71 résultats pour "intérieur"
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : L'homme intérieur) - Ma fenêtre était large ouverte sur la nuit
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La littérature permet-elle de comprendre notre instabilité intérieure ?
La littérature permet-elle de comprendre notre instabilité intérieure ? - Bien souvent la littérature pousse à s’interroger sur notre propre instabilité intérieure, en effet la lecture d’œuvres de fiction incite souvent le lecteur à réaliser sa propre introspection. La littérature agit alors comme un miroir de nos émotions, de notre vécu et de nos souvenirs. Le rôle de l’écrivain et de la littérature est multiple, ce rôle peut être de divertir le lecteur ou bien de le faire réfléchir mai...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - Quelle est la fin de tout ?
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - Ritournelle
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Jadis et naguère) - Intérieur
- Rainer Maria RILKE (1875-1926) (Recueil : Vergers) - Portrait intérieur
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - L'Amazone
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - Adagio
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- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - Mon Père
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - A Virgile
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - Passé
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - Matin d'Octobre
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - Nostalgie parisienne
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - La Cueillette des Cerises
- Anna de NOAILLES (1876-1933) (Recueil : Le coeur innombrable) - Voix intérieure
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". . . il est bon de vous laisser le plaisir de la surprise, et de ne vous avertir point de tout ce qu'on vous fera voir". A l'inverse du souhait formulé par Eraste dans l'extrait de la pièce de Molière, vous désirez présenter au public dans un prologue l'intrigue d'une pièce que vous avez lue, vue ou étudiée. Conscient de l'artifice du procédé, vous prenez soin de le justifier. Composez cette présentation sous la forme d'un monologue argumentatif.
L'intitulé du sujet invite l'élève à respecter la forme du monologue, et qui plus est d'un monologue argumenté. Celui-ci doit présenter point par point une pièce de théâtre de son choix, afin de suivre la démarche inverse à celle formulée dans la citation. L'objectif consiste donc à renverser le procédé employé par Molière. Il s'agit de lever le voile sur l'histoire, d'en présenter la trame de sorte que celle-ci soit sans surprise, ni étonnement aux yeux du public/lecteur. Proposition : rédiger...
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - A l'Arc de triomphe
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - La tombe dit à la rose
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - Le Rêve du Poète
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - Vous êtes dans le vrai, canotiers, calicots
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - Est-ce que les oiseaux se cachent pour mourir ?
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - A des oiseaux envolés
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : La vie intérieure) - Les yeux
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : L'homme intérieur) - Avant que mon désir douloureux soit comblé
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- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - Morceau à quatre mains
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - A Paris, en été, les soirs sont étouffants...
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Johann Wolfgang Goethe
Johann Wolfgang Goethe Entre toutes les épithètes-clichés qui furent si libéralement octroyées à Goethe, il n'en est peut-être pas qui ait plus efficacement contribué à fausser ses traits que celle "d'olympien". La vérité est que l'impassibilité fut chez lui un masque et la sérénité une conquête. Peu d'hommes eurent plus à lutter contre ces ennemis intérieurs que sont des nerfs vibrants et une sensibilité emportée vers tous les extrêmes. "Ballotté entre le ciel et l'enfer" c'est ainsi qu'aux jo...
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - Elle sait que l'attente est un cruel supplice
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : L'homme intérieur) - Ah ! ce bruit affreux de la vie !
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - De la rue on entend sa plaintive chanson
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - Prisonnier d'un bureau, je connais le plaisir
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - De même que Rousseau jadis fondait en pleurs
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- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - Un rêve de bonheur qui souvent m'accompagne
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - L'allée est droite et longue, et sur le ciel d'hiver
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - J'adore la banlieue avec ses champs en friche
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - Il a neigé la veille et, tout le jour, il gèle
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - Champêtres et lointains quartiers, je vous préfère
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - Dans ce jardin antique où les grandes allées
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : L'homme intérieur) - Ton image en tous lieux peuple ma solitude
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : L'homme intérieur) - J'ai croisé sur la route où je vais dans la vie
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - Une nuit qu'on entendait la mer sans la voir
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - Puisqu'ici-bas toute âme
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - Regardez : les enfants se sont assis en rond
- Victor Hugo (1802-1885), « Une nuit qu'on entendait la mer sans la voir », Les Voix intérieures (1837).
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : L'homme intérieur) - J'étais couché dans l'ombre au seuil de la forêt
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - J'écris près de la lampe. Il fait bon. Rien ne bouge
- Victor Hugo (1802-1885), Les Voix intérieures (1837), XXVII « Après une lecture de Dante »
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - Noces du samedi ! noces où l'on s'amuse
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- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : L'homme intérieur) - Saison fidèle aux coeurs qu'importune la joie
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : L'homme intérieur) - Le temps n'a point pâli ta souveraine image