25 résultats pour "pends"
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Pendant que le marin...
- Voltaire, Traité sur la Tolérance, chapitre I - Pendant qu'ils s'acquittaient de ce devoir...
- Rémy BELLEAU (1528-1577) (Recueil : La Bergerie) - Pendant que vostre main docte ...
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Gerard Manley Hopkins
Gerard Manley Hopkins Gerard Manley Hopkins rima dès l'école et se mit sérieusement à la composition poétique pendant ses années d'Oxford (1863-1867). Il passa de l'Anglicanisme à l'Église romaine, après avoir consulté le vieux Newman et, l'Université terminée, il enseigna pendant deux ans chez les Oratoriens de Birmingham, après quoi il jeta tous ses poèmes au panier et joignit la Compagnie de Jésus (1868). Absorbé par sa vocation, il n'écrivit plus pendant sept ans, ce qui ne l'empêcha pas de...
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : Espana) - Pendant la tempête
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - A la fenêtre, pendant la nuit
- Maurice ROLLINAT (1846-1903) (Recueil : Paysages et paysans) - Pendant la pluie
- François de MALHERBE (1555-1628) - A la reine mère du roi pendant sa régence
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'année terrible) - A l'enfant malade pendant le siège
- Beaucoup affirment que le théâtre ne prend son véritable sens que pendant la représentation et grâce à elle - la simple lecture de l'oeuvre rédigée par l'écrivain passerait ainsi à côté de l'essentiel : on ne peut pas lire le théâtre . Vous expliquerez, en vous référant à des textes de théâtre étudiés en classe ou à d'autres expériences de spectacle, ce que vous pensez de cette affirmation ?
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Émile Zola (1840-1902), Nouveaux Contes à Ninon (1874), "Le Forgeron".
Zola, Nouveaux Contes à Ninon, « Le Forgeron ». J’ai vécu une année chez le Forgeron, toute une année de convalescence. J’avais perdu mon cœur, perdu mon cerveau, j’étais parti, allant devant moi, me cherchant, cherchant un coin de paix et de travail, où je pusse retrouver ma virilité. C’est ainsi qu’un soir, sur la route, après avoir dépassé le village, j’ai aperçu la forge, isolée, toute flambante, plantée de travers à la croix des Quatre-Chemins. La lueur était telle, que la porte charretière...
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FLAUBERT - Éducation sentimentale - deuxième partie
Dans L'Éducation sentimentale, en partie inspirée de souvenirs personnels, Flaubert évoque, l'itinéraire spirituel et amoureux d'un jeune homme, Frédéric Moreau, partagé Le commentaire composé entre l'amour idéalisé et platonique qu'il porte à une jeune femme mariée, Marie Arnoux, et une liaison plus sensuelle avec une courtisane, Rosanette. Cet extrait raconte une soirée costumée chez cette dernière, de l'apothéose au déclin du petit matin, dans un cheminement comparable à l'orgie chez le banqu...
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Jean Cocteau
Jean Cocteau Dès le 4 avril 1908, une première lecture des poèmes de Jean Cocteau est organisée dans un théâtre parisien. Immédiatement le poète, qui n'a pas vingt ans, est admiré. Il est reçu dans les salons parisiens. Il fréquente aussi bien Anna de Noailles qu'Edmond Rostand, Léon Daudet que Marcel Proust. En 1912 il compose pour Diaghilev un argument de ballet, Le Dieu bleu. Un soir, sur la place de la Concorde, le créateur des Ballets russes, qui redoute que le jeune poète ne perde son tal...
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Apollinaire : Rosemonde
Guillaume Apollinaire fit publier en 1913 un recueil de poèmes intitulé Alcools qui, se détachant des voies du symbolisme, annonce le surréalisme. Dans la Chanson du Mal-Aimé, se présentant sous la forme d'une longue complainte, Apollinaire chante son amour malheureux. Rosemonde, poème que nous allons étudier, est extrait de ce long chant d'amour. Le titre de ce poème, Rosemonde, est un prénom féminin qui représente la dame aimée ; il définit le poème dans la subjectivité de l'amour d'Apollinair...
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Jean Rostand
Jean Rostand 1894-1977 Fils d'Edmond Rostand et de Rosemonde Gérard, Jean Rostand passa sa jeunesse à Cambo-les-Bains et poursuivit en Sorbonne ses études scientifiques. Marié en 1921, ce biologiste devenu célèbre ne sort jamais, ne fréquente aucun salon. Pour se distraire, peut-être, de ses recherches, il écrivit, pendant quelques années, une série d'essais littéraires : La Loi des riches, Pendant qu'on souffre encore (1923), Ignace ou l'Écrivain (1924), Les Familiotes (1925), Deux Angoisses (1...
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Constantin Paoustovski
Constantin Paoustovski 1892 Né à Moscou, d'une famille originaire d'Ukraine. Tour à tour étudiant, conducteur de tramway à Moscou, infirmier pendant la guerre de 1914, puis ouvrier, marin, professeur de littérature et journaliste, correspondant sur le front pendant la dernière guerre, Paowtovski compte parmi les auteurs révérés par le public soviétique qui voit en lui un héritier de la tradition du conte russe. On a parlé de Tchékhov à propos de lui. Il avait commencé à publier dès 191O, mais c'...
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Nina Berberova
Nina Berberova 1901-1993 Née à Saint-Pétersbourg, Nina Nikolaïevna Berberova n'a été reconnue comme auteur que très tard dans sa vie puisque le succès mondial est arrivé avec L'Accompagnatrice lorsqu'elle avait quatre-vingt ans. Très jeune, elle a commencé sa carrière littéraire en composant des poèmes, et en fréquentant les salons de l'avant-garde littéraire de Saint-Pétersbourg. Elle assiste à la Révolution d'Octobre en spectatrice passionnée mais ses origines bourgeoises la mettent en danger....
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Germain NOUVEAU (1851-1920) (Recueil : Autres vers) - Mendiants
Germain NOUVEAU, Autres vers, « Mendiants ». 1. Pendant qu'hésite encor ton pas sur la prairie, 2. Le pays s'est de ciel houleux enveloppé. 3. Tu cèdes, l'oeil levé vers la nuagerie, 4. A ce doux midi blême et plein d'osier coupé. 5. Nous avons tant suivi le mur de mousse grise 6. Qu'à la fin, à nos flancs qu'une douleur emplit, 7. Non moins bon que ton sein, tiède comme l'église, 8. Ce fossé s'est ouvert aussi sûr que le lit. 9. Dédoublement sans fin d'un typique fantôme, 10. Que l'or de ta pr...
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Le romancier André Brink affirmait que la vocation essentielle de l'écrivain réside dans une croisade contre l'hypocrisie, la dissimulation et le mensonge. Cette définition de la vocation de l'écrivain vous satisfait-elle ?
Le romancier André Brink affirmait que la vocation essentielle de l'écrivain résidait dans une croisade contre l'hypocrisie, la dissimulation et le mensonge. Cette définition de la vocation de lécrivain vous satisfait-elle? L'affirmation d'André Brink prend une résonance spéciale, vu le personnage lui-même : ce romancier vient d'Afrique du Sud, et a largement contribué à dénoncer l'apartheid et à bousculer les préjugés à propos des Noirs. La 'croisade contre l'hypocrisie' se comprend alors d'un...
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Anne Philipe, Le temps d'un soupir
Le V O L D ' I C A RE de BREUGHEL, plein de soleil, est l'expression même de la solitude, non pas de l'égoïsme, mais de l'indifférence qui isole les hommes les uns des autres. Il a sans doute raison, ce laboureur, de tracer son sillon pendant qu'Icare se tue. Il faut que la vie continue, que le grain soit semé ou récolté pendant que d'autres meurent. M ais on s ouhaiterait qu'il lâche sa charrue et aille au sec ours de son prochain. Je me trompe peut-être et sans doute ignore-t-il qu'un homme se...
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MICHEL DE MONTAIGNE (Michel EYQUEM, seigneur de)
MICHEL DE MONTAIGNE (Michel EYQUEM, seigneur de) Le parfait honnête homme Né au château de Montaigne, dans le Périgord, dont il prend le nom lorsqu'il en hérite, il reçoit de son père une instruction humaniste en latin et en grec. A l'image de son père pour qui il a une affection profonde, Montaigne commence à Bordeaux une carrière politique et exerce comme son père la charge de magistrat. C'est dans ce cadre qu'il fait la rencontre d'un autre jeune magistrat, Etienne de La Boétie (1530-1563). L...
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Nathalie SARRAUTE, Le planétarium
« Qui est là? — C'est moi, ton frère, c'est Pierre... » Il entend comme un pépiement, un remue-ménage heureux, un déclic rapide, un bruit de chaîne léger, joyeux, la porte s'ouvre... « Ah, c'est toi... » Il avait oublié ce regard sous les paupières usées, fardées, un bon regard d'où ruisselle une tendre émotion... « C'est toi, Pierre... Mais bien sûr que tu ne me déranges pas... Je suis contente de te voir, tu viens si rarement... Mais fais voir un peu, que je te regarde, que je regarde un peu l...
- Aragon, "Elsa au Miroir"
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Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - La solitude
Marc-Antoine Girard, sieur de Saint-Amant, « La solitude ». 1. Ô ! que j'aime la solitude ! 2. Que ces lieux sacrés à la nuit, 3. Eloignés du monde et du bruit, 4. Plaisent à mon inquiétude ! 5. Mon Dieu! Que mes yeux sont contents 6. De voir ces bois qui se trouvèrent 7. A la nativité du temps, 8. Et que tous les Siècles révèrent, 9. Etre encore aussi beaux et verts, 10. Qu'aux premiers jours de l'Univers ! 11. Que j'aime à voir la décadence 12. De ces vieux châteaux ruinés, 13. Contre qui les...
- Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, Acte IV, scène 9.