47 résultats pour "malherbe"
-
Malherbe (1555-1628)
Malherbe (1555-1628) «Enfin, Malherbe vint...». Né à Caen «environ l'an 1555», d'un père conseiller du roi, François de Malherbe, entiché de noblesse, se flatte d'être d'épée. Il trouve un protecteur en la personne d'Henri d'Angoulême qu'il suit à Aix-enProvence en qualité de secrétaire. Il épouse la fille d'un président au parlement de Provence, La mort de son protecteur le ramène à Paris où il se fait connaître par un poème imité du poète italien Tansillo, Les Larmes de saint Pierre. Henri III...
-
MALHERBE
MALHERBE (1555-1628) FRANÇOIS DE MALHERBE, originaire de Caen, attache d'abord sa fortune à un grand seigneur qui l'emmène en Provence. Il s'y marie, se lie d'amitié avec le président Du Vair, l'érudit Peiresc. Il acquiert un certain renom de poète, mais sa situation reste médiocre. En 1605, il réussit à se faire remarquer du roi. Il se fixe dès lors à Paris. Promu au rang de poète officiel, louangeur excessif de tous ceux qui le protègent, il est reçu dans la haute société et fréquente l'Hôtel...
- François de Malherbe
- FRANÇOIS DE MALHERBE
-
MALHERBE: Prière pour le Roi Henri le Grand, allant en Limousin
Localisation du morceau. Cette poésie est une œuvre de circonstance. Elle a été composée pu Malherbe h la demande du roi Henri IV qui allait partir (septembre pour le Limousin, où devaient se tenir les Grands Jours. Malherbe, alors âgé de cinquante ans, venait d'arriver à Paris et fut présenté à la cour par un de ses amis, le poète normand Des Yveteaux, mais y était précédé par sa réputation. On lui propose d'être l'interprête de la nation à l'égard du roi, qui est en train d'accomplir la enivre...
- François de MALHERBE (1555-1628) - Pour elle-même
- François de MALHERBE (1555-1628) - Madrigal
- François de MALHERBE (1555-1628) - Cette Anne ...
-
- François de MALHERBE (1555-1628) - Plainte
- François de MALHERBE (1555-1628) - Infidèle mémoire,...
- François de MALHERBE (1555-1628) - Mes yeux, ...
- François de MALHERBE (1555-1628) - Laisse-moi ...
- François de MALHERBE (1555-1628) - Au feu roi
- François de MALHERBE (1555-1628) - Beauté de qui la grâce ...
- François de MALHERBE (1555-1628) - A monseigneur le Dauphin
- François de MALHERBE (1555-1628) - Il n'est rien de si beau ...
-
- François de MALHERBE (1555-1628) - Quel astre malheureux ...
- François de MALHERBE (1555-1628) - Caliste, en cet exil ...
- François de MALHERBE (1555-1628) - Prosopopée D'ostende
- François de MALHERBE (1555-1628) - Quoi donc, ma lâcheté..
- François de MALHERBE (1555-1628) - Chère beauté ...
- François de MALHERBE (1555-1628) - Dure contrainte...
- François de MALHERBE (1555-1628) - Pour la guérison de Chrysante
- François de MALHERBE (1555-1628) - Quelques louanges nonpareiIles
-
- François de MALHERBE (1555-1628) - Quoi donc c'est un arrêt ...
- François de MALHERBE (1555-1628) - C'est fait, belle Caliste, ...
- François de MALHERBE (1555-1628) - Sur la mort d'un gentilhomme qui fut assassiné
- François de MALHERBE (1555-1628) - Est-ce à jamais, folle espérance ...
- François de MALHERBE (1555-1628) - Sur le mariage du roi et de la reine
- François de MALHERBE (1555-1628) - C'est assez, mes désirs, ...
- François de MALHERBE (1555-1628) - A monsieur de Fleurance, sur son art d'embellir
- François de MALHERBE (1555-1628) - Pour monsieur le dauphin et monsieur d'Orléans
-
- François de MALHERBE (1555-1628) - Consolation à M. Du Périer sur la mort de sa fille
- François de MALHERBE (1555-1628) - Ballet de la reine la renommée au roi
- François de MALHERBE (1555-1628) - Consolation à Caritée, sur la mort de son mari
- François de MALHERBE (1555-1628) - Epitaphe de mademoiselle de Conty, Marie de Bourbon
- François de MALHERBE (1555-1628) - A madame la princesse douairière, Charlotte de la Trémouille
- François de MALHERBE (1555-1628) - Vers funèbres sur la mort de Henri le Grand
- François de MALHERBE (1555-1628) - Dessein de quitter une dame qui ne le contentait que de promesse
- François de MALHERBE (1555-1628) - A la reine mère du roi pendant sa régence
-
- François de MALHERBE (1555-1628) - Pour les pairs de France, assaillants au combat de barrière
- François de MALHERBE (1555-1628) - Aux dames pour les demi-dieux marins, conduits par Neptune
- François de MALHERBE (1555-1628) - Pour le premier ballet de monseigneur le Dauphin. Au roi Henri le grand
- François de MALHERBE (1555-1628) - Ballet de madame, de petites nymphes qui mènent l'amour prisonnier. Au roi
-
François de Malherbe (1555-1628), poète de Cour, aurait dit un jour: "Un bon poète n'est pas plus utile à l'État qu'un bon joueur de quilles". Qu'en pensez-vous?
Sujet: François de Malherbe (1555-1628), poète de Cour, aurait dit un jour: "Un bon poète n'est pas plus utile à l'État qu'un bon joueur de quilles". Qu'en pensez-vous? Introduction Si l'on en croit Malherbe, le poète (et par extension son art) n'est pas d'un grand secours pour le monde dans lequel il évolue. Il représente uniquement un « bon ouvrier du vers », non pas un mage ou un prophète, d'où sa fameuse réplique : « Un bon poète n'est pas plus utile à l'État qu'un bon joueur de quilles ». D...
-
LA PRÉCIOSITÉ (XVIIe siècle)
LA PRÉCIOSITÉ (XVIIe siècle) Apparue dans la première moitié du xvii , siècle, la préciosité s'identifie surtout à un nom, celui de la marquise de Rambouillet. A partir de 1610, Catherine de Vivonne, qui a épousé, à douze ans, Charles d'Angennes, marquis de Rambouillet, réunit régulièrement dans son hôtel de la rue Saint-Thomas-du-Louvre les meilleurs esprits de son temps. Dans sa «chambre bleue», étendue en costume de parade sur son lit, l'«Incomparable Arthénice», suivant le nom à elle donné p...
-
La préciosité (XVIIe siècle)
La préciosité (XVIIe siècle) Qu'en termes galants... Apparue dans la première moitié du XVIIe siècle, la préciosité s'identifie surtout à un nom, celui de la marquise de Rambouillet. A partir de 1610, Catherine de Vivonne, qui a épousé, à 12 ans, Charles d'Angennes, marquis de Rambouillet, réunit régulièrement dans son hôtel de la rue Saint-Thomas-du-Louvre les meilleurs esprits de son temps. Dans sa «chambre bleue», étendue en costume de parade sur son lit, l'«Incomparable Arthénice», suivant l...