Résultats pour "corps"
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Le corps fermé) - Le corps fermé comme une jeune rose
- Germain NOUVEAU (1851-1920) (Recueil : Poésies d'Humilis) - Le corps et l'âme
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Robert Desnos - Extrait de "Corps et Biens"
Pistes méthodologiques Analyser le texte • Ce poème de Robert Desnos est un poème en prose de registre lyrique. La répétition au début de quatre paragraphes de la proposition « J'ai tant rêvé de toi... » (anaphore) y exprime l'enva¬hissement du rêve amoureux : le poète est entièrement habité, obsédé par la pensée de la femme aimée. • On comprend que le poète, en l'absence de la femme aimée, a cherché à l'évoquer, à lui donner corps par sa seule pensée mais avec des conséquences inverses de celle...
- « J'ai tant rêvé de toi » (Robert Desnos, Corps et biens, 1930)
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Mais si mon foible corps (qui comme l'eau s'escoule)
- Robert Desnos, « À la mystérieuse », Corps et Biens. « J'ai tant rêvé de toi ».
- Desnos, « j'ai tant rêvé de toi… » jusqu'à « …le cadran solaire de ta vie », Corps et Biens, 1930.
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Notre mère la ville) - Mon corps
- François MAYNARD (1582-1646) - Cache ton corps soubs un habit funeste
- Christofle de BEAUJEU (1550-x) - Vous qui sans corps, Démons, errez en France
- Charles VION D'ALIBRAY (1600-1653) (Recueil : La musette) - Ton corps plus doux que ton esprit
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Dans l'enfer de son corps mon esprit attaché
- Antoine FAVRE (1557-1624) (Recueil : Les Entretiens spirituels) - Il estoit bien seant que ce corps veritable
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : Stances) - A longs filets de sang ce lamentable corps
- Vincent VOITURE (1597-1648) - Tout beau corps, toute belle image
- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - Le Corps ravi, l'Âme s'en émerveille
- Christofle de BEAUJEU (1550-x) - Le corps pâle brûlé au bûcher domestique
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les solitudes) - Corps et âmes
- Christofle de BEAUJEU (1550-x) - L'âme qui en secret voit enterrer son corps
- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - Comme le corps ne permet point de voir
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours d'Hippolyte) - Autour des corps, qu'une mort avancée
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : La multiple splendeur) - La louange du corps humain
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : L'Amour passionnée de Noémie) - Comme un corps féminin que la mère Nature
- Pierre de CROIX (1539-1614) (Recueil : Le Miroir de l'Amour divin) - Ainsi que tous les corps que la nature anime
- Gouhier dans son oeuvre l'essence du théâtre affirme que "l'âme du théâtre c'est d'avoir un corps". Commentez et discutez cette opinion ?
- Remy de GOURMONT (1858-1915) (Recueil : Les divertissements) - La forêt blonde
- François VILLON (1431-x) (Recueil : Poésies diverses) - Le débat du cœur et du corps de Villon
- Après avoir lu plusieurs chroniques de Jean Giono, l'écrivain Jean-Louis Bory faisait ce commentaire : Giono avait longtemps cru que la machine et les allumettes chimiques, voilà les responsables du malheur. Tout se passait comme s'il ouvrait les yeux et sous la somptueuse peau de tigre, qu'est le feuillage des arbres, découvrait un corps cruel. Dans quelle mesure, Un roi sans divertissement peut-il illustrer ces propos ?
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : Stances) - Quiconque sur les os des tombeaux effroyables
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Dans La Religieuse "Diderot se livre à ce qu'il nomme lui-même une effroyable satire des couvents, mais cette volonté polémique ne vaudrait que pour l'anecdote s'il n'y développait une véritable méditation sur les méfaits de la solitude et sur les effets pervers de la violence que l'homme exerce contre la nature et contre lui-même- spirituellement par le fanatisme, physiquement par la répression systématique des besoins du corps". Dans quelle mesure ce propos de Pierre Lepape (Diderot, Flammarion, coll.Champs) éclaire-t-il votre lecture de l'oeuvre ?
S'il y a bien une idée essentielle du siècle des Lumières, et qui trouve sa source chez Erasme, c'est celle de l'anthropocentrisme. La société féodale et monarchique considérait, selon l'enseignement de l'Eglise catholique, que l'homme est certes la créature la plus parfaite de la création car possédant une âme spirituelle, et qui utilise sa raison pour s'élever au dessus des réalités matérielles. Cette raison est essentiellement naturelle, elle appartient par nature à l'homme à la différence de...