Résultats pour "route"
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les blés mouvants) - Les routes
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Les cierges
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : L'homme intérieur) - J'ai croisé sur la route où je vais dans la vie
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Claude SIMON - La Route des Flandres
Introduction. Claude Simon, dont l'ensemble de l'œuvre a été récemment couronnée par le prix Nobel de littérature, appartient au mouvement littéraire du Nouveau Roman. Pour de nombreux auteurs du XXe siècle, le langage devient le sujet essentiel du livre, il n'est plus l'outil d'une description psychologique ou de la narration d'un événement. Claude Simon s'efforce par exemple de restituer le courant de conscience et ce qu'il appelle lui-même « le foisonnant et rigoureux désordre de la mémoire »...
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Blaise Cendrars, Feuilles de route, 1924
Introduction • Biaise Cendrars, poète français de ce siècle, semble né pour voyager comme l'illustre le titre de ses œuvres : Bourlinguer et ici Feuilles de route. • Pour l'auteur de la « Prose du Transsibérien », l'amour lui-même est un voyage. Il en a la liberté, la nouveauté toujours recommencée, la richesse infinie. • Ce qui étonne et séduit, dans cet extrait de Feuilles de route, ce sont précisément la spontanéité, la liberté de ton et l'enthousiasme communicatif qui caractérisent les senti...
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Claude Simon, La Route des Flandres
Et Blum : «Et alors... » (mais cette fois Iglésia n'était plus là : tout Fêté ils le passèrent une pioche (ou, quand ils avaient de la chance, une pelle) en main à des travaux de terrassement puis au début de F automne ils furent envoyés dans une ferme arracher les pommes de terre et les betteraves, puis Georges essaya de s'évader, fut repris (par hasard, et non par des soldats ou des gendarmes envoyés à sa recherche mais — c'était un dimanche matin — dans un bois où il avait dormi, par de paisi...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Parabole
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Sonnet
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Légendes
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Silencieusement
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Cantiques
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Hommage
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Là-bas
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Le gel
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Minuit blanc
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Les brumes
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - La nuit
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Des soirs
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Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Les horloges
Commentaire du poème d’Emile Verhaeren, « Les Horloges » Introduction « Les horloges « est un poème d’Emile Verhaeren écrit en 1891 et extrait du recueil intitulé Les bords de la route. Ce poème de cinq strophes (quatre quatrains et un sizain) aux vers irréguliers évoque la fuite du temps à travers le thème de l’horloge. Projet de lecture : Comment ce poème exprime-t-il l’angoisse de la fuite du temps ? I) La description des horloges Ce poème se présente comme une description, un portrait mé...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - La barque
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Les corneilles
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Un soir
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Sur la côte
- Émile GOUDEAU (1849-1906) (Recueil : Fleurs du bitume) - Sur la route de Charenton
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Comme tous les soirs
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Comme tous les soirs
- Développer ce jugement de Fénélon: Ronsard n'avait pas tort, ce me semble, de tenter quelque nouvelle route pour enrichir notre langue, pour enhardir notre poésie et pour dénouer notre versification naissante ?
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Il fait novembre en mon âme
- Selon Jacques Vier, " Les Lettres Philosophiques soulèvent les principaux problèmes que l'esprit rencontre sur sa route, mais à la faveur d'une promenade à traves un pays, que l'on découvre ; elles renseignent plus qu'elles n'enseignent." Illustrez et éventuellement discutez cet avis critique contemporain ?
- Seriez-vous aussi sévère qu'un critique affirmant, à propos de la reprise des mythes antiques par les dramaturges modernes : « Il y a une étonnante mesquinerie à rapetisser ainsi ces grandes figures qui, sur la route de l'humanité, incarnent nos éternelles passions. » ? Pour répondre, vous vous appuierez sur la pièce étudiée cette année ?
- VAUVENARGUES: On dit, Corneille est venu le premier, il a créé le théâtre. Je ne puis souscrire à cela, Corneille avait de grands modèles parmi les anciens, Racine ne l'a pas suivi; personne n'a pris une route, je ne dis pas plus différente, mais plus opposée; personne n'est plus original à meilleur titre. qu'en pensez-vous ?
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Solo de lune