Résultats pour "mi+nue"
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : L'Amour passionnée de Noémie) - Je l'oeilladais mi-nue, échevelée
- Raymond RADIGUET (1903-1923) (Recueil : Couleurs sans danger) - Nues
- Léon VALADE (1841-1884) (Recueil : À mi-côte) - Nuit de Paris
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : Emaux et camées) - La nue
- Jean MORÉAS (1856-1910) (Recueil : Les Syrtes) - Hautes sierras aux gorges nues
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - A la nue accablante ...
- Rainer Maria RILKE (1875-1926) (Recueil : Les quatrains valaisans) - Pays, arrêté à mi-chemin
- Cécile SAUVAGE (1883-1927) (Recueil : Le vallon) - Ô Beauté nue
- Clovis Hesteau de NUYSEMENT (1550-16xx) - Comme on voit en été une bruyante nue
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - A la mi-carême
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Non autrement qu'on voit la pluvieuse nue
- Etienne de LA BOETIE (1530-1563) (Recueil : Vingt neuf sonnetz) - Quoy ? qu'est ce ? ô vans, ô nuës, ô l'orage !
- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - J'aime le souvenir de ces époques nues
- Léon VALADE (1841-1884) (Recueil : À mi-côte) - Ressouvenance
- Léon VALADE (1841-1884) (Recueil : À mi-côte) - L'enseigne
- Léon VALADE (1841-1884) (Recueil : À mi-côte) - Madrigal amer
- Albert FERLAND (1872-1943) (Recueil : Femmes rêvées) - Rêve
- « Si un homme n'a jamais lu les bons auteurs, les livres qui bouleversent les coeurs et les intelligences de millions de lecteurs, s'il ne peut réciter une ou deux douzaines de vers de son poète favori - n'en aurait-il qu'un - celui-là est condamné à l'indigence spirituelle, à vivre à « mi-coeur » ; il se prive d ; il se prive dune part immense des joies que procure la connaissance du beau ». Lev Kassil, le Courrier de l'Unesco, février 1968. Vous vous interrogerez sur ce jugement en vous référant aux oeuvres littéraires que vous avez appréciées ?
- L'écrivain Cocteau (1889-1963) définit ainsi la poésie : « L'espace d'un éclair nous voyons un chien, un fiacre, une maison pour la première fois. Voilà le rôle de la poésie. Elle dévoile dans toute la force du terme. Elle montre nues, sous une lumière qui secoue la torpeur, les choses surprenantes qui nous environnent et que nos sens enregistraient machinalement. Mettez un lieu commun en place, nettoyez- le, frottez-le,éclairez-le de telle sorte qu'il frappe avec sa jeunesse et la avec la même fraîcheur, le même jet qu'il avait à sa source, vous ferez oeuvre de poète ». ?
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Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours d'Hippolyte) - Je crois que tout mon lit de chardons est semé
Philippe DESPORTES, Les amours d'Hippolyte, « Je crois que tout mon lit de chardons est semé ». 1. Je crois que tout mon lit de chardons est semé ! 2. Qu'il est rude et malfait. Hé ! Dieu suis-je si tendre 3. Que je n'y puis durer ? je ne fais que m'étendre, 4. Et ne sens point venir le Somme accoutumé. 5. Il est après mi-nuit, je n'ai pas l'oeil fermé, 6. Et mes membres lassés repos ne peuvent prendre. 7. Sus Phebus, lève-toi ! ne te fais plus attendre. 8. Et de tes clairs regards rends le cie...
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Au jardin de l'infante) - Silence !...
- Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Poésies) - Première soirée
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Odes funambulesques) - Éveil
- LA LETTRE - Albert COHEN, Belle du Seigneur, 1968.
- Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Poésies) - Les étrennes des orphelins
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Paul Fort (1872-1960), Ballades françaises
Par les nuits d'été bleues où chantent les cigales, Dieu verse sur la France une coupe d'étoiles. Le vent porte à ma lèvre un goût du ciel d'été! Je veux boire à l'espace fraîchement argenté. L'air du soir est pour moi le bord de la coupe froide où, les yeux mi-fermés et la bouche goulue, je bois, comme le jus pressé d'une grenade, la fraîcheur étoilée qui se répand des nues. Couché sur un gazon dont l'herbe est encore chaude de s'être prélassée sous l'haleine du jour, oh! que je viderais, c...