3617 résultats pour "grand+s"
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Viens lentement t'asseoir
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - L'Occident
- CHAMFORT conclut ainsi son Éloge de Molière (1766) : N'existerait-il pas un point de vue d'où Molière découvrirait une nouvelle carrière dramatique ? Répandre l'esprit de société fut le but qu'il se proposa. Arrêter ses funestes effets serait-il un dessein moins digne d'un sage ? Verrait-il sans porter la main sur ses crayons l'abus que nous avons fait de la société et de la philosophie, le mélange ridicule des conditions, cette jeunesse qui a perdu toute morale à quinze ans, toute sen
- Corneille, Le Cid, Acte IV, scène 3.
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L'oeuvre romanesque de Flaubert
L'existence de Flaubert est presque sans histoire. Ses essais de jeunesse révèlent, en même temps qu'une vocation précoce d'écrivain, un tempérament passionné. Atteint en 1843 d'une maladie nerveuse, il doit abandonner toute vie active. Il s'éloigne du monde et, reclus dans sa propriété de Croisset, il se consacre jusqu'à sa mort au culte passionné d'un art qui se donne l'impersonnalité pour loi. Ses principales oeuvres, tout particulièrement Madame Bovary, le désignent aux yeux de ses contempor...
- George ORWELL, 1984, Édition Folio.
- Gustave Roud, Air de solitude, 1945.
- Stendhal, La Chartreuse de Parme, 1839. « La bataille de Waterloo »
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UNE MORT INTEMPESTIVE - GUY DE MAUPASSANT, Le Vieux.
UNE MORT INTEMPESTIVE - GUY DE MAUPASSANT, Le Vieux. Maître Chicot, la bouche pleine, prononça : S'il nous véyait, l'pé, ça lui f'rait deuil. C'est li qui les aimait d'son vivant. Un gros paysan jovial déclara : Il n'en mangera pu, à c't'heure. Chacun son tour. Cette réflexion, loin d'attrister les invités, sembla les réjouir. C'était leur tour, à eux, de manger des boules. Mme Chicot, désolée de la dépense, allait sans cesse au cellier chercher du cidre. Les brocs se suivaient et se vidaient co...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Un soir
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - L'aube est moins claire...
- Chateaubriand, Mémoires d'outre-tombe, 1841 (Le portrait de Lucile).
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'année terrible) - Ah ! c'est un rêve ! non ! nous n'y consentons point
- Léon DIERX (1838-1912) - L'oeil
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flambeaux noirs) - La révolte
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flambeaux noirs) - Un soir (I)
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- Pierre GROGNET (15xx-1540) - Description de la noble ville et cité d'Auxerre
- William Faulkner
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Chateaubriand, Le Port de Brest.
Cette mer que je devais rencontrer sur tant de rivages, baignait à Brest l'extrémité de la péninsule armoricaine : après ce cap avancé, il n'y avait plus rien qu'un océan sans bornes et des mondes inconnus; mon imagination se jouait dans ces espaces. Souvent assis sur quelque mât qui gisait le long du quai de Recouvrance, je regardais les mouvements de la foule : constructeurs, matelots, militaires, douaniers, forçats passaient et repassaient devant moi. Des voyageurs débarquaient et s'embarquai...
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Rien de trop
- Remy de GOURMONT (1858-1915) (Recueil : Simone) - Les cheveux
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La littérature d'Amérique latine contemporaine
La littérature d'Amérique latine contemporaine La littérature latino-américaine qui naît avec le XXe siècle se distingue par son extraordinaire vitalité, par la richesse de ses expressions, et elle déferla sur l'Europe en une seconde et puissante vague dans les années 60. Parmi les fondateurs de la modernité littéraire de l'Amérique latine on compte surtout des poètes, le Nicaraguayen Rùben Dario, le Chilien Pablo Neruda et l'Argentin Jorge-Luis Borgès. En Amérique australe, l'Uruguayen Felisber...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les débâcles) - Le glaive
- Louis-Xavier de RICARD (1843-1911) (Recueil : Ciel, rue et foyer) - Vers pentédécasyllabiques
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- « Un suffisant lecteur descouvre souvant ès escrits d'autruy des perfections autres que celles que l'autheur y a mises et apperceües, et y preste des sens et des visages plus riches. » (Montaigne, Essais, Livre I Chapitre XXIV)
- Jean RICHEPIN (1849-1926) (Recueil : La chanson des gueux) - Jour des morts
- Louis MÉNARD (1822-1901) (Recueil : Rêveries d'un païen mystique) - L'idéal
- Jean de La Bruyère, Les Caractères
- Mérimée, La Vénus d'Ille.
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La pièce de Molière, Dom Juan, est-elle une comédie ?
- Indéniablement, le XVIIe siècle est celui de l'apogée théâtrale avec une reconnaissance de ses auteurs qui se fait jour. C'est aussi le siècle de Louis XIV de la création de la Comédie Française et de l'émergence de trois dramaturge clés : Racine, Corneille et Molière. - Ce dernier s'illustre particulièrement dans des comédies comme le Tartuffe. Cependant, Molière est également le père de pièces dites « inclassables ». C'est le cas de Dom Juan, parue en 1665. Communément rangée dans les comédi...
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Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Spleen : Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Introduction Ce poème est l'un des quatre qui dans Les Fleurs du mal portent le même titre : « Spleen ». La première partie du livre, où figurent ces quatre poèmes, s'appelle « Spleen et Idéal ». C'est assez dire quelle importance revêt au sein de l'œuvre le thème ici traité et quelles résonances il évoque dans l'âme du poète. On ne saurait donc s'étonner que la qualité de l'expression soit à la hauteur de l'émotion ressentie. « Spleen » nous ouvre de riches perspectives sur l'inspiration et l'a...
- Le Tartuffe est-il une pièce comique ?
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- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les solitudes) - Les serres et les bois
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - Une bonne fortune
- Hégésippe MOREAU (1810-1838) - Si vous m'aimiez
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les rythmes souverains) - Le navire
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flammes hautes) - Les morts
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La France lettrée a célébré en 1924 le quatrième centenaire de Ronsard. Dites, sans insister sur quelques charmantes poésies bien connues, par quelles qualités et par quels services Ronsard a bien mérité de la littérature française ?
Ronsard a été de son vivant considéré comme le prince des poètes français. Mais sa gloire fut suivie d'un long oubli. Sainte-Beuve le réhabilite en 1828. (Tableau historique et critique de la poésie française et du théâtre français au XVIe siècle et Oeuvres choisies de Pierre de Ronsard, avec notice, notes et commentaire.) Les romantiques voient en lui un précurseur et depuis les études et les éditions se sont multipliées. On le considère comme l'un de nos plus grands poètes, très supérieur à Ma...
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les vaines tendresses) - L'amour maternel
- Jean de la Bruyère, Les Caractères, « De la société et de la conversation », 1688.
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- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - L'Ane et le petit Chien
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Je n'ai songé qu'à toi ...
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - L'Enfant et le Maître d'école
- L'art de Proust
- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Le spleen de Paris) - Le galant tireur
- Mauriac, Thérèse Desqueyroux (Chapitre III)
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JEAN RACINE
JEAN RACINE Corneille et Racine sont indéniablement les auteurs du siècle, dans le genre du siècle, et on voit mal pourquoi on cesserait d'exploiter un parallèle aux ressources inépuisablement éloquentes. Corneille est l'action tragique ; il fait éclater au théâtre l'affrontement des forces qui font l'histoire. Racine est l'essence tragique ; il fait chanter sur le théâtre la souffrance de l'individu broyé par le destin. Tout aussi sanglant que celui de Racine, le théâtre de Corneille, du fait...
- Maupassant, Bel Ami.
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Certaines éditions de poche, pour éveiller l'intérêt du lecteur éventuel, présentent au dos du volume un bref résumé de l'intrigue. Quelle réflexions cette pratique vous inspire-t-elle A votre avis, l'intérêt essentiel de l'oeuvre littéraire réside-t-elle surtout dans l'histoire ?
Introduction - Que cherchons-nous dans la littérature ? Si l'on en croit les éditeurs de collections de poche, qui souvent résument l'intrigue sur le dos de l'ouvrage pour attirer l'attention du lecteur éventuel, l'histoire constitue l'intérêt principal des livres. - Cette croyance répond-elle à la réalité ? La valeur d'un roman ou d'une pièce se résume-t-elle à l'intrigue ? - D'où les axes de réflexion suivants : I. L'intrigue joue un rôle important dans une œuvre littéraire. II. D'autres éléme...
- Gaston COUTÉ (1880-1911) - Gueux









