Résultats pour "maine"
- Montrer qu'en dépit de leur apparente diversité tous les grands ouvrages de Rousseau se rapportent à une thèse unique : « Tout est bien sortant des mains de l'auteur des choses, tout dégénère entre les mains de l'homme. » ?
- Hugues SALEL (1504-1553) - De la main de Marguerite
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Les mains d'Elsa par Louis ARAGON
Introduction. 1. a) Aragon, poète surréaliste, a écrit de nombreux poèmes adressés à sa femme Eisa. b) Les mains d'Eisa, poème tiré du recueil Le Fou d'Eisa (1964). Thème de la femme qui apaise et sauve le poète par son amour. 2. Annonce de plan. I. L'angoisse du poète. II. Le rôle de la femme. III. La transfiguration par la prière. I. L'angoisse du poète. A. Les degrés de l'angoisse. Une montée dans l'angoisse, qui vient progressivement. 1. « L'inquiétude ». 1er stade : absence de tranquillité,...
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Les chères mains qui furent miennes
- Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Poésies) - Les mains de Jeanne-Marie
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Parallèlement) - Mains
- Germain NOUVEAU (1851-1920) (Recueil : Poésies d'Humilis) - Les mains
- Pierre de MARBEUF (1596-1645) - Les mains d'Amaranthe
- François Scalion de VIRBLUNEAU (15xx-15xx) (Recueil : Les loyalles et pudiques amours) - Ha ! main qui doucement me déchirez le coeur
- Jean MORÉAS (1856-1910) (Recueil : Les Cantilènes) - Ses mains qu'elle tend ...
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le sang des crépuscules) - Le vent est doux comme une main de femme
- Jean-Paul Sartre, Les Mains sales, sixième tableau, scène II (1948).
- Jean-Paul Sartre, Les Mains sales (1947), 6ème tableau, scène 2 (extrait).
- Flaminio de BIRAGUE (1550-x) - Sus, gants, allez couvrir la main gentille et belle
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Mon Dieu, que je voudrais que ma main fût oisive
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Oh ! tes si douces mains...
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - Ton poil, ton oeil, ta main, crêpé, astré, polie
- Rémy BELLEAU (1528-1577) (Recueil : La Bergerie) - Pendant que vostre main docte ...
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Poésies Antiques) - Fille du vieux pasteur, qui d'une main agile
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Avec mes vieilles mains...
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Romances sans paroles) - Le piano que baise une main frêle
- Jean de LA CEPPÈDE (1550-1623) (Recueil : Théorèmes) - Ô Père dont jadis les mains industrieuses
- Jean-Baptiste CHASSIGNET (1571-1635) - Tantost la crampe aus piés, tantost la goute aus mains
- Jacques GRÉVIN (1538-1570) - Tout passe par leurs mains, rien ne se fait sans eux
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Beauté des femmes, leur faiblesse, et ces mains pâles
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Lorsque ta main confie, un soir...
- Renée VIVIEN (1877-1909) (Recueil : A l'heure des mains jointes) - Je pleure sur toi...
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Ève pleurait. Ses mains cachaient sa tête pâle
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Aloysius BERTRAND (1807-1841) (Recueil : Gaspard de la nuit) - Les cinq doigts de la main
Aloysius Bertrand, Gaspard de la Nuit - Livre I. « Les Doigts de la main ». Une honnête famille où il n'y a jamais eu de banqueroute, où personne n'a jamais été pendu. La parenté de Jean de Nivelle. Le pouce est ce gras cabaretier flamand, d'humeur goguenarde et grivoise, qui fume sur sa porte, à l'enseigne de la double bière de mars. L'index est sa femme, virago sèche comme une merluche, qui dès le matin soufflette sa servante dont elle est jalouse, et caresse la bouteille dont elle est amoureu...
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - Assis sur un fagot, une pipe à la main
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Second livre des Amours) - Je vous envoye un bouquet que ma main
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Lorsque ma main frémit si la tienne l'effleure
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Je prendrai par la main les deux petits enfants
- Vous examinerez ce jugement de Maine de Biran: Les philosophes du 18e siècle n'ont pas connu l'homme ?
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : Poèmes posthumes) - Songe
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - Morceau à quatre mains
- Renée VIVIEN (1877-1909) (Recueil : A l'heure des mains jointes) - Je t'aime d'être faible...
- Renée VIVIEN (1877-1909) (Recueil : A l'heure des mains jointes) - En débarquant à Mytilène
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Pour Monseigneur le duc de Maine
- Sabine SICAUD (1913-1928) (Recueil : Premiers poèmes) - Vigne vierge d'automne
- Jean MORÉAS (1856-1910) (Recueil : Les Syrtes) - Ariette
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Asseyons-nous tous deux près du chemin
- Aldous Huxley, Le Meilleur des mondes
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Un écrivain contemporain écrit : « Le poète a un pied dans la boue, un oeil sur les étoiles et un poignard dans la main. » Cette vision du poète vous parait-elle pouvoir s'appliquer à Victor Hugo dans les poèmes des Châtiments que vous avez étudiés ?
Cette description du poète utilise exclusivement des images, ce qui laisse une certaine marge à l'interprétation : la "boue", ce peut être plusieurs choses : la réalité banale et quotidienne, parfois laide; ou alors plus spécifiquement cet élément peut désigner par métonymie le peuple, c'est-à-dire les petites gens "crottés". Dans les deux cas ce sont des éléments qui n'ont traditionnellement pas vraiment leur place en poésie. "L'oeil sur les étoiles" semble plus conforme au caractère traditionn...
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Jocelyn) - Les laboureurs
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Méditations poétiques) - Dieu
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : Stances) - Complainte à sa dame
- En vous inspirant du texte de Ponge prenez un objet banal et transformez-le en lui donnant une vie particulière. Texte de Ponge : Le Pain La surface du pain est merveilleuse d'abord à cause de cette impression quasi panoramique qu'elle donne : comme si l'on avait à sa disposition sous la main les Alpes, le Taurus ou la Cordillère des Andes. Ainsi donc une masse amorphe en train d'éructer fut glissée pour nous dans le four stellaire, où durcissant elle s'est façonnée en vallées, crêtes, ondulations, crevasses... Et tous ces plans dès lors si nettement articulés, ces dalles minces où la lumière avec application couche ses feux, - sans un regard pour la mollesse ignoble sous-jacente. Ce lâche et froid sous-sol que l'on nomme la mie a son tissu pareil à celui des éponges : feuilles ou fleurs y sont comme des soeurs siamoises soudées par tous les coudes à la fois. Lorsque le pain rassit ces fleurs fanent et se rétrécissent : elles se détachent alors les unes des autres, et la masse en devient friable... Mais brisons-la : car le pain doit être dans notre bouche moins objet de respect que de consommation. ?
- Poème sur le désastre de Lisbonne ou examen de cet axiome : "tout est bien"
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les rythmes souverains) - Le paradis