70 résultats pour "marc"
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Chansons pour elle) - Tu crois au marc de café
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Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - La solitude
Marc-Antoine Girard, sieur de Saint-Amant, « La solitude ». 1. Ô ! que j'aime la solitude ! 2. Que ces lieux sacrés à la nuit, 3. Eloignés du monde et du bruit, 4. Plaisent à mon inquiétude ! 5. Mon Dieu! Que mes yeux sont contents 6. De voir ces bois qui se trouvèrent 7. A la nativité du temps, 8. Et que tous les Siècles révèrent, 9. Etre encore aussi beaux et verts, 10. Qu'aux premiers jours de l'Univers ! 11. Que j'aime à voir la décadence 12. De ces vieux châteaux ruinés, 13. Contre qui les...
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Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - Plainte sur la mort de Sylvie
Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT, « Plainte sur la mort de Sylvie ». 1. Ruisseau qui cours après toi-même 2. Et qui te fuis toi-même aussi, 3. Arrête un peu ton onde ici 4. Pour écouter mon deuil extrême. 5. Puis, quand tu l'auras su, va-t'en dire à la mer 6. Qu'elle n'a rien de plus amer. 7. Raconte-lui comme Sylvie, 8. Qui seule gouverne mon sort, 9. A reçu le coup de la mort 10. Au plus bel âge de la vie, 11. Et que cet accident triomphe en même jour 12. De toutes les forces d'Amour. 13. L...
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Tristan et Yseult
Tristan, prince de Léonois et neveu de Marc, roi de Cornouailles, délivre ce pays d'un monstre, le Morhout, qui venait chaque année réclamer un tribut de jeunes gens et de jeunes filles (cf. la légende grecque, de Thésée et du Minotaure). Vainqueur, mais blessé par l'épée empoisonnée du Morhout, Tristan se laisse porter par une barque sans voiles et sans gouvernail jusqu'en Irlande, où il est guéri par la reine. (Cette reine est la mère d'Yseult ; certaines versions nous disent que Tristan est g...
- Marc-Antoine DÉSAUGIERS (1772-1827) - L'atelier du peintre
- Marc-Antoine DÉSAUGIERS (1772-1827) - Les plaisirs du dimanche
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - Le paresseux
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - Les goinfres
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- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - La débauche
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - La Généreuse
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - La nuit
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - La Rome ridicule
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - Le fromage
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - Le Déluge
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - L'Amarante
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - Le contemplateur
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- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - La pluie
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - Le melon
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - Les visions
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Saint Luc
Saint Luc Ier siècle C'est un médecin. Son nom, Luc, est grec. Sa langue et sa culture aussi. Compagnon de Paul au moins depuis Troas (Actes 15, II ss.), il semble avoir tenu comme un journal de leur voyage dont il insérera plus tard de larges extraits dans sa composition des Actes des Apôtres. Ses orientations de pensée sont plutôt celles de Paul, comme celles de Marc, qu'il connaîtra d'ailleurs personnellement, étaient plutôt celles de Pierre. Dans un temps où il n'avait pas encore écrit son o...
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - Sonnet inachevé
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - L'esté de Rome
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - L'automne des Canaries
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - La naissance de Pantagruel
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- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - La plainte de Tirsis
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - Le palais de la volupté
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - Moïse sauvé
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - Le soleil levant
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - Le poète crotté
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - Sonnet à feu M. Desyveteaux
- Marc Claude de BUTTET (1530-1586) (Recueil : L'Amalthée) - Dans la forest d'esperance lointaine
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - Le printemps des environs de Paris
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- Marc Claude de BUTTET (1530-1586) (Recueil : L'Amalthée) - Que me fuis-tu ? Mille Nymphes me cherchent
- Marc Claude de BUTTET (1530-1586) (Recueil : L'Amalthée) - Ja le matin, qui l'univers redore
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - Que ne suis-je échangé en précieuse pluie
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - Voici le rendez-vous des Enfants sans souci
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - Assis sur un fagot, une pipe à la main
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - Mais quelle aveugle loi tellement te maîtrise
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - Pourquoi négliges-tu l'extrême affection
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - Je viens de recevoir une belle missive
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- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - Fagoté plaisamment comme un vrai Simonnet
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Diverses poésies) - Sonnet des gestes des Dames
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - Sonnet sur des mots qui n'ont point de rime
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - Ton voile noir te fait approuver feinte
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - Quand viendra l'heureux temps que je sacrifiré
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - Si les pleurs douloureux, si les tristes complaintes
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : L'Amour passionnée de Noémie) - Quoi ! qu'est-ce que ceci ? ma mignonne, es-tu folle ?
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - Un jour le Ciel était superbement ému
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- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - Je voudrais bien, pour m'ôter de misère
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - Si l'amour ne paraît à mes désirs constant