3617 résultats pour "grand+s"
- Par quels moyens littéraires un écrivain vous semble-t-il le mieux à même d'emporter l'adhésion de ses lecteurs lorsqu'il s'agit de lutter contre les abus humains de toutes sortes ?
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Quelles sont, dans la pièce que vous avez étudiée cette année (Antigone de Jean Anouilh), les relations entre le mythe et le tragique ?
[Introduction] Les relations entre le mythe et le tragique remontent à la nuit des temps, puisqu'il semble que les mythes aient été inventés pour apporter des réponses aux questions angoissantes que les hommes se posent sur leur condition. Aussi des grands tragiques grecs aux auteurs contemporains en passant par les classiques, les dramaturges ont-ils constamment puisé dans le large éventail de situations et de personnages fourni par la mythologie pour répondre aux préoccupations de leur temps....
- Pensez-vous comme André Lhote que : Le poète est celui qui tout au long de son existence, conserve le dont de s'emmerveiller ?
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La comédie est-elle en mesure de corriger les moeurs ou se borne-t-elle à faire rire ?
Introduction : La comédie est définie généralement de façon simpliste comme une pièce de théâtre divertissante ayant pour but de faire rire. Elle met en scène des personnages qui appartiennent aux catégories moyennes de la société (principalement des esclaves, valets, commerçants, bourgeois, mais rarement des nobles, qui sont des personnages de tragédie), et dont les aventures se terminent dans un dénouement heureux. Cependant notre sujet envisage une autre fonction de la comédie, dépassant le...
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« Il n'y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien; tout ce qui est utile est laid, car c'est l'expression de quelque besoin, et ceux de l'homme sont ignobles et dégoûtants comme sa pauvre et infirme nature », écrivait Th. Gautier. Que pensez-vous de ce jugement? Vous direz, en particulier, en empruntant vos exemples à vos propres lectures, quelle utilité vous reconnaissez aujourd'hui à la littérature.
« Il n'y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien; tout ce qui est utile est laid, car c'est l'expression de quelque besoin, et ceux de l'homme sont ignobles et dégoûtants comme sa pauvre et infirme nature », écrivait Th. Gautier. Que pensez-vous de ce jugement? Vous direz, en particulier, en empruntant vos exemples à vos propres lectures, quelle utilité vous reconnaissez aujourd'hui à la littérature. Développement Les musées sont pleins d'objets que nous trouvons beaux mais que...
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Les Châtiments VII, 5 de Victor Hugo
Les Châtiments VII, 5 de Victor Hugo Introduction : De nos jours, Victor Hugo est davantage étudié pour son œuvre dramatique mais il n’en demeure pas moins un des plus grand poète de la littérature française. En effet, il occupe une place exceptionnelle dans l’histoire de nos lettres ; il domine le XIXème siècle par la durée de sa vie et de sa carrière, par la fécondité de son génie et la diversité de son œuvre. Pourtant, s’il a travaillé presque tous les genres, du roman au théâtre en passant p...
- Commentez et discutez cette appréciation de Fermand Gregh au sujet des Contemplations: Hugo y a passé définitivement du romantisme, du romantisme qui n'était qu'un moment littéraire, à l'humanisme éternel des grands classiques ?
- On peut se demander pourquoi la lecture ou l'étude d'un ouvrage donne parfois envie de connaître d'autres oeuvres du même auteur. s'il vous est arrivé de vivre cette expérience, vous analyserez ce qui en fait pour vous le prix ?
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Faut il chercher le sens d'une oeuvre dramatique dans son dénouement ? Vous prendrez appuie sur les textes du corpus et vos études en classe.
Le terme même de dénouement éclaire sur sa fonction : la scène du dénouement est chargée de "dénouer" l'intrigue qui a été présentée et qui s'est compliquée tout au long de la pièce. Elle a une fonction dramatique évidente. A ce premier niveau se superpose un niveau symbolique : quel sens l'auteur a-t-il voulu donner à sa pièce? La question du sens est problématique dans le cas du théâtre : c'est en effet un genre qui est par définition polyphonique, c'est le genre où l'auteur est le plus discre...
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Le théâtre peut-il , selon vous, constituer une arme efficace pour dénoncer des probléme sociaux , politique ou idéologique ?
Définition : Le théâtre occidental remonte à la plus haute Antiquité. De la sorte, il est fondamentalement le miroir réfléchissant d'une société en mutation et des grandes périodes que celle-ci a connu : époque grecque, époque classique, époque du drame et époque contemporaine. On retient quatre modèles de société correspondant à ces périodes, telles que la démocratie athénienne, la monarchie absolue, la période révolutionnaire, puis la période moderne. Il en résulte que ces différentes périodes...
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Dans quelle mesure le théâtre en général exprime le réel ?
Cette question a trait à l'utilité que l'on peut retirer pour soi de l'art. Il apporte à l'homme le plaisir, la délectation. Mais l'art ne se réduit pas à un divertissement, l'art apporte un véritable réconfort à la vie, il embellit la médiocrité quotidienne pour la rendre supportable, il donne un but supérieur à la vie en lui donnant un sens plus noble. L'expression de l'idée ouvre la porte à la spiritualité que la vie seule ne pourrait fournir. L'art apporte ce que la réalité seule ne peut don...
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CAMUS: le phiosophe et l'écrivain
ALBERT CAMUS (1913-1960) ALBERT CAMUS est le fils de pauvres colons algériens. Son père est tué à la première bataille de la Marne. L'enfant peut faire des études secondaires comme boursier, mais en 1930 il est atteint de tuberculose. Attiré par la philosophie, il prépare une licence, tout en exerçant divers métiers : mécanicien, employé de bureau. Sa mauvaise santé l'empêche d'aller jusqu'à l'agrégation et il se tourne vers le journalisme..En 1940, il cherche à s'engager, mais n'y parvient pas....
- Victor Hugo fustige : Le penseur qui se mutile / Et s'en va chanteur inutile / Par la porte de la citée. Pensez-vous que les auteurs doivent ainsi être toujours au service de la proclamation ?
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Le Classicisme
Le Classicisme La direction particulière accordée par la France, et surtout par la France du XXe siècle, à sa littérature classique, l'originalité déroutante de ce classicisme, presque aussi différent de l'antiquité gréco-latine que des classicismes fort approximatifs d'autres littératures modernes, sont pour beaucoup d'observateurs étrangers une source de constant étonnement. Le classicisme français du XVIIe siècle constitue en effet un phénomène fort singulier. A un moment où les splendeurs li...
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PIERRE DE RONSARD
PIERRE DE RONSARD Amoureux de la poésie et consacré « prince des poètes » à son moment de gloire, Ronsard n'a cessé de créer l'étonnement par de nouvelles formes et de nombreuses impressions. Celui qui exécrait les « poétâtres » n'a certes pas réussi à faire admettre le rôle essentiel du poète dans la Cité, mais il a fait admirer son oeuvre aussi diverse que ses premières maîtresses, Nature et Fortune. Entre Cour et Pléiade La vie de Ronsard est un continuel effort : 'même lorsqu'il retourne en...
- On a dit que la véritable originalité des grands romanciers réalistes était d'avoir transformé la réalité vulgaire en oeuvre d'art. En vous appuyant sur l'étude précise d'un roman réaliste, vous justifierez ce jugement ?
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Ma Jeanne, dont je suis doucement insensé
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - De celui qui nouvellement a reçu lettres de s'amie
- Commentez ce qu'à propos d'une pièce de Racine, Antoine Vitez, metteur en scène, déclarait : « Il ne s'agit après tout que d'une conversation sous les lustres. Mais pleine de dangers : on se fait des blessures par les mots qu'on dit ».
- Dans sa préface de 1869, Michelet dit que le problème historique s'est posé pour lui comme une résurrection de la vie intégrale, non pas dans ses surfaces, mais dans ses organismes intérieurs et profonds. Que veut-il dire par ces paroles ?
- Commentez : « Le rire est une correction. Fait pour humilier, il doit donner à la personne qui en est l'objet une impression pénible. La société se venge par lui des libertés qu'on a prises avec elle. Il n'attendrait pas son but s'il portait la marque de la sympathie et de la bonté » ?
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - De celui qui entra de nuit chez s'amie
- Vous trouvez au cours d'un déménagement de votre maison, des lettres ou un journal intime appartenant à votre arrière-grand-père. Il y raconte une histoire très intéressante et vous voulez donc le faire publier. Rédigez la préface de cet ouvrage ?
- N'y a-t-il, selon vous, aucun intérêt pour le spectateur à assister à une pièce de théâtre dont il connaît d'avance l'action et le dénouement, comme c'est le cas lors des reprises des grands mythes ou des pièces de théâtre très connues ?
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- N'y a-t-il, selon vous, aucun intérêt pour le spectateur à assister à une pièce de théâtre dont il connaît d'avance l'action et le dénouement, comme c'est le cas lors des reprises des grands mythes ou des pièces de théâtre très connues ?
- On constate fréquemment que tout régime autoritaire - dans la réalité ou dans les oeuvres d'imagination - s'illustre par la destruction de nombreux livres déclarés « dangereux », et par la mise au pas, l'exil ou l'emprisonnement. Que représente donc le livre pour qu'on le surveille de la sorte ?
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Querelles, disputes et affrontements sont courants au théâtre, tous genres confondus. Pourquoi peut-on dire qu'il s'agit là d'une ressource théâtrale particulièrement riche ?
Querelles, disputes et affrontements sont courants au théâtre, tous genres confondus. Pourquoi peut-on dire qu'il s'agit là d'une ressource théâtrale particulièrement riche ? Vous vous appuierez sur vos connaissances, sur votre expérience de lecteur et de spectateur et sur les textes du corpus. (Les textes de mon corpus étaient Timon d'Athènes de Shakespeare, Timon ou le Misanthrope de Lucien, Le Misanthrope de Molière et Le Misanthrope et l'Auvergnat de Labiche. Le théâtre pour un écrivain est...
- Ionesco écrit dans Notes et Contre-notes : « Le comique n'est comique que s'il est un peu effrayant ». Vous vous interrogerez sur ce jugement en vous référant à vos connaissances littéraires ?
- Dans le préambule des Confessions, Rousseau écrit : « et même s'il m'est arrivé d'employer quelque ornement indifférent, ce n'a jamais été que pour remplir un vide occasionné par mon défaut de mémoire ». Peut-on justifier et apprécier cette pratique dans le cadre de l'autobiographie ou de la biographie ?
- « Sans dépayser le spectateur ni par le langage, ni par les situation, ni par les héros, le mythe antique, dans une pièce moderne, ouvre au public les portes du rêve et de la réflexion. » Ces propos s'appliquent-ils à l'oeuvre théâtrale du XXe siècle que vous avez étudiée ?
- « Les grands livres changent la vie, les bons l'éclairent, les mauvais l'attristent ». M. Robert, Livres de lectures. Après avoir expliqué cette affirmation, vous vous demanderez dans quelle mesure elle correspond à votre expérience : vous vous appuierez sur des analyses tirées de vos lectures ?
- La littérature doit-elle servir à l'auteur de parler de soi ou au contraire de s'engager dans des débats collectifs ? Vous répondrez à cette question en un développement composé prenant appui sur les textes du corpus, les textes que vous avez étudiés en classe et vos propres lectures ?
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- Dans la préface de Cromwell (1827), Victor Hugo écrit : « le théâtre est un point d'optique : Tout ce qui existe dans le monde, dans l'histoire, dans la vie, dans l'homme ; tout doit et peut s'y réfléchir, mais sous la baguette magique de l'art » Vous commenterez et discuterez ces propos?
- L'intérêt des Mémoires, des confessions, des autobiographies, tient a ce que la vie de chaque homme devient ainsi un miroir où chacun peut s'étudier, dans une partie du moins de ses qualités ou de ses défauts », écrit Gérard de Nerval (Les Illuminés, 1852). Expliquez et commentez cette affirmation ?
- Dans Nouvel art de penser, J. Guitton donne ces conseils : « Ne lis jamais une prose encore fraîche. Ne lis pas un livre qui vient de paraître. Mais laisse au temps, qui est le grand tireur, le soin de faire la tâche silencieuse qui est d'éliminer ». Commentez et discutez ?
- Madame de PRESSENSÉ (1826-1901) - Ah ! ne me dites pas...
- Dans Nouvel Art de Penser (1954) Jean Guitton donne ces conseils : Ne lis pas une prose encore fraîche. Ne lis pas un livre qui vient de paraître. Mais laisse au temps, qui est le grand trieur, le soin de faire la tâche silencieuse qui est d'éliminer. Commentez et discutez.
- Seriez-vous aussi sévère qu'un critique affirmant, à propos de la reprise des mythes antiques par les dramaturges modernes : « Il y a une étonnante mesquinerie à rapetisser ainsi ces grandes figures qui, sur la route de l'humanité, incarnent nos éternelles passions. » ? Pour répondre, vous vous appuierez sur la pièce étudiée cette année ?
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COMMENT LA SOUVERAINETÉ NATIONALE S’EST-ELLE AFFIRMÉE EN FRANCE DE 1789 À 1792 ?
COMMENT LA SOUVERAINETÉ NATIONALE S’EST-ELLE AFFIRMÉE EN FRANCE DE 1789 À 1792 ? Dès 1789, la France connaît une période historique mouvementée qui transforme la société française, et impacte les sociétés européennes. Les Français sont passés de sujets du roi à citoyens de la République. Ce bouleversement traduit l’évolution de la souveraineté nationale, qui signifie que la nation (un ensemble d’individus qui se reconnaissent un destin commun et partagent une culture commune) est à l’or...
- Dans son Dictionnaire des idées reçues, Flaubert écrit, à l'entrée Imagination :Imagination : Toujours vive - s'en défier - Et la dénigrer chez les autres. En quoi cette définition permet-elle d'éclairer l'écriture de son roman Madame Bovary vingt ans auparavant ?
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- Dans son Dictionnaire des idées reçues, Flaubert écrit, à l'entrée Imagination : Imagination : Toujours vive - S'en défier - Et la dénigrer chez les autres. En quoi cette définition permet-elle d'éclairer l'écriture de son roman Madame Bovary vingt ans auparavant ?
- Un critique contemporain présente le mythe antique comme « une histoire vraie qui s'est passée au commencement des temps et qui sert de modèle aux comportements humains. » En vous appuyant sur l'oeuvre théâtrale du XXe que vous avez étudiée, vous vous demanderez dans quelle mesure elle exploite le mythe ainsi défini ?
- En vous appuyant sur les textes du corpus, sur ceux étudiés en classe et sur vos lectures personnelles, vous vous demanderez quelle(s) vérité(s) le biographe peut atteindre ?
- La tragédie, dit Racine, demande une action simple, chargée de peu de matière, telle que doit être une action qui se passe en un seul jour, et qui, s'avançant par degrés vers sa fin, n'est soutenue que par les intérêts, les passions et les sentiments des personnages. Expliquez à l'aide d'exemple ?
- Dans le texte A, Guilleragues fait dire à Marianne : J'écris plus pour moi que pour vous. En quoi cette formule surprenante vous paraît-elle pouvoir s'appliquer au genre épistolaire, envisagé dans sa diversité ? Vous prendrez appui sur les textes proposés dans le corpus, les textes étudiés en classe et vos lectures personnelles ?
- Dans le texte A, Guilleragues fait dire à Marianne : « J'écris plus pour moi que pour vous ». En quoi cette formule surprenante vous paraît-elle pouvoir s'appliquer au genre épistolaire, envisagé dans sa diversité ? Vous prendrez appui sur les textes proposés dans le corpus, les textes étudiés en classe et vos lectures personnelles ?
- Rainer Maria RILKE (1875-1926) (Recueil : Les quatrains valaisans) - Un rose mauve dans les hautes herbes
- À l'instar des romans idéalistes, le genre picaresque a lui aussi l'ambition de susciter à travers la multiplicité épisodique une idée abstraite et inattendue de l'univers qui est celle de la séparation radicale entre l'homme incapable de s'élever jusqu'à la hauteur de la norme morale et son milieu ambiant ?
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- VAUVENARGUES: On dit, Corneille est venu le premier, il a créé le théâtre. Je ne puis souscrire à cela, Corneille avait de grands modèles parmi les anciens, Racine ne l'a pas suivi; personne n'a pris une route, je ne dis pas plus différente, mais plus opposée; personne n'est plus original à meilleur titre. qu'en pensez-vous ?
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Je suis moi-même la matière de mon livre, a dit Montaigne. Quelle idée vous faites-vous de la personnalité de l'auteur des Essais, non seulement d'après ses confidences directes, mais encore d'après la composition de son oeuvre et la qualité originale de son style ?
INTRODUCTION «Les Essais, écrivait Gustave Lanson, c'est Montaigne», et de fait peu d'œuvres littéraires nous entretiennent aussi complai-samment de leur auteur. Il ne nous laisse autant dire rien ignorer de son aspect physique, de ses habitudes de vie, de son caractère. D'ailleurs, même s'il s'était montré avare de confidences sur lui-même, la manière dont il a composé son ouvrage et la qualité originale de son style suffiraient presque à nous renseigner sur ce qu'il est. Sa personnalité vigou...









