35 résultats pour "loin"
- Vidocq déclaré un jour à Balzac : j'ai le nez fendu comme les chiens chasseurs. Vous aussi vous avez le nez fendu. Nous flairons de loin . En quoi, dans Le Père Goriot, Balzac flaire-t-il de loin ?
- Max ELSKAMP (1862-1931) (Recueil : La louange de la vie) - Et tout au fond du domaine loin
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les soirs) - Au loin
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - O, si chère de loin ...
- Alphonse BEAUREGARD (1881-1924) (Recueil : Les forces) - Des montagnes très loin...
- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Bien loin d'ici
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Je t'aime, loin de toi ...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Hélas ! les temps sont loin...
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- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Comme l'on voit de loin sur la mer courroucée
- René GHIL (1862-1925) (Recueil : Le Voeu de vivre) - La ville au loin...
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Ô vous, comme un qui boite au loin, Chagrins et Joies
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Une heure sonne au loin ...
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Ses yeux plongent plus loin que le monde réel, mais ce monde réel, il sait, quand il veut bien, le voir et le peindre admirablement. Commentez cette appréciation d'!andré Gide sur Victor Hugo ?
INTRODUCTION Ce qui semble le mieux définir le génie de Victor Hugo, c'est la puissance de son imagination. Par ce pouvoir presque magique qu'il avait de transfigurer le réel, le poète nous fait pénétrer dans un univers étrange qui dépasse les limites de nos perceptions ordinaires. Les images de la réalité ne sont pourtant pas exclues de cette oeuvre immense qui paraît se plaire à réunir des éléments hétérogènes. C'est cet aspect du talent de Hugo que Gide retenait lorsqu'il écrivait : « Ses yeu...
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La Bruyere, dans le chapitre des ouvrages de l'esprit, prétend que les femmes sont généralement supérieures aux hommes dans la manière d'écrire des lettres. Ce sexe va plus loin que le nôtre dans ce genre d'écrire. En vous aidant des lettres de Madame de Sévigné que vous connaissez, vous essaierez d'expliquer l'opinion de La Bruyère ?
MADAME DE SÉVIGNÉ 67 donne un nom et qu'on reconnaît parfois (les clefs). Ménalque, Irène, Arrias, etc. Il les fait voir, il les fait parler. (Que ditescous du livre d'Ilermodore? ... ) Il les interpelle'< Que dites-cous? Comment?» (Acis). Il peint aussi les milieux ou les groupes (la cour.., les paysans). Et toujours il est saisissant de vie et de relief. 42. MADAME DE SÉVIGNÉ La Bruyère, dans le chapitre des ouvrages de l'esprit, prétend que les femmes sont généralement supérieures aux homm...
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« Ce sont ceux qui ne savent pas où ils vont qui vont le plus loin. » Oliver Cromwell
« Ce sont ceux qui ne savent pas où ils vont qui vont le plus loin. » Oliver Cromwell Dans notre société, dès notre plus tendre enfance, on est éduqué dans l'optique d'un bannissement du doute, de l'incertitude. L'inconnu effraie. On pense qu'un avenir planifié, contrôlé, laissant peu de place à l'indéterminé, est la clé de la réussite. C'est pourtant vers l'hypothèse inverse que tend Oliver Cromwell quand il affirme que « ce sont ceux qui ne savent pas ou ils vont qui vont le plus loin ». Il co...
- Loin de discerner ou encore de singulariser, la mode intègre; le modèle qu'elle impose est un uniforme, qui uniformise Vous discuterez cette affirmation ?
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- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Poésies inédites) - Loin du monde
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : La multiple splendeur) - Plus loin que les gares, le soir
- Si l'essentiel pour un homme consiste à réduire au minimum sa part de comédie, convenons que Chateaubriand est loin du compte. Une demi-douzaine d'emplois variés donnent à plus d'un endroit au soliloque des Mémoires un aspect de numéro à transformation dont la vivacité, le rendu allègre, le clin d'oeil inimitable au spectateur sont presque ceux de la comédie italienne Votre lecture des Mémoires d'outre tombe vous conduit elle à partager ce jugement de Julien Gracq ?
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le conte sert-il sulement à divertir ?
Le conte sert-il seulement à divertir ? Le conte est un récit de fiction généralement assez bref qui relate les actions, les épreuves, les péripéties vécues par un ou plusieurs personnages. La plupart du temps, le conte avoue expressément son caractère de fictivité, c'est-à-dire le fait que l'histoire narrée se déroule dans un temps lointain et indéfini, comme l'annonce presque magiquement la formule célébrissime : « Il était une fois ». Mais le temps n'est pas le seul aspect du conte qui soit...
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«j'aime à suivre les règles, écrit quelque part Corneille, mais loin de me rendre leur esclave, je les élargis et resserre selon le besoin qu'en a mon sujet. »
Ce que vous savez de ses principales pièces vous paraît-il prouver que Corneille aime, comme il le dit, à suivre les règles ? Ne prend-il pas à chaque occasion des libertés avec elles? Dans quelle mesure ces libertés s'expliquent-elles par sa conception de la tragédie
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«J'aime à suivre les règles, écrit quelque part Corneille, mais loin de me rendre leur esclave, je les élargis et resserre selon le besoin qu'en a mon sujet. » Ce que vous savez de ses principales pièces vous paraît-il prouver que Corneille aime, comme il le dit, à suivre les règles ? Ne prend-il pas à chaque occasion des libertés avec elles? Dans quelle mesure ces libertés s'expliquent-elles par sa conception de la tragédie? Corneille ne s'est jamais trouvé à l'aise dans le cadre étroit des tr...
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La Fontaine: Les longs ouvrages me font peur, Loin d'épuiser une matière, Il n'en faut prendre que la fleur. qu'en pensez-vous ?
La Fontaine: Les longs ouvrages me font peur, Loin d'épuiser une matière, Il n'en faut prendre que la fleur. Qu'en pensez-vous ? I. Aux ouvrages de longue haleine, il préfère les petits poèmes. 1. La fable est bien le genre qui lui convenait : « Diversité est sa devise. » Ce genre lui permet d'adopter successivement et sans s'y attarder, tous les tons : telle fable est un drame ou une comédie, telle autre un fragment d'épopée ou une élégie, etc. Toutes sont parfaites en leur genre, parce que tou...
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Rousseau écrit: La tragédie est si loin de nous, elle nous présente des êtres si gigantesques, si boursouflés, si chimériques que l'exemple de leurs vices n'est guère plus contagieux que celui de leurs vertus n'est utile. Partagez-vous cette condamnation de la tragédie par Rousseau ? Vous appuierez votre argumentation sur des exemples précis tirés des tragédies de RACINE que vous connaissez ?
Sujet : Rousseau écrit: La tragédie est si loin de nous, elle nous présente des êtres si gigantesques, si boursouflés, si chimériques que l'exemple de leurs vices n'est guère plus contagieux que celui de leurs vertus n'est utile. Partagez-vous cette condamnation de la tragédie par Rousseau ? Vous appuierez votre argumentation sur des exemples précis tirés des tragédies de RACINE que vous connaissez ? On connaît la thèse de la Lettre à d'Alembert : le théâtre est pernicieux. La tragédie est funes...
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Vigny écrit dans le Journal d'un poète : « J'aime peu la comédie, qui tient toujours plus ou moins de la charge et de la bouffonnerie.» Il précise plus loin sa pensée en disant: «Je sais apprécier la charge dans la comédie, mais elle me répugne parce que, dans tous les arts, elle enlaidit et appauvrit l'espèce humaine et, comme homme, elle m'humilie. » ?
Vigny écrit dans le Journal d'un poète : « J'aime peu la comédie, qui tient toujours plus ou moins de la charge et de la bouffonnerie.» Il précise plus loin sa pensée en disant: «Je sais apprécier la charge dans la comédie, mais elle me répugne parce que, dans tous les arts, elle enlaidit et appauvrit l'espèce humaine et, comme homme, elle m'humilie. » La comédie, de tous temps, a soulevé bien des controverses. Elle a eu d'ardents partisans comme d'acharnés détracteurs. On a pu vouloir lui confé...
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Victor Hugo : «Demain, dès l'aube...» (Pauca Meae1, Les Contemplations, 1856).
Demain, dès l'aube... Victor Hugo (1802-1885) Symbole de la vie Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Immortalité du poème + Détermination Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, accumulation : sentiment de tristesse + Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,...
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DIDEROT - portrait peint par Vanloo
INTRODUCTION Dans ce salon de 1767 dont il s'est chargé de faire le compte rendu, Diderot a trouvé son propre portrait, œuvre du peintre Vanloo. Belle occasion de parler de lui, de se confier, de se camper devant le public. Cette aubaine le met en verve. Depuis plus de quinze ans il consacre à Y Encyclopédie le meilleur de son temps : lettres d'affaires, études techniques, propagande, éloge des sciences, des chiffres, du travail manuel, de la mécanique ; ses humeurs personnelles, les saillies de...
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Racine, Phèdre, Acte V, scène 7.
Racine, Phèdre, Acte V, scène 7. THESEE Hé bien ! vous triomphez, et mon fils est sans vie. Ah ! que j'ai lieu de craindre ! et qu'un cruel soupçon, L'excusant dans mon coeur, m'alarme avec raison ! Mais, Madame, il est mort, prenez votre victime : Jouissez de sa perte, injuste ou légitime. Je consens que mes yeux soient toujours abusés. Je le crois criminel puisque vous l'accusez. Son trépas à mes pleurs offre assez de matières, Sans que j'aille chercher d'odieuses lumières, Qui ne pouvant le r...
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Herman Melville
Herman Melville Au temps où les baleiniers de Nantucket restaient plusieurs années le jeune Melville (vingt-deux ans) s'embarque sur l'un d'eux, puis sur un navire de guerre, et court les océans. Revenu en Amérique, il fait lire ses récits de voyage avec un certain succès et publie ses grands livres dans l'indifférence et l'incompréhension. Après la publication et l'échec d e L'Homme de Confiance (1857), Melville, découragé, "consent à l'annihilation". Devenu fonctionnaire des douanes et père d...
- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Moesta et errabunda
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les orientales) - Voeu
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Quelles idées sur le théâtre de Racine vous suggère ce jugement de François Mauriac (Mémoires Intérieurs, p. 167) : « L'âme dans Hermione, dans Roxane, dans Phèdre, loin de freiner cet instinct animal et monstrueux qu'elle porte en elles, prête à sa fureur ce qu'il faut d'intelligence et de puissance pour le rendre criminel et pour donner raison à la Grâce de leur avoir manqué » ?
Quelles idées sur le théâtre de Racine vous suggère ce jugement de François Mauriac (Mémoires Intérieurs, p. 167) : « L'âme dans Hermione, dans Roxane, dans Phèdre, loin de freiner cet instinct animal et monstrueux qu'elle porte en elles, prête à sa fureur ce qu'il faut d'intelligence et de puissance pour le rendre criminel et pour donner raison à la Grâce de leur avoir manqué ». Introduction : a) Racine a été remarquablement commenté, de nos jours, par le romancier François Mauriac, dont les hé...
- Jean RICHEPIN (1849-1926) (Recueil : La chanson des gueux) - Les oiseaux de passage
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- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - Adieux à Suzon
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Émile Zola (1840-1902), Nouveaux Contes à Ninon (1874), "Le Forgeron".
Zola, Nouveaux Contes à Ninon, « Le Forgeron ». J’ai vécu une année chez le Forgeron, toute une année de convalescence. J’avais perdu mon cœur, perdu mon cerveau, j’étais parti, allant devant moi, me cherchant, cherchant un coin de paix et de travail, où je pusse retrouver ma virilité. C’est ainsi qu’un soir, sur la route, après avoir dépassé le village, j’ai aperçu la forge, isolée, toute flambante, plantée de travers à la croix des Quatre-Chemins. La lueur était telle, que la porte charretière...
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - L'infini dans les cieux