441 résultats pour "1855"
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les apparus dans mes chemins) - Celui de l'horizon
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Toute la Flandre) - Un toit, là-bas
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : La multiple splendeur) - A la gloire des cieux
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villages illusoires) - Le passeur d'eau
- Jean LORRAIN (1855-1906) (Recueil : L'ombre ardente) - Clair de Lune
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flammes hautes) - La vie ardente
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villages illusoires) - Les meules qui brûlent
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les vignes de ma muraille) - L'éternelle lueur
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- Gérard de NERVAL (1808-1855) (Recueil : Poésies de jeunesse) - Prière de Socrate
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Toute la Flandre) - La vieille demoiselle
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villes tentaculaires) - Vers le futur
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les ailes rouges de la guerre) - Ceux de Liége
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Toute la Flandre) - La bénédiction de la mer
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flammes hautes) - Au passant d'un soir
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les apparus dans mes chemins) - Celui de la fatigue
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les apparus dans mes chemins) - La plaine (I)
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- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : La jeunesse blanche) - Béguinage flamand
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les visages de la vie) - Vers la mer
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les blés mouvants) - Le chant de l'eau
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les ailes rouges de la guerre) - Au Reichstag
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flambeaux noirs) - La dame en noir
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : La multiple splendeur) - A la gloire du vent
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : La multiple splendeur) - Autour de ma maison
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les apparus dans mes chemins) - Celui du rien
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- Xavier Labensky, dit Jean POLONIUS (1790-1855) - L'exil d'Apollon
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flammes hautes) - Mon ami, le paysage
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villes tentaculaires) - L'âme de la ville
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Combien elle est facilement ravie
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Le printemps jeune et bénévole
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Chaque heure, où je songe à ta bonté
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les campagnes hallucinées) - Chanson de fou (2)
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Quoique nous le voyions fleurir
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- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Les vies encloses) - Les glaces sont les mélancoliques gardiennes
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Pour que rien de nous deux n'échappe à notre étreinte
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le miroir du ciel natal) - La lampe dans la chambre ...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Ô la splendeur de notre joie
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Il flotte une musique éteinte...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Vivons, dans notre amour et notre ardeur
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Oh ! tes si douces mains...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Sois-nous propice et consolante encor...
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- Jean LORRAIN (1855-1906) (Recueil : L'ombre ardente) - Le jeune homme et la mort
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Hélas ! les temps sont loin...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les campagnes hallucinées) - Chanson de fou (1)
- Jean LORRAIN (1855-1906) (Recueil : L'ombre ardente) - Devant un Frantz Halls
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Je t'apporte, ce soir...
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dans le silence et dans le soir de la maison
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - L'immobile beauté
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Au temps où longuement j'avais souffert
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Sitôt que nos bouches se touchent
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Je dédie à tes pleurs, à ton sourire