42 résultats pour "route"
- Gaston COUTÉ (1880-1911) - Sur la grand'route
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les blés mouvants) - Les routes
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Blaise Cendrars, Feuilles de route, 1924
Introduction • Biaise Cendrars, poète français de ce siècle, semble né pour voyager comme l'illustre le titre de ses œuvres : Bourlinguer et ici Feuilles de route. • Pour l'auteur de la « Prose du Transsibérien », l'amour lui-même est un voyage. Il en a la liberté, la nouveauté toujours recommencée, la richesse infinie. • Ce qui étonne et séduit, dans cet extrait de Feuilles de route, ce sont précisément la spontanéité, la liberté de ton et l'enthousiasme communicatif qui caractérisent les senti...
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Claude SIMON - La Route des Flandres
Introduction. Claude Simon, dont l'ensemble de l'œuvre a été récemment couronnée par le prix Nobel de littérature, appartient au mouvement littéraire du Nouveau Roman. Pour de nombreux auteurs du XXe siècle, le langage devient le sujet essentiel du livre, il n'est plus l'outil d'une description psychologique ou de la narration d'un événement. Claude Simon s'efforce par exemple de restituer le courant de conscience et ce qu'il appelle lui-même « le foisonnant et rigoureux désordre de la mémoire »...
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Claude Simon, La Route des Flandres
Et Blum : «Et alors... » (mais cette fois Iglésia n'était plus là : tout Fêté ils le passèrent une pioche (ou, quand ils avaient de la chance, une pelle) en main à des travaux de terrassement puis au début de F automne ils furent envoyés dans une ferme arracher les pommes de terre et les betteraves, puis Georges essaya de s'évader, fut repris (par hasard, et non par des soldats ou des gendarmes envoyés à sa recherche mais — c'était un dimanche matin — dans un bois où il avait dormi, par de paisi...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Un soir
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Les cierges
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Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Les horloges
Commentaire du poème d’Emile Verhaeren, « Les Horloges » Introduction « Les horloges « est un poème d’Emile Verhaeren écrit en 1891 et extrait du recueil intitulé Les bords de la route. Ce poème de cinq strophes (quatre quatrains et un sizain) aux vers irréguliers évoque la fuite du temps à travers le thème de l’horloge. Projet de lecture : Comment ce poème exprime-t-il l’angoisse de la fuite du temps ? I) La description des horloges Ce poème se présente comme une description, un portrait mé...
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- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : L'homme intérieur) - J'ai croisé sur la route où je vais dans la vie
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Parabole
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Là-bas
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Sonnet
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Des soirs
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Les brumes
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Sur la côte
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Le gel
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Légendes
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - La barque
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - La nuit
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Comme tous les soirs
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Comme tous les soirs
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Les corneilles
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Silencieusement
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Cantiques
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Hommage
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Minuit blanc
- Émile GOUDEAU (1849-1906) (Recueil : Fleurs du bitume) - Sur la route de Charenton
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Il fait novembre en mon âme
- Développer ce jugement de Fénélon: Ronsard n'avait pas tort, ce me semble, de tenter quelque nouvelle route pour enrichir notre langue, pour enhardir notre poésie et pour dénouer notre versification naissante ?
- Selon Jacques Vier, " Les Lettres Philosophiques soulèvent les principaux problèmes que l'esprit rencontre sur sa route, mais à la faveur d'une promenade à traves un pays, que l'on découvre ; elles renseignent plus qu'elles n'enseignent." Illustrez et éventuellement discutez cet avis critique contemporain ?
- Seriez-vous aussi sévère qu'un critique affirmant, à propos de la reprise des mythes antiques par les dramaturges modernes : « Il y a une étonnante mesquinerie à rapetisser ainsi ces grandes figures qui, sur la route de l'humanité, incarnent nos éternelles passions. » ? Pour répondre, vous vous appuierez sur la pièce étudiée cette année ?
- VAUVENARGUES: On dit, Corneille est venu le premier, il a créé le théâtre. Je ne puis souscrire à cela, Corneille avait de grands modèles parmi les anciens, Racine ne l'a pas suivi; personne n'a pris une route, je ne dis pas plus différente, mais plus opposée; personne n'est plus original à meilleur titre. qu'en pensez-vous ?
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Désert de Jean-Marie Gustave Le Clézio
Désert de Jean-Marie Gustave Le Clézio Roman, France, 1980 Résumé L'hiver 1909 voit la dernière odyssée des hommes bleus du désert, venus, de plus en plus nombreux, rejoindre les guerriers du grand cheikh Ma el Aïnine, « L'Eau des yeux », aux portes de Smara, dans la vallée de la Saguiet el Hamra. En route depuis des mois, des années, pour chasser les « soldats des chrétiens », ils marchent inlassablement. Les uns sont morts, les autres sont nés. Smara héberge les tribus mais cette ville n'est q...
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VOLTAIRE, parlant des grands écrivains du siècle de Louis XIV, écrit : La route était difficile au commencement du siècle parce que personne n'y avait marché : elle l'est aujourd'hui parce qu'elle a été battue. Les grands hommes du siècle passé ont enseigné à penser et à parler : ils ont dit ce qu'on ne savait pas. Ceux qui leur succèdent ne peuvent guère dire que ce qu'on sait. Dans quelle mesure, à votre avis, l'oeuvre même de VOLTAIRE justifie-t-elle cette constatation pessimiste ?
VOLTAIRE, parlant des grands écrivains du siècle de Louis XIV, écrit : La route était difficile au commencement du siècle parce que personne n\'y avait marché : elle l\'est aujourd'hui parce qu\'elle a été battue. Les grands hommes du siècle passé ont enseigné à penser et à parler : ils ont dit ce qu'on ne savait pas. Ceux qui leur succèdent ne peuvent guère dire que ce qu'on sait. Dans quelle mesure, à votre avis, l\'oeuvre même de VOLTAIRE justifie-t-elle cette constatation pessimiste ? A. Com...
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Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Illuminations) - Aube
Introduction Aube est tiré des Illuminations. Le terme « illuminations » correspond à peu près en anglais au mot enluminures : c'est ainsi qu'il faut comprendre le titre de Rimbaud, puisqu'il a donné à son œuvre le sous-titre « painted plates » mais il ne faut pas écarter l'idée de visions presque magiques, d'hallucinations spontanées ou provoquées. Aube est à la fois une impression sincère, presque simple et une aventure onirique; et, si le poème présente une unité interne, elle ne peut être qu...
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Arthur Rimbaud, "Aube", Illuminations.
Introduction Aube est tiré des Illuminations. Le terme « illuminations » correspond à peu près en anglais au mot enluminures : c'est ainsi qu'il faut comprendre le titre de Rimbaud, puisqu'il a donné à son œuvre le sous-titre « painted plates » mais il ne faut pas écarter l'idée de visions presque magiques, d'hallucinations spontanées ou provoquées. Aube est à la fois une impression sincère, presque simple et une aventure onirique; et, si le poème présente une unité interne, elle ne peut être qu...
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Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932)
Céline, Voyage au bout de la nuit. « Allez-vous-en tous ! Allez rejoindre vos régiments ! Et vivement ! qu’il gueulait. — Où qu’il est le régiment, mon commandant ? qu’on demandait nous... — Il est à Barbagny. — Où que c’est Barbagny ? — C’est par là ! » Par là, où il montrait, il n’y avait rien que la nuit, comme partout d’ailleurs, une nuit énorme qui bouffait la route à deux pas de nous et même qu’il n’en sortait du noir qu’un petit bout de route grand comme la langue. Allez donc le chercher...
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Aleksandr Trifonovitch Tvardovski
Aleksandr Trifonovitch Tvardovski 1910-1971 Né dans la région de Smolensk, fils d'un paysan instruit, il est mort à Moscou. Poète, il écrivit des vers dès son plus jeune âge. Il commença à publier en 1924. Tvardovski reconnaît avoir été influencé par Michel Issakovski. En 1931 paraît un poème : Le Chemin vers le socialisme, où il manifeste la volonté de revenir au langage de la conversation ; en 1933, Préface ; en 1936, Le Pays de Mouravie ; en 1942-1945 un poème consacré à Vassili Tiorkine, typ...
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Jack Kerouac
Jack Kerouac 1922-1969 Auteur américain, de son vrai nom Jean-Louis Lebris de Kerouac, dont l'écriture spontanée donna naissance à la “ littérature de l'instant ”, expression du vent de liberté qui souffla sur l'Amérique de la “ beat generation ”. Issu d'une famille d'origine canadienne-française, Jack Kerouac naquit à Lowell, Massachusetts, où il apprit l'anglais en seconde langue. Étudiant à Columbia College à la veille de l'entrée en guerre des États-Unis, il s'enrôla dans la US Navy. Réformé...
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Solo de lune
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- Georges Bernanos : « La fugue », extrait de Monsieur Quine
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Émile Zola (1840-1902), Nouveaux Contes à Ninon (1874), "Le Forgeron".
Zola, Nouveaux Contes à Ninon, « Le Forgeron ». J’ai vécu une année chez le Forgeron, toute une année de convalescence. J’avais perdu mon cœur, perdu mon cerveau, j’étais parti, allant devant moi, me cherchant, cherchant un coin de paix et de travail, où je pusse retrouver ma virilité. C’est ainsi qu’un soir, sur la route, après avoir dépassé le village, j’ai aperçu la forge, isolée, toute flambante, plantée de travers à la croix des Quatre-Chemins. La lueur était telle, que la porte charretière...