes savantes » s'est dissipé. Les salons ne son...
- Stendhal, Le Rouge et le Noir, Partie I.
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Résumé: La vie de Marianne de Marivaux
La vie de Marianne de Marivaux Marivaux (1688-1763) aura certes survécu grâce à son théâtre plus qu'à ses romans, parfois inachevés, ou à ses recueils de récits. Ruiné par la banqueroute de Law, familier des salons (Mme du Deffand, Mn' de Tencin) autant que des acteurs de la Comédie-Française, Marivaux n'a pas d'histoire, sinon celle d'un homme qui n'a guère été heureux. Un manuscrit trouvé à la campagne relate la vie de Marianne : c'est elle-même qui la raconte pour l'une de ses amies. Remontan...
- Maupassant, La Parure
- Vie et oeuvre de ROUSSEAU