Résultats pour "toujours"
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Aimons toujours ! Aimons encore !...
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Les vies encloses) - L'aquarium, toujours frissonnant, est étrange
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Oh ! dis ! pourquoi toujours regarder sous la terre
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les châtiments) - Sonnez, sonnez toujours, clairons de la pensée
- Emile NELLIGAN (1879-1941) (Recueil : Premiers poèmes) - C'était l'automne...et les feuilles tombaient toujours
- Jean LAHOR (1840-1909) (Recueil : L'illusion) - Toujours
- Jean MORÉAS (1856-1910) (Recueil : Les Stances) - Je vous revois toujours, immobiles cyprès
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Poésies Antiques) - Toujours ce souvenir m'attendrit et me touche
- Antoine de NERVÈZE (1570-1622) - Vous me dites toujours où tendent mes desseins
- Jean-Antoine de BAÏF (1532-1589) (Recueil : Chansonnettes) - Babillarde, qui toujours viens
- Doit-on toujours attendre d'une oeuvre littéraire qu'elle nous donne une leçon ?
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours de Diane) - J'ai longtemps voyagé, courant toujours fortune
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Cousin, parle toujours des vices en commun
- L'autobiographe est-il toujours sincère ?
- La nouvelle délivre-t-elle toujours une morale ?
- Les souvenirs d'un auteur nous égarent-ils toujours sur son compte ?
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les solitudes) - Soupir
- La comédie a toujours été mineure. Un tel jugement vous paraît-il justifié ?
- Est-ce à dire que les souvenirs des auteurs nous égarent toujours sur leur compte ?
- L'écriture autobiographique propose-t-elle toujours une représentation fidèle de la personnalité et de la vie de l'auteur ?
- La littérature n'est pas un art d'invention, c'est un art d'imitation, et l'imitation n'est pas toujours de la Nature ou de la Vie, mais plus simplement d'un prédécesseur ignoré ?
- Victor Hugo fustige : Le penseur qui se mutile / Et s'en va chanteur inutile / Par la porte de la citée. Pensez-vous que les auteurs doivent ainsi être toujours au service de la proclamation ?
- Dans son Dictionnaire des idées reçues, Flaubert écrit, à l'entrée Imagination :Imagination : Toujours vive - s'en défier - Et la dénigrer chez les autres. En quoi cette définition permet-elle d'éclairer l'écriture de son roman Madame Bovary vingt ans auparavant ?
- Dans son Dictionnaire des idées reçues, Flaubert écrit, à l'entrée Imagination : Imagination : Toujours vive - S'en défier - Et la dénigrer chez les autres. En quoi cette définition permet-elle d'éclairer l'écriture de son roman Madame Bovary vingt ans auparavant ?
- Bergson, dans un article publié en 1923 estime la France pénétrée de classicisme, d'un classicisme qui a fait la netteté de son romantisme. Vous semble-t-il que la littérature française ait en effet toujours préservé l'essentiel de l'apport classique ?
- D'après un critique de théâtre, les pièces mettent souvent en scène des personnages à l'âme exceptionnelle, qui n'ont pas toujours raison socialement mais qui donnent du sens à la vie humaine. Votre lecture de théâtre confirme-t-elle ou nuance-t-elle ce jugement ?
- La littérature n'est pas un art d'invention, c'est un art d'imitation, et l'imitation n'est pas toujours de la Nature ou de la Vie, mais plus simplement d'un prédécesseur ignoré. Georges Cohen, Etudes d'histoire du théâtre. Vous commenterez ce propos en vous appuyant sur des exemples précis ?
- Paul Valéry a écrit : « La confidence songe toujours à la gloire, au scandale, à l'excuse, à la propagande ». Vous réfuterez ce jugement de Valéry en montrant que ses buts ne se réduisent pas à la volonté de choquer, mentir, se vanter mais présente d'autres intérêts pour l'écrivain et son lecteur.
- « Il n'y a qu'un classe dangereuse, c'est celle des intellectuels, c'est-à-dire des gens qui possèdent un instrument pour lequel il n'y a pas emploi. » Après avoir expliqué en quoi l'homme de lettres et l'écrivain peuvent être « dangereux » pour la société, vous direz si selon vous le danger qu'ils représentent est toujours nuisible ou peut être nécessaire ?
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Un critique écrit à propos de Polyeucte: Dans cette tragédie où l'action de la grâce est toujours présente, le comportement et l'évolution de Polyeucte et de Pauline restent pourtant, d'un bout à l'autre de la pièce, conformes à la vraisemblance psychologique. En retraçant d'une manière précise l'évolution psychologique des deux personnages vous justifierez le jugement de ce critique ?
Un critique écrit à propos de « Polyeucte » : « Dans cette tragédie où l'action de la grâce est toujours présente, le comportement et l'évolution de Polyeucte et de Pauline restent pourtant, d'un bout à l'autre de la pièce, conformes à la vraisemblance psychologique. » En retraçant d'une manière précise l'évolution psychologique des deux personnages vous justifierez le jugement de ce critique. INTRODUCTION Enlisées dans la banalité, telles nous apparaissent, lorsque l'action commence, l'âme de P...
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« Il y aura toujours, dit Théophile Gautier, des âmes artistes à qui les tableaux d'Ingres ou de Delacroix sembleront plus utiles que les chemins de fer ou les bateaux à vapeur ». qu'en pensez-vous ?
Introduction : a) Théophile Gautier appartient à la génération de ces romantiques qui, au nom de l'art, condamnaient les préoccupations utilitaires de leurs contemporains, en un siècle où les applications techniques des découvertes attiraient l'attention du public. b) Aussi s'est-il plu à opposer deux sortes d'esprits : les « âmes artistes », avant tout sensibles à la Beauté, et les autres, plus pratiques et plus positives, préoccupées d'abord de problèmes matériels. c) Que faut-il penser de son...
- Un critique contemporain affirme : La comédie vit des changements de rythme, du hasard, et de l'invention dramaturgique et scénique. Cela ne signifie pas toutefois que la comédie bafoue toujours l'ordre et les valeurs de la société où elle opère. Analysez et commentez ces propos en vous appuyant sur Casina ou les tireurs de sort de Plaute, Les Fourberies de Scapin de Molière, et Arlequin serviteur de deux maîtres de Goldoni. ?
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La journée se passe de cette sorte à folâtrer avec la plus grande liberté, et toujours avec la plus grande décence. Pas un seul mot équivoque, pas une seule plaisanterie hasardée ; et cette décence, nous ne nous l'imposions point du tout, elle venait tout
TEXTE La journée se passe de cette sorte à folâtrer avec la plus grande liberté, et toujours avec la plus grande décence. Pas un seul mot équivoque, pas une seule plaisanterie hasardée ; et cette décence, nous ne nous l'imposions point du tout, elle venait toute seule, nous prenions le ton que nous donnaient nos coeurs. Enfin ma modestie, d'autres diront ma sottise, fut telle que la plus grande privauté qui m'échappa fut de baiser une seule fois la main de Mlle Galley. Il est vrai que la circons...
- À la recherche d'un objet improbable et fuyant, la passion chez Marguerite Duras se vit toujours comme une tragédie (...) L'enjeu de la passion dans l'oeuvre et, semble t-il, de montrer cette mort dans une vie en cours qui devient l'ombre même du passionné. Ces propos vous paraissent-ils rendre compte des oeuvres au programme ? (Le Ravissement de Lol V. Stein ; La Princesse de Clèves et La Princesse de Montpensier de Madame de Lafayette ; Les Désordres de l'Amour de Madame de Villedieu) ?
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« Nommer un objet, c'est supprimer les trois quarts de la jouissance du poème qui est faite de deviner peu à peu : le suggérer, voilà le rêve... Il doit y avoir toujours énigme en poésie et c'est le but de la littérature ». Commentez et discutez ces propos sur la poésie de Mallarmé ?
Poète moderne, Mallarmé a médité sur le langage poétique qui selon lui est spécifique. La poésie doit recréer le langage, et le poète doit selon ses termes « rendre plus purs les mots de la tribu ». Mais, la conception de Mallarmé, en ce qu'elle n'envisage la poésie que dans sa fonction suggestive, ne restreintelle pas la multiplicité des formes et des fonctions que la poésie peut avoir ? I Le 19 ème siècle et la révolution poétique : 1) Mettre un terme à la fonction descriptive de la poésie :...
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Premiers poèmes) - Dans la rue
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« Je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance, et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve. Je désire qu'il n'ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voudrais surtout que, sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelque vérité fine qui échappe au vulgaire. » - Vous montrerez que Candide souligné de Voltaire rempli la fonction d'apologue tel que lui-même la définit dans son conte Le Taureau Blanc.
Demande d'échange de corrigé de MOUSTAFA Hatim ([email protected]). \Sujet déposé : Sujet : « Je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance, et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve. Je désire qu'il n'ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voudrais surtout que, sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelque vérité fine qui échappe au vulgaire. » - Vous montrerez que Candide souligné de Voltaire rempli la fonction d'apologue tel que lui-même la définit d...
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Que vous inspirent ces remarques d'un directeur de troupe : « Notre volonté est de mettre en scène la société, la présenter et provoquer vis à vis d'elle des regards critiques. C'est une fonction du théâtre. Elle n'est pas nouvelle. Mais dans le même temps, le théâtre doit être le lieu où se libèrent les forces de l'imagination, où s'organise le rêve. Ces deux fonctions ne sont-elles pas contradictoires. » ?
Que vous inspirent ces remarques d'un directeur de troupe : « Notre volonté est de mettre en scène la société, la présenter et provoquer vis à vis d'elle des regards critiques. C'est une fonction du théâtre. Elle n'est pas nouvelle. Mais dans le même temps, le théâtre doit être le lieu où se libèrent les forces de l'imagination, où s'organise le rêve. Ces deux fonctions ne sont-elles pas contradictoires. » ? Le théâtre, école de « vice et de mauvaises moeurs ». Bossuet (17» s., prédicateur chrét...
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Depuis les temps anciens jusqu'aux tentatives de l'avant-garde, la littérature s'affaire à représenter quelque chose. Quoi ? Je dirai brutalement : le réel. Le réel n'est pas représentable et c'est parce que les hommes veulent sans cesse le représenter par des mots, qu'il y a une histoire de la littérature [...] ou pour mieux dire des productions de langage, qui serait l'histoire des expédients verbaux, souvent très fous pour réduire, apprivoiser, nier, ou au contraire assumer ce qui est toujours un délire, à savoir l'inadéquation fondamentale du langage et du réel. Je disais à l'instant que le littérature est catégoriquement réaliste, en ce qu'elle n'a jamais que le réel pour objet de désir ; et je dirai maintenant, sans me contredire [...], qu'elle est tout aussi obstinément irréaliste ; elle croit sensé le désir de l'impossible. Roland Barthes, Leçon inaugurale prononcée le 7 janvier 1977 au Collège de France (Paris, Seuil, 1978). Vous commenterez et discuterez ces propos ?
« Depuis les temps anciens jusqu'aux tentatives de l'avant-garde, la littérature s'affaire à représenter quelque chose. Quoi ? Je dirai brutalement : le réel. Le réel n'est pas représentable et c'est parce que les hommes veulent sans cesse le représenter par des mots, qu'il y a une histoire de la littérature [...] ou pour mieux dire des productions de langage, qui serait l'histoire des expédients verbaux, souvent très fous pour réduire, apprivoiser, nier, ou au contraire assumer ce qui est toujo...
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - La nuit d'août
- Commentez et discutez ces lignes de Baudelaire : « L'art est-il utile? Oui. Pourquoi ? Parce qu'il est l'art. Y a-t-il un art pernicieux? Oui. C'est celui qui dérange les conditions de la vie. Le vice est séduisant, il faut le peindre séduisant; mais il traîne avec lui des maladies et des douleurs morales singulières. Il faut les décrire. Etudiez toutes les plaies comme un médecin qui fait, son service dans un hôpital, et l'école du bon sens, l'école exclusivement morale, ne trouvera plus où mordre. Le crime est-il toujours châtié, la vertu gratifiée? Non; mais cependant si votre roman, si votre drame est bien fait, il ne prendra envie à personne de violer les lois de la nature. La première condition nécessaire pour un art sain est la croyance à l'unité intégrale. Je défie qu'on me trouve un seul ouvrage d'imagination qui réunisse toutes les conditions du beau et qui soit un ouvrage pernicieux. » (L'Art romantique, « Les drames et les romans honnêtes ».) ?
- Jules BARBEY D'AUREVILLY (1807-1889) (Recueil : Poussières) - La Maîtresse rousse
- Commentez cette page d'Albert Camus: « L'art formel et l'art réaliste sont des notions absurdes. Aucun art ne peut refuser absolument le réel. La Gorgone est sans doute une créature purement imaginaire; son mufle et les serpents qui la couronnent sont dans la nature. Le formalisme peut parvenir à se vider de plus en plus de contenu réel, mais une limite l'attend toujours. Même la géométrie pure où aboutit parfois la peinture abstraite demande encore au monde extérieur sa couleur et ses rapports de perspective. Le vrai formalisme est silence. De même, le réalisme ne peut se passer d'un minimum d'interprétation et d'arbitraire. La meilleure des photographies trahit déjà le réel, elle naît d'un choix et donne une limite à ce qui n'en a pas. L'artiste réaliste et l'artiste formel cherchent l'unité où elle n'est pas, dans le réel à l'état brut, ou dans la création imaginaire qui croit expulser toute réalité. Au contraire, l'unité en art surgit au terme de la transformation que l'artiste impose au réel. Elle ne peut se passer ni de l'une ni de l'autre. Cette correction, que l'artiste opère par son langage et par une redistribution d'éléments puisés dans le réel, s'appelle le style et donne à l'univers recréé son unité et ses limites. » (L'Homme révolté, pp. 332-333.) ?
- François de La Rochefoucault, Maximes, Réflexions Diverses, XI. Du rapport des hommes avec les animaux
- Auguste BARBIER (1805-1882) - La cuve
- Pierre LE MOYNE (1602-1671) (Recueil : Lettres morales et poétiques) - Carte de la Cour