Devoir de Français

Aleksandr Trifonovitch Tvardovski

Extrait du document

Aleksandr Trifonovitch Tvardovski 1910-1971 Né dans la région de Smolensk, fils d'un paysan instruit, il est mort à Moscou. Poète, il écrivit des vers dès son plus jeune âge. Il commença à publier en 1924. Tvardovski reconnaît avoir été influencé par Michel Issakovski. En 1931 paraît un poème : Le Chemin vers le socialisme, où il manifeste la volonté de revenir au langage de la conversation ; en 1933, Préface ; en 1936, Le Pays de Mouravie ; en 1942-1945 un poème consacré à Vassili Tiorkine, type, devenu célèbre, du soldat soviétique moyen ; en 1946, La Maison au bord de la route, sur la guerre vécue, cette fois, par les civils. Il faut citer encore des vers : La Route, Vers de 1934-1935, parus en 1938 ; un livre de vers : La Chronique villageoise en 1939. Dans les années trente, Tvardovski fit paraître une courte nouvelle : Le Journal d'un président de kolkhoze. Il participa à la guerre de Finlande. En 1947, parut un livre sur la guerre : La Patrie et la terre étrangère. Il écrivit encore des lettres, des esquisses et des récits. En 1961, il a reçu le Prix Lénine pour son poème à la gloire du développement agricole et industriel de l'Union : Par-delà le lointain, le Lointain. En 1963 paraissait Terkine dans l'autre monde qui avait été écrit au lendemain de la mort de Staline. La poésie de Tvardovski est bien venue, élégante, humoristique, parfois satirique ; c'est celle d'un homme cultivé. Il faut ajouter que le rôle de Tvardovski à la tête de la revue libérale "Novy Mir" (Nouveau Monde) a été très important ; il y prit notamment la défense de Soljenitsyne. Seize ans après sa mort a été publié son recueil de poésies De par les droits de la mémoire.

« Aleksandr Trifonovitch Tvardovski 1910-1971 Né dans la région de Smolensk, fils d'un paysan instruit, il est mort à Moscou.

Poète, il écrivit des vers dès son plus jeune âge.

Il commença à publier en 1924.

Tvardovski reconnaît avoir été influencé par Michel Issakovski.

En 1931 paraît un poème : Le Chemin vers le socialisme, où il manifeste la volonté de revenir au langage de la conversation ; en 1933, Préface ; en 1936, Le Pays de Mouravie ; en 1942-1945 un poème consacré à Vassili Tiorkine, type, devenu célèbre, du soldat soviétique moyen ; en 1946, La Maison au bord de la route, sur la guerre vécue, cette fois, par les civils.

Il faut citer encore des vers : La Route, Vers de 1934-1935, parus en 1938 ; un livre de vers : La Chronique villageoise en 1939.

Dans les années trente, Tvardovski fit paraître une courte nouvelle : Le Journal d'un président de kolkhoze.

Il participa à la guerre de Finlande.

En 1947, parut un livre sur la guerre : La Patrie et la terre étrangère.

Il écrivit encore des lettres, des esquisses et des récits.

En 1961, il a reçu le Prix Lénine pour son poème à la gloire du développement agricole et industriel de l'Union : Par-delà le lointain, le Lointain.

En 1963 paraissait Terkine dans l'autre monde qui avait été écrit au lendemain de la mort de Staline.

La poésie de Tvardovski est bien venue, élégante, humoristique, parfois satirique ; c'est celle d'un homme cultivé.

Il faut ajouter que le rôle de Tvardovski à la tête de la revue libérale "Novy Mir" (Nouveau Monde) a été très important ; il y prit notamment la défense de Soljenitsyne.

Seize ans après sa mort a été publié son recueil de poésies De par les droits de la mémoire.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓