Résultats pour "savoir"
- François FABIÉ (1846-1928) (Recueil : Ronces et lierres) - Savoir vieillir
- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - L'une vous aime, et si ne peut savoir
- Jean GODARD (1564-1630) - Vous qui voulez savoir que c'est que de l'amour
- Etienne JODELLE (1532-1573) (Recueil : Les Amours) - Si quelqu'un veut savoir qui me lie et enflamme
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Veux-tu savoir, Duthier, quelle chose c'est Rome
- Marguerite de NAVARRE (1492-1549) - Ô prompt à croire et tardif à savoir
- André Mage de FIEFMELIN (1560-1603) - Veux-tu savoir, Mondain, quel est mon être au monde
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Diverses poésies) - J'aime bien le savoir, bien que je n'aime à lire
- Pourquoi écrivez-vous ? Demande-t-on souvent à l'écrivain. Vous devriez le savoir, pourrait répondre l'écrivain à ceux qui posent la question. Vous devriez le savoir puisque vous nous lisez, car si vous nous lisez et si vous continuez de nous lire, c'est que vous avez trouvé de qui lire, quelque chose comme une nourriture, quelque chose qui répond à votre besoin... Si je suis écrivain, pourquoi êtes-vous mon lecteur ? C'est en vous-même que vous trouvez la réponse à la question que vous me posez. Comment comprenez-vous cette repartie surprenante d'Eugène Ionesco ?
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Pascal mentionne souvent l'art de convaincre et l'art de persuader. Selon vous, l'argumentation mise en oeuvre par les philosophes des Lumières n'est-elle pas un savoir-faire, une technique du discours ou un véritable art littéraire comme le sont les grands genres littéraires ?
Pascal mentionne souvent l'art de convaincre et l'art de persuader. Selon vous, l'argumentation mise en oeuvre par les philosophes des Lumières n'est-elle pas un savoir-faire, une technique du discours ou un véritable art littéraire comme le sont les grands genres littéraires ? Analyse du sujet et problématisation : Le sujet envisage l'argumentation dans toute sa complexité et fixe une borne temporelle et culturelle : le siècle des Lumières et ses philosophes. L'argumentation est d'abord envisag...
- Dans l'Avant-propos de son Histoire de la littérature française, G. Lanson écrit : »La littérature n'est pas objet de savoir : elle est exercice, goût, plaisir. On ne la sait pas, on ne l'apprend pas : on la pratique, on la cultive, on l'aime ». Vous vous interrogerez sur ce jugement, en vous référant aux oeuvres littéraires que vous connaissez ?
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L'essentiel dans l'éducation, ce n'est pas la doctrine enseignée, c'est l'éveil disait Renan Qu'en pensez-vous ?
Introduction - A l'heure des réformes de l'orthographe française, des débats sur le maintien ou non de certains examens, l'on peut s'interroger plus profondément sur les finalités de l'éducation. - Un auteur du siècle passé, Renan, proposait déjà un pro-gramme d'éducation qui semble très moderne : « L'essentiel dans l'éducation, affirme-t-il, ce n'est pas la doctrine enseignée, c'est l'éveil. » Il opposait une tâche primordiale à l'éducation, essentielle, celle d'éveiller, à l'accessoire qui ser...
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Quelles sont les conditions qui font qu’un élève peut se produire à la sortie de l’école d’une façon convenable ?
QUESTIONS Quelles sont les conditions qui font qu’un élève peut se produire à la sortie de l’école d’une façon convenable ? Cause matérielle : on produit l’élève à partir d’un certain matériau : - le savoir exemples : apprendre à faire des résumés, connaître le règne de Louis XIV => Tous les savoirs ne se travaillent pas de la même manière, on peut faire des distinctions. Certains savoirs ne se construisent pas, certains sont plus élaborés (« construire son savoir » dépend de la natu...
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Depuis les temps anciens jusqu'aux tentatives de l'avant-garde, la littérature s'affaire à représenter quelque chose. Quoi ? Je dirai brutalement : le réel. Le réel n'est pas représentable et c'est parce que les hommes veulent sans cesse le représenter par des mots, qu'il y a une histoire de la littérature [...] ou pour mieux dire des productions de langage, qui serait l'histoire des expédients verbaux, souvent très fous pour réduire, apprivoiser, nier, ou au contraire assumer ce qui est toujours un délire, à savoir l'inadéquation fondamentale du langage et du réel. Je disais à l'instant que le littérature est catégoriquement réaliste, en ce qu'elle n'a jamais que le réel pour objet de désir ; et je dirai maintenant, sans me contredire [...], qu'elle est tout aussi obstinément irréaliste ; elle croit sensé le désir de l'impossible. Roland Barthes, Leçon inaugurale prononcée le 7 janvier 1977 au Collège de France (Paris, Seuil, 1978). Vous commenterez et discuterez ces propos ?
« Depuis les temps anciens jusqu'aux tentatives de l'avant-garde, la littérature s'affaire à représenter quelque chose. Quoi ? Je dirai brutalement : le réel. Le réel n'est pas représentable et c'est parce que les hommes veulent sans cesse le représenter par des mots, qu'il y a une histoire de la littérature [...] ou pour mieux dire des productions de langage, qui serait l'histoire des expédients verbaux, souvent très fous pour réduire, apprivoiser, nier, ou au contraire assumer ce qui est toujo...