349 résultats pour "premiers"
- Imaginez le dialogue entre deux personnes qui ne partagent pas le même avis sur Napoléon III. Le premier trouve que l'Histoire a été injuste avec lui et le second se rallie plutôt à l'avis de Victor Hugo ?
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Petit nombril, que mon penser adore
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Quand je te voy seule assise à par-toy
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Amour me tue, et si je ne veux dire
- Pontus de TYARD (1521-1605) (Recueil : Premier livre des erreurs amoureuses) - Quand elle vit à la Mort déployer
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Si je trépasse entre tes bras, Madame
- Pontus de TYARD (1521-1605) (Recueil : Premier livre des erreurs amoureuses) - Quand près de toi le travail je repose
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Je veux mourir pour tes beautés, Maîtresse
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- Dans sa correspondance, ainsi que dans son oeuvre autobiographique, Jean-Jacques Rousseau évoque souvent son « esprit romanesque ». Comment votre lecture des quatre premiers livres des Confessions peut-elle être éclairée par cette expression ?
- Alain-Fournier (1886-1914), Le Grand Meaulnes, Première partie, chapitre XIII :« La fête étrange »
- Pontus de TYARD (1521-1605) (Recueil : Premier livre des erreurs amoureuses) - A cet anneau parfait en forme ronde
- Pontus de TYARD (1521-1605) (Recueil : Premier livre des erreurs amoureuses) - Après qu'Amour par trop mortelle atteinte
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Plus mille fois que nul or terrien
- Pontus de TYARD (1521-1605) (Recueil : Premier livre des erreurs amoureuses) - Fortune enfin piteuse à mon tourment
- Pontus de TYARD (1521-1605) (Recueil : Premier livre des erreurs amoureuses) - L'ardent désir, qui d'espérer m'abuse
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Sur mes vingt ans, pur d'offense et de vice
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- Pierre de SAINT-LOUIS (1626-1684) (Recueil : La Madeleine au désert de la Sainte-Baume) - Livre premier
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Mon Dieu, que j'aime à baiser les beaux yeux
- Emile NELLIGAN (1879-1941) (Recueil : Premiers poèmes) - C'était l'automne...et les feuilles tombaient toujours
- Au début du livre II des Confessions, Rousseau présente la jeunesse comme « l'âge de la faiblesse et de l'innocence... » Dans quelle mesure cette formule paraît-elle convenir à l'image que, par l'écriture, Rousseau donne de lui dans les deux premiers livres des Confessions ?
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Ciel, air et vents, plains et monts découverts
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Ny voir flamber au point du jour les roses
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Ô doux parler, dont l'appât doucereux
- Pour Emile Zola, le premier homme qui passe est un héros suffisant. Vous discuterez cette conception du personnage de roman en vous appuyant sur des exemples précis.
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- Pontus de TYARD (1521-1605) (Recueil : Premier livre des erreurs amoureuses) - J'ai tant crié, ô douce Mort, renverse
- VAUVENARGUES: On dit, Corneille est venu le premier, il a créé le théâtre. Je ne puis souscrire à cela, Corneille avait de grands modèles parmi les anciens, Racine ne l'a pas suivi; personne n'a pris une route, je ne dis pas plus différente, mais plus opposée; personne n'est plus original à meilleur titre. qu'en pensez-vous ?
- Julien Gracq compare volontiers au sentiment amoureux la prédilection qu'il porte à certaines oeuvres. Il écrit par exemple : « Le Rouge et le Noir a été en littérature mon premier amour, sauvage, ébloui, exclusif, et tel que je ne peux le comparer à aucun autre ». Certaines oeuvres littéraires ont-elles été pour vous l'occasion d'expériences aussi intenses ?
- Un critique écrit au sujet des Confessions : « On y voit, plus que l'autoportrait d'un homme tourmenté, le récit rétrospectif d'une destinée malheureuse, tracé par un écrivain pathétique à force de crier son excellent naturel, malade de ses contradictions, avide de s'attirer la sympathie du lecteur ». Commentez cette réflexion d'après votre lecture des quatre premiers livres des Confessions de Rousseau ?
- Un critique contemporain écrit : « Les Confessions n'ont pas seulement pour fonction d'être une justification et un témoignage : pour un Rousseau meurtri, elles sont [...] une consolation, une chanson qui berce la misère humaine. » Vous direz dans quelle mesure cette phrase peut servir de définition aux quatre premiers livres des Confessions.
- En vous appuyant sur votre connaissance et sur votre sensibilité, vous expliquerez et discuterez ce point de vue sur la poésie formulé par Claude Roy lors de sa réception du premier Goncourt de la poésie en septembre 1985 : Aussi vaine que les nuages, aussi nécessaire que le pain, la poésie n'est pas forcément une maîtresse d'illusions. Elle peut être aussi, elle doit être surtout la réalité profonde prise aux mots, une vérité qui se fait chant ?
- « Je n'ai pas de souvenir d'enfance », dit Georges Perec dans son autobiographie. Pourquoi, selon vous, le souvenir d'enfance constitue-t-il le coeur de toute écriture autobiographique ? Développez vos réflexions en vous appuyant sur les textes du corpus (Marcel Proust, Du côté de chez Swann, W ou Souvenir d'enfance de Perec, et La première gorgée de bière et autres plaisirs minuscules de Delerm).
- « L'histoire du peuple hébreu d'une part, celle des premiers chrétiens d'autre part et la corruption de la Rome impériale lui fournissent des points de référence continuels pour montrer dans l'histoire de son temps une répétition du passé, élever la circonstance présente à un plan plus général et lui conférer ainsi une valeur d'exemple éternel. Cette lecture vous paraît-elle conforme au dessein d'Agrippa d'Aubigné dans Les Tragiques ?
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- « La création poétique est d'abord une violence faite au langage. Son premier acte est de déraciner les mots. Le poète les soustrait à leurs connexions et à leurs emplois habituels », écrit le poète contemporain mexicain Octavio Paz (L'Arc et la Lyre), faisant écho à Saint-John Perse qui affirme : « Poète est celui-là qui rompt avec l'accoutumance ». En vous appuyant sur les textes du corpus et sur vos lectures personnelles, vous expliquerez et développerez ces définitions de l'acte po
- L'écrivain Cocteau (1889-1963) définit ainsi la poésie : « L'espace d'un éclair nous voyons un chien, un fiacre, une maison pour la première fois. Voilà le rôle de la poésie. Elle dévoile dans toute la force du terme. Elle montre nues, sous une lumière qui secoue la torpeur, les choses surprenantes qui nous environnent et que nos sens enregistraient machinalement. Mettez un lieu commun en place, nettoyez- le, frottez-le,éclairez-le de telle sorte qu'il frappe avec sa jeunesse et la ave
- Après avoir écrit : « Au même Baudelaire appartient une autre initiative. Le premier parmi nos poètes, il subit, il invoque, il interroge la Musique... », Paul Valéry affirme : « Ce qui fut baptisé : le Symbolisme, se résume très simplement dans l'intention commune à plusieurs familles de poètes (d'ailleurs ennemies entre elles) de reprendre à la Musique leur bien. » (Variété I, Avant-propos à « La connaissance de la Déesse », pp. 95 et 97. Valéry pense à la phrase où Mallarmé parle d'
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Bertolt Brecht
Bertolt Brecht Bertolt Brecht est né à Augsbourg en Bavière. Mobilisé à seize ans comme aide-soignant dans un hôpital, il abandonna peu après la guerre ses études de médecine à l'université de Munich pour l'écriture dramatique. Sa première pièce fut montée en 1922 sous la direction de l'éminent critique de théâtre munichois, Lion Feuchtwanger, apportant à son jeune auteur un succès qui ne se démentira plus. Toute son œuvre de l'époque reflétait son idéologie : aversion violente envers la sociét...
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Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Poèmes saturniens) - Nevermore
INTRODUCTION : I. — Ce sonnet est à la fois un épanchement, un récit et une évocation. Verlaine y évoque un souvenir au deuxième degré qui hante sa pensée et souligne le caractère inéluctablement révolu du passé; d'où le titre Nevermore (en français : Jamais plus) emprunté au célèbre refrain du Corbeau d'Edgar Poë, traduit par Baudelaire. II. — Le poème est une confidence sur un ton d'abord mélancolique comparable à celui d'une complainte (1 à 4) — puis désinvolte et lancinant par l'évocation d'...
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Gustave Flaubert, Madame Bovary, partie I, chapitre IV
Demande d'échange de corrigé de adel charaf ([email protected]). Sujet déposé : commentaire Gustave Flaubert, Madame Bovary, partie 1 , chapitre IV Gustave Flaubert, Madame Bovary, 1) partie, chapitre IV La noce est un morceau de choix dans la littérature réaliste du XIX siècle (cf. Zola dans L'Assommoir). Flaubert ne rate pas cette belle occasion de nous présenter une noce normande dans une description en mouvement d'un grand réalisme même si le narrateur adopte un regard amusé sur ces p...
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L'oeuvre de Pierre LOTI
LA CARRIÈRE DE LOTI Julien Viaud a raconté dans plusieurs livres de souvenirs (Le Roman d'un enfant, 1890; Prime Jeunesse, 1919; Un Jeune Officier pauvre, 1923) ses premières années à Rochefort, où sa mère l'éleva « comme une petite fleur rare de serre chaude »; son adolescence fascinée par le prestige d'un frère chirurgien de la marine; puis l'éveil de sa vocation maritime, la préparation de l'École navale au lycée Henri-IV, le séjour sur le navireécole Le Borda et les premières croisières. A...
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Charles Dickens
Charles Dickens Dickens naquit en 1812, en pleine révolution industrielle, alors que les ouvriers brisaient les machines et que la police les assommait pour les convaincre qu'ils avaient tort. L'année où il mourut, en 1870, une loi posait les principes d'éducation populaire qui sont le fondement de l'Angleterre actuelle. Il avait vingt ans lors du vote de la loi électorale qui est le prélude de l'évolution pacifique du pays ; vingt-deux ans lorsqu'une " loi des pauvres " surgie du passé prépara...
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Gertrude Stein
Gertrude Stein C'est son frère Léo qui incita Gertrude Stein à s'installer à Paris. Léo, qui se piquait de peinture, était installé au 27 rue de Fleurus, à deux pas de son atelier. Les Stein s'intéressaient vivement à la peinture de leur temps puisqu'ils achetèrent, dès 1904, des toiles d'artistes encore inconnus du grand public, Gauguin et Toulouse-Lautrec ; ils contribuèrent à libérer Cézanne de sa pauvreté ; ils achetèrent aussi, en 1904, une oeuvre de Picasso, alors peintre obscur, qui devi...
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UN LOGEMENT NOUVEAU - FLAUBERT, Madame Bovary, 2e Partie, Chapitre II.
UN LOGEMENT NOUVEAU - FLAUBERT, Madame Bovary, 2e Partie, Chapitre II. Emma, dès le vestibule, sentit tomber sur ses épaules, comme un linge humide, le froid du plâtre. Les murs étaient neufs, et les marches de bois craquèrent. Dans la chambre, au premier, un jour blanchâtre passait par les fenêtres, sans rideaux. On entrevoyait des cimes d'arbres, et plus loin la prairie, à demi noyée dans le brouillard, qui fumait au clair de lune, selon le cours de la rivière. Au milieu de l'appartement, pêle...
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Balzac, Le Père Goriot, arrivée de Mme Vauquer.
Balzac, Le Père Goriot Bientôt la veuve se montre, attifée de son bonnet de tulle sous lequel pend un tour de faux cheveux mal mis; elle marche en traînassant ses pantoufles grimacées. Sa face vieillotte, grassouillette, du milieu de laquelle sort un nez à bec de perroquet; ses petites mains potelées, sa personne dodue comme un rat d'église, son corsage trop plein et qui flotte, sont en harmonie avec cette salle où suinte le malheur, où s'est blottie la spéculation et dont madame Vauquer respire...
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Denis Diderot
Denis Diderot La fortune littéraire de Diderot est plus surprenante encore que celle de Stendhal : ce n'est pas, en effet, avec un demi-siècle, mais avec plus d'un siècle et demi de retard que la postérité a reconnu son génie. Véritablement découverte par notre époque, l'oeuvre de Diderot n'a pas encore triomphé des monstrueuses erreurs de jugement et des sots préjugés paresseusement admis par un public longtemps victime d'une critique rétrograde. Cette destinée, Diderot l'avait sans doute prévu...
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Le Roman américain de 1945 à 1965
Le Roman américain de 1945 à 1965 Dessiner le profil littéraire des vingt années d'après-guerre, aux États-Unis, n'est pas facile : il manque le recul. Des écrivains apparus au cours de la première décennie, et en qui l'on pouvait avoir le plus confiance, ont déçu. En revanche, des talents que l'on croyait mineurs, se sont affirmés ; les hasards du succès et de la vie ont joué, des phénomènes nouveaux sont apparus : c'est en 1975 que les personnalités d'un Saul Bellow, d'un Salinger, d'un Truma...
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Balzac, Le Père Goriot :
Balzac, Le Père Goriot Bientôt la veuve se montre, attifée de son bonnet de tulle sous lequel pend un tour de faux cheveux mal mis; elle marche en traînassant ses pantoufles grimacées. Sa face vieillotte, grassouillette, du milieu de laquelle sort un nez à bec de perroquet; ses petites mains potelées, sa personne dodue comme un rat d'église, son corsage trop plein et qui flotte, sont en harmonie avec cette salle où suinte le malheur, où s'est blottie la spéculation et dont madame Vauquer respire...
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Pascal et l'immortalité de l'âme.
Pascal et l'immortalité de l'âme. (...) L'immortalité de l'âme est une chose qui nous importe si fort, qui nous touche si profondément, qu'il faut avoir perdu tout sentiment pour être dans l'indifférence de savoir ce qui en est. Toutes nos actions et nos pensées doivent prendre des routes si différentes, selon qu'il y aura des biens éternels à espérer ou non, qu'il est impossible de faire une démarche avec sens et jugement, qu'en la réglant par la vue de ce point, qui doit être notre dernier obj...
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Alfred de Musset
Alfred de Musset La grande chance de Musset est d'avoir exprimé avec bonheur les sentiments de la jeunesse de son temps, et parmi eux quelques-uns des sentiments de la jeunesse de toujours. Cela explique à la fois son vieillissement et sa survie. Il date et il demeure près de nous, ne serait-ce que comme un symbole. Il a mieux : de beaux cris, où la sincérité se mêle à la littérature (est-ce un crime pour un écrivain d'être littéraire ?) ; il a l'indépendance et la franchise. Faire le point sur...
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Carlo Emilio Gadda
Carlo Emilio Gadda 1893-1973 La biographie et l'oeuvre de Gadda se rejoignent. Si bien que ce n'est pas énoncer un simple fait biographique que de dire que Carlo Emilio Gadda est né à Milan, qu'il a habité à Rome à partir de 1950 et qu'à une instruction technico-scientifique (il possède en effet un diplôme d'ingénieur), il allia, jeune encore, une formation approfondie d'humaniste. La Première Guerre mondiale, à laquelle il prit part, lui inspira deux de ses oeuvres les plus significatives : le...
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PEINTURE: Alfred Sisley (1839- 1899)
Alfred Sisley (1839- 1899) Sisley fut le plus discret, le plus pauvre des impressionnistes et ne fut reconnu qu'après sa mort comme un artiste de tout premier plan. Il se consacra presque uniquement au paysage, exprimant avec beaucoup de sensibilité et un grand sens de l'équilibre, les atmosphères changeantes de l'Ile-de-France. De l'aisance à la ruine. Citoyen britannique, Sisley naquit à Paris. Son père était exportateur de fleurs artificielles et l'envoya en apprentissage à Londres de 1857 à...