Résultats pour "sang+"
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : L'Hécatombe à Diane) - Je brûle avec mon âme et mon sang rougissant
- René GHIL (1862-1925) (Recueil : Légendes d'âmes et de sangs) - Dies irae
- Béroalde de VERVILLE (1556-1626) - Mon sang est tout gelé, je n'ai plus dans le coeur
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : Stances) - A longs filets de sang ce lamentable corps
- Cécile SAUVAGE (1883-1927) (Recueil : Primevère) - Que ton fruit de sang qui loge en mon sein
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'année terrible) - Un jour je vis le sang couler de toutes parts
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Noces de sang de Federico Garcia Lorca
Noces de sang de Federico Garcia Lorca Bodas de sangre, pièce en trois actes de Federico Garcia Lorca, écrite en 1933. Contexte Mêlant la dramaturgie et la poésie, Noces de sang, qui connut un grand succès notamment en Argentine, renoue avec les thèmes traditionnels de l'honneur, du désir et du sang. Son langage violent, tantôt dépouillé, tantôt lyrique, dans lequel pèse une inéluctable fatalité, lui confère une grande intensité. Principaux personnages - La fiancée, sincère et pure, consciente d...
- Béroalde de VERVILLE (1556-1626) - De mon sang exhalé toute l'humeur périe
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le sang des crépuscules) - Conseils au solitaire
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le sang des crépuscules) - Eté des vieilles joies
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Le sang de la coupe) - Le vin de l'Amour
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François Tristan L'HERMITE (1601-1655) (Recueil : Les Amours de Tristan) - La plainte écrite de sang
François Tristan L'Hermite, Les Amours de Tristan, « La plainte écrite de sang ». 1. Inhumaine beauté dont l'humeur insolente 2. En méprisant mes voeux se rit de ma langueur, 3. Je veux convaincre ici ton ingrate rigueur 4. Par les vifs arguments d'une raison sanglante. 5. Ces vers sont de ma flamme une preuve évidente, 6. Et tous ces traits de pourpre en font voir la grandeur, 7. Cruelle, touche-les pour en sentir l'ardeur, 8. Cette écriture fume, elle est encore ardente. 9. Vois nager dans le...
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le sang des crépuscules) - La maison dort
- Maurice DU PLESSYS (1864-1924) (Recueil : Les tristes) - L'élégie du sang des colombes
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Le sang de la coupe) - La nuit
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Le sang de la coupe) - La lyre
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le sang des crépuscules) - La voix du soir
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Le sang de la coupe) - La colombe blessée
- René GHIL (1862-1925) (Recueil : Légendes d'âmes et de sangs) - Lieu de lauriers
- René GHIL (1862-1925) (Recueil : Légendes d'âmes et de sangs) - Aux temps des dieux
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Le sang de la coupe) - La Toison d'Or
- René GHIL (1862-1925) (Recueil : Légendes d'âmes et de sangs) - Les yeux de l'aïeule
- René GHIL (1862-1925) (Recueil : Légendes d'âmes et de sangs) - Les herseurs - sous la lune
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Le sang de la coupe) - A la Forêt de Fontainebleau
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le sang des crépuscules) - Le vent est doux comme une main de femme
- En 1898, après les premières représentations de Lorenzaccio, Jules Lemaître écrivait : « Le personnage de Lorenzaccio est aussi riche de signification qu'un Faust ou qu'un Hamlet ; comme eux, il figure dans une fable particulière, l'homme, l'éternel inquiet et l'éternel déçu, sous un de ses plus larges aspects. Et ce personnage est une créature vivante, il est de chair, de sang, de nerfs et de bile. » Vous commenterez ce jugement en vous appuyant notamment sur les théories romantiques du drame ?
- En 1898, après les premières représentations de Lorenzaccio, Jules Lemaître écrivait : « Le personnage de Lorenzaccio est aussi riche de signification qu'un Faust ou qu'un Hamlet ; comme eux, il figure dans une fable particulière, l'homme, l'éternel inquiet et l'éternel déçu, sous un de ses plus larges aspects. Et ce personnage est une créature vivante, il est de chair, de sang, de nerfs et de bile. » Vous commenterez ce jugement en vous appuyant notamment sur les théories romantiques du drame ?
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Odes politiques) - Contre la peine de mort