43 résultats pour "mi+nue"
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : L'Amour passionnée de Noémie) - Je l'oeilladais mi-nue, échevelée
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Les cariatides) - La chanson de ma mie
- Raymond RADIGUET (1903-1923) (Recueil : Couleurs sans danger) - Nues
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : Emaux et camées) - La nue
- Léon VALADE (1841-1884) (Recueil : À mi-côte) - Nuit de Paris
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - Le mie prigioni (mes prisons)
- Jean MORÉAS (1856-1910) (Recueil : Les Syrtes) - Hautes sierras aux gorges nues
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - A la nue accablante ...
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Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours d'Hippolyte) - Je crois que tout mon lit de chardons est semé
Philippe DESPORTES, Les amours d'Hippolyte, « Je crois que tout mon lit de chardons est semé ». 1. Je crois que tout mon lit de chardons est semé ! 2. Qu'il est rude et malfait. Hé ! Dieu suis-je si tendre 3. Que je n'y puis durer ? je ne fais que m'étendre, 4. Et ne sens point venir le Somme accoutumé. 5. Il est après mi-nuit, je n'ai pas l'oeil fermé, 6. Et mes membres lassés repos ne peuvent prendre. 7. Sus Phebus, lève-toi ! ne te fais plus attendre. 8. Et de tes clairs regards rends le cie...
- Clovis Hesteau de NUYSEMENT (1550-16xx) - Comme on voit en été une bruyante nue
- Rainer Maria RILKE (1875-1926) (Recueil : Les quatrains valaisans) - Pays, arrêté à mi-chemin
- Cécile SAUVAGE (1883-1927) (Recueil : Le vallon) - Ô Beauté nue
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Non autrement qu'on voit la pluvieuse nue
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - A la mi-carême
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les feuilles d'automne) - Le soleil s'est couché ce soir dans les nuées
- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - J'aime le souvenir de ces époques nues
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Paul Fort (1872-1960), Ballades françaises
Par les nuits d'été bleues où chantent les cigales, Dieu verse sur la France une coupe d'étoiles. Le vent porte à ma lèvre un goût du ciel d'été! Je veux boire à l'espace fraîchement argenté. L'air du soir est pour moi le bord de la coupe froide où, les yeux mi-fermés et la bouche goulue, je bois, comme le jus pressé d'une grenade, la fraîcheur étoilée qui se répand des nues. Couché sur un gazon dont l'herbe est encore chaude de s'être prélassée sous l'haleine du jour, oh! que je viderais, c...
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Léopold Sédar Senghor
Introduction Léopold Sédar Senghor reprend une longue tradition poétique qui lie la nature et la femme. Mais le lecteur sent fort bien qu'il ne s'agit pas, dans ce poème, d'une simple convention littéraire. La symbiose est totale. La force de la nature africaine, la sensualité, le lyrisme, tout concourt à faire de ce texte un bel hymne à la négritude. Il sera possible d'étudier la correspondance avec le continent et l'éloge vibrant de l'amour. Développement Le plan de la première partie sera plu...
- Léon VALADE (1841-1884) (Recueil : À mi-côte) - Ressouvenance
- Léon VALADE (1841-1884) (Recueil : À mi-côte) - L'enseigne
- Léon VALADE (1841-1884) (Recueil : À mi-côte) - Madrigal amer
- Pierre Magnan écrit au début de ses Mémoires : « Je vais descendre nu et cru dans la fosse aux hommes. Ils ne me feront pas quartier. [...] Mais c'est moi, d'abord, qui ne dois pas me faire quartier. » Dans quelle mesure ce propos peut-il définir l'entreprise autobiographique ? Vous en discuterez en vous appuyant sur les textes du corpus...
- « Si un homme n'a jamais lu les bons auteurs, les livres qui bouleversent les coeurs et les intelligences de millions de lecteurs, s'il ne peut réciter une ou deux douzaines de vers de son poète favori - n'en aurait-il qu'un - celui-là est condamné à l'indigence spirituelle, à vivre à « mi-coeur » ; il se prive d ; il se prive dune part immense des joies que procure la connaissance du beau ». Lev Kassil, le Courrier de l'Unesco, février 1968. Vous vous interrogerez sur ce jugement en v
- L'écrivain Cocteau (1889-1963) définit ainsi la poésie : « L'espace d'un éclair nous voyons un chien, un fiacre, une maison pour la première fois. Voilà le rôle de la poésie. Elle dévoile dans toute la force du terme. Elle montre nues, sous une lumière qui secoue la torpeur, les choses surprenantes qui nous environnent et que nos sens enregistraient machinalement. Mettez un lieu commun en place, nettoyez- le, frottez-le,éclairez-le de telle sorte qu'il frappe avec sa jeunesse et la ave
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- René GHIL (1862-1925) (Recueil : Légendes d'âmes et de sangs) - Aux temps des dieux
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Émile Zola (1840-1902), Nouveaux Contes à Ninon (1874), "Le Forgeron".
Zola, Nouveaux Contes à Ninon, « Le Forgeron ». J’ai vécu une année chez le Forgeron, toute une année de convalescence. J’avais perdu mon cœur, perdu mon cerveau, j’étais parti, allant devant moi, me cherchant, cherchant un coin de paix et de travail, où je pusse retrouver ma virilité. C’est ainsi qu’un soir, sur la route, après avoir dépassé le village, j’ai aperçu la forge, isolée, toute flambante, plantée de travers à la croix des Quatre-Chemins. La lueur était telle, que la porte charretière...
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Théophile de VIAU (1590-1626) - Je songeais que Philis des enfers revenue
Théophile de VIAU, « Je songeais que Philis des enfers revenue ». Sonnet Je songeais que Philis des enfers revenue, Belle comme elle était à la clarté du jour, Voulait que son fantôme encore fît l'amour Et que comme Ixion j'embrassasse une nue. Son ombre dans mon lit se glissa toute nue Et me dit : « Cher Tircis, me voici de retour, Je n'ai fait qu'embellir en ce triste séjour Où depuis ton départ le sort m'a retenue. Je viens pour rebaiser le plus beau des amants, Je viens pour remourir dans te...
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Quelle différence profonde faites-vous entre une tragédie et une comédie ?
Introduction : a) Le fait de dire, pour expliquer l'échec de Dom Garcie de Navarre, que Molière n'avait pas le génie tragique, ou que telle de ses comédies (L'Avare, L'Ecole des Femmes, Dom Juan, Le Misanthrope), touche a la tragédie, montre bien qu'on distingue d'emblée une tragédie dune comédie. b et c) Le problème est plus difficile s'il s'agit de préciser la nature de cette différence. I. — Ce qu'elle n'est pas : Elle ne réside, en effet, comme on se risque souvent à le dire... a) ni dans un...
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Georges Bernanos, Sous le soleil de Satan
M'aimes-tu ? » dit-elle tout à coup d'une voix où la plainte se faisait étrangement grave et dure. Puis elle ajouta aussitôt : Je te demande ça à cause d'une idée que j'ai dans la tête. Quelle idée ? M'aimes-tu ? » reprit-elle soudain de la même voix. En même temps, elle se levait, toute vibrante, ridiculement nue dans son manteau entrouvert, nue et menue, et dans les yeux ce même regard d'où l'orgueil était tombé. ... Réponds-moi ? dit-elle encore, réponds-moi vite ! Voyons... Germaine... Rien...
- Charles CROS (1842-1888) (Recueil : Le coffret de santal) - Le hareng saur
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Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Poésies) - Le dormeur du val
Introduction Ce sonnet a été inspiré à Rimbaud par un souvenir émouvant de la guerre de 1870. Mais le poète n'y étale pas indiscrètement sa sensibilité. L'élément descriptif prédomine avec l'évocation du cadre de la nature et du personnage. L'élément lyrique est seulement indiqué par le mouvement d'ensemble du poème, d'une manière de plus en plus précise, au fur et à mesure de sa progression. Les thèmes lyriques transparaissent çà et là sous les notations pittoresques. 1. L'élément descriptif Ce...
- Albert FERLAND (1872-1943) (Recueil : Femmes rêvées) - Rêve
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- Charles d' ORLEANS (1394-1465) (Recueil : Rondeaux) - Qui a toutes ses hontes beues
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Au jardin de l'infante) - Silence !...
- Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Poésies) - Première soirée
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Odes funambulesques) - Éveil
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L'oeuvre de MUSSET
A Le poète Musset nous apparaît tantôt comme un mondain, qui goûte avec avidité la joie de vivre, tantôt comme un passionné, qui aspire avec ardeur à l'extase, finalement comme un désenchanté, qui ne croit plus au bonheur et qui trouve au plaisir une saveur amère. Ces visages divers se retrouvent dans son oeuvre. LA VERVE BRILLANTE. Musset aime les jeux de la rime et du rythme, de l'imagination et de la sensibilité. Au début de sa carrière, il cultive surtout l'acrobatie verbale; quelques années...
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes antiques) - Paysage
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - D'après Albert Dürer
- LA LETTRE - Albert COHEN, Belle du Seigneur, 1968.
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- Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Poésies) - Les étrennes des orphelins
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes antiques) - La vision de Brahma
- Jean BERTAUT (1552-1611) (Recueil : Divers sonets) - Adieu