28 résultats pour "chambre"
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Regrets sur ma vieille robe de chambre ou avis à ceux qui ont plus de goût que de fortune par Denis DIDEROT
Le titre, avec le mot clé regrets, donne le ton : c'est avec mélancolie que Diderot évoque un vêtement longtemps porté, dans lequel il était parfaitement à l'aise. La symétrie des deux membres de la deuxième phrase le prouve : Elle était faite à moi ; j'étais fait à elle. Cette symétrie, renforcée par l'emploi constant de la parataxe, se retrouve dans les oppositions entre la vieille robe de chambre et la nouvelle, mais ces deux vêtements représentent deux périodes distinctes de la vie de l'aute...
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Le miroir est l'amour, l'âme-soeur de la chambre
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Les chambres, dans le soir
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le miroir du ciel natal) - La lampe dans la chambre ...
- Pierre QUILLARD (1864-1912) (Recueil : La lyre héroïque et dolente) - Chambre d'amour
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dans l'angle obscur de la chambre, le piano
- Xavier de Maistre, Voyage autour de ma chambre.
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flamandes) - La grande chambre
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- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - L'obscurité, dans les chambres, le soir...
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Quand le soir est tombé dans la chambre quiète
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Seuls les rideaux, tandis que la chambre est obscure
- Octave MIRBEAU, Le journal d'une femme de chambre
- Octave MIRBEAU, Le journal d'une femme de chambre
- Octave MIRBEAU, Le journal d'une femme de chambre
- Madame Amable TASTU (1798-1885) - La chambre de la châtelaine
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Elégies) - Ma chambre
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- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : Les Tragiques) - La chambre dorée
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Émile Zola (1840-1902), Nouveaux Contes à Ninon (1874), "Le Forgeron".
Zola, Nouveaux Contes à Ninon, « Le Forgeron ». J’ai vécu une année chez le Forgeron, toute une année de convalescence. J’avais perdu mon cœur, perdu mon cerveau, j’étais parti, allant devant moi, me cherchant, cherchant un coin de paix et de travail, où je pusse retrouver ma virilité. C’est ainsi qu’un soir, sur la route, après avoir dépassé le village, j’ai aperçu la forge, isolée, toute flambante, plantée de travers à la croix des Quatre-Chemins. La lueur était telle, que la porte charretière...
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Madame Basile écrit à son amie intime : elle rapporte et commente la scène telle qu'elle l'a vécue ?
Madame Basile écrit à son amie intime : elle rapporte et commente la scène telle qu'elle l'a vécue. Votre travail consiste en la rédaction d'une lettre, vous devez donc bien respecter les codes de ce genre : Normalement, vous devez écrire en en haut à gauche de la lettre le nom de la personne qui écrit la lettre, donc Mme Basile. Vous pouvez dater votre lettre la date sans commettre d'anachronisme ! (Cet épisode se situe en 1728). + N'oubliez pas les formules de politesse (même si Mme basile éc...
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Victor Hugo, Choses vues, 1846.
Victor Hugo, Choses Vues, 1846. Hier, 22 février (1), j'allais à la Chambre des Pairs (2). Il faisait beau et très froid, malgré le soleil de midi. Je vis venir rue de Tournon un homme que deux soldats emmenaient. Cet homme était blond, pâle, maigre, hagard ; trente ans à peu près, un pantalon de grosse toile, les pieds nus et écorchés dans des sabots avec des linges sanglants roulés autour des chevilles pour tenir lieu de bas ; une blouse courte, souillée de boue derrière le dos, ce qui indiqua...
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Victor HUGO, Les Misérables, I, VII, 3.
Victor HUGO, Les Misérables, I, VII, 3. Il reculait maintenant avec une égale épouvante devant les deux résolutions qu'il avait prises tour à tour. Les deux idées qui le conseillaient lui paraissaient aussi funestes l'une que l'autre. - Quelle fatalité ! quelle rencontre que ce Champmathieu pris pour lui ! Être précipité justement par le moyen que la providence paraissait d'abord avoir employé pour l'affermir ! Il y eut un moment où il considéra l'avenir. Se dénoncer, grand Dieu ! se livrer ! Il...
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Doctrines politiques du XIXe siècle.
Doctrines politiques du XIXe siècle. En politique, se manifeste une dualité du même genre : d'un côté les libéraux et les premiers socialistes, de l'autre les partisans d'un régime autoritaire. Au parti libéral se rattachent Benjamin Constant et PAuL-Louis COURIER,. L'individualisme ombrageux de l'un, le caractère difficile de l'autre devaient en faire nécessairement des opposants. Mais tandis que Benjamin Constant étale sa doctrine en de graves traités, Paul-Louis Courier s'amuse à composer des...
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Jean Tardieu
Jean Tardieu 1903-1995 Jean Tardieu est l'auteur d'une oeuvre poétique toute de discrétion et de profondeur. Dans Le Choix de Poèmes (1961), le lecteur retrouvera les thèmes familiers, comme les recherches de langage, qui forment, avec les esquisses dramatiques de Théâtre de chambre, Un Mot pour un autre, Une Voix sans personne et Les Poèmes à jouer, l'essentiel d'une longue et féconde création, à la connaissance de laquelle aident, pour leur part, d'autres ouvrages, tels que Accents (1939), Le...
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L'Hôtel de Rambouillet.
L'Hôtel de Rambouillet. Si la littérature française parvint à éviter la plupart des excès où la mode baroque risquait de l'entraîner, elle en est redevable à l'action de l'Hôtel de Rambouillet, cercle mondain et foyer de vie intellectuelle, qui, tout en suivant cette mode, sut l'appliquer avec mesure. L'initiative appartient ici à une jeune femme, Catherine de Vivonne, MARQUISE DE RAMBOUILLET. Fille d'une Italienne et d'un diplomate français, belle, mais de santé médiocre, habituée par ses origi...
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Albert Camus, L'Etranger, 1942.
Albert Camus, L’Étranger, « Quand je suis entré en prison ». Quand je suis entré en prison, on m'a pris ma ceinture, mes cordons de souliers, ma cravate et tout ce que je portais dans mes poches, mes cigarettes en particulier. Une fois en cellule, j'ai demandé qu'on me les rende. Mais on m'a dit que c'était défendu. Les premiers jours ont été très durs. C'est peut-être cela qui m'a le plus abattu. Je suçais des morceaux de bois que j'arrachais de fa planche de mon lit. Je promenais toute la jour...
- Henry BATAILLE (1872-1922) - Les souvenirs
- Stendhal, Le Rouge et le Noir, Partie I.
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Quand on rentre chez soi, délivré de la rue