3617 résultats pour "grand+s"
- Joris Karl Huysmans, A rebours
- Gautier, Pluie, in Premières Poésies
- Sei-Shônagon
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : L'Imitation de N.D la Lune) - Nobles et touchantes divagations sous la lune
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : Premières poésies) - Pluie
- Colette, Sido, « Car j'aimais tant l'aube ».
- Éphraïm MIKHAËL (1866-1890) - L'automne
- Colette, Sido. « Car j'aimais tant l'aube… » à « …cette gorgée imaginaire »
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- « Tout homme qui sait lire a en lui le pouvoir de se magnifier, de multiplier ses modes d'existence, de rendre sa vie pleine, intéressante et significative. » Aldous Huxley. Vous commenterez cette phrase en illustrant vos idées par des exemples.
- Charles SAINTE-BEUVE (1804-1869) (Recueil : Vie, poésies et pensées de Joseph Delorme) - La plaine
- Pagnol, La Gloire de mon père.
- Montesquieu, De l'Esprit des Lois, Livre VIII, Chapitres 6 et 7
- Stendhal, Le Rouge et le Noir, Partie I.
- William CHAPMAN (1850-1917) - Notre Langue
- Tommaso Campanella (1568-1639), La Cité du Soleil (1623)
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : Les Tragiques) - Misères
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- Albert Camus - La Peste (II. Chapitre I.)
- Chateaubriand, Mémoires d'outre-tombe (Livre 38, Chapitre 5)
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Jean Racine
Jean Racine Mon Dieu, quelle guerre cruelle ! Je trouve deux hommes en moi. Si l'on veut essayer de comprendre Racine, il est essentiel de tenir compte, avant tout, des liens qui l'attachent irrésistiblement à Port-Royal, liens d'autant plus solides et impérieux que Port-Royal ne cessa d'être persécuté. Racine reçut de Port-Royal deux enseignements : l'amour infini de Dieu dont il ne se départit jamais, et une extrême et maladive sensibilité devant l'esprit de persécution. A côté de cet attachem...
- Maurice SCÈVE (1501-1564) (Recueil : Délie) - Dizains
- Voltaire, De l'horrible danger de la lecture.
- Jean LORRAIN (1855-1906) (Recueil : L'ombre ardente) - Clair de Lune
- Nicolas-Germain LÉONARD (1744-1793) - L'absence
- Germain NOUVEAU (1851-1920) (Recueil : Premiers poèmes) - Rêve claustral
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- Pierre REVERDY: La poésie n'est certainement pas dans les choses...
- Voltaire, Candide, chapitre 30 (fin).
- Voltaire, Candide, Dernier chapitre, chapitre XXX
- Molière, Le Misanthrope, acte V, scène dernière
- Zola, Au Bonheur des Dames (Chapitre 4)
- Guy de Maupassant, Bel-Ami, I, 3.
- Jean de La Fontaine, Fables, Second recueil, fable 11 : « Les deux amis »
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On considère souvent les personnage des contes de Voltaire comme des marionnettes. Quel sens donnez-vous à ce mot ? Appréciez cette affirmation en vous appuyant sur vos lectures personnelles et surtout sur les contes voltairien que vous avez lu (Zadig, Micromégas , l'ingénue) et en particulier de Candide
?
I Le personnage du conte, une marionnette pour le destin _ Les évènements mènent le personnage, qui pour sa part peine à créer un évènement, et plus encore agir dans le réel de manière à satisfaire un désir quelconque. On peut citer l'exemple du tournoi que Zadig remporte, mais dont la victoire lui échappe par une ruse de son concurrent, quoique cette scène ne soit qu'une déclinaison de l'ironie voltairienne appliqué à la structure de ses récits. Quoi qu'il en soit, les protagonistes, en dépit d...
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- Molière, Le Bourgeois Gentilhomme, acte III, scène 3
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : Espana) - L'horloge
- Voltaire: Lettre à Rousseau
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes barbares) - Le Nazaréen
- Laclos, Les Liaisons dangereuses, lettre VIII
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - Le soleil levant
- Louis MÉNARD (1822-1901) (Recueil : Rêveries d'un païen mystique) - Empédocle
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : Emaux et camées) - Le poëme de la femme
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- Sartre, Les Mots.
- Jean-François de LA HARPE (1739-1803) - Les regrets
- Balzac, Le Lys dans la vallée (La scène du bal, Félix de Vandenesse rencontre la comtesse Blanche Henriette de Mortsauf)
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GUILLOUX, Louis
GUILLOUX, Louis (15 janvier 1899-14 octobre 1980) Ecrivain Seul romancier français à qui la plupart des critiques et des spécialistes aient reconnu la dimension des écrivains russes, Louis Guilloux est né le 15 janvier 1899 à Saint-Brieuc (dans les Côtes d'Armor, alors dites Côtes du Nord). Son père, socialiste convaincu, était cordonnier. Tout un milieu, une origine qui ont marqué à jamais ce jeune boursier du lycée de Saint-Brieuc qui débarque à Paris en 1918 et entre à l'Intransigeant. Antifa...
- Zola, La vérité en marche " Lettre à la jeunesse"
- Du symbolisme au surréalisme
- Charles-Louis de MALFILATRE (1732-1767) - Le bonheur
- Théophile Dondey dit Philothée O'NEDDY (1811-1875) (Recueil : Feu et flamme) - Nuit troisième
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- Laclos, Les Liaisons dangereuses, Lettre LXXXI
- Philippe de Commynes - Mémoires