132 résultats pour "l+espace+va"
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Pierre Jean Jouve
Pierre Jean Jouve 1887-1976 L'on s'accorde à dire que Baudelaire est à l'origine du mouvement poétique contemporain. Marcel Raymond ajoute que ce mouvement est double : qu'il comprend les artistes — c'est la filière Valéry-Mallarmé, et les voyants — c'est la filière qui va de Rimbaud aux "chercheurs d'aventures". Parmi ceux-ci, il range Jouve. Cependant il juge ainsi en 1933, quand Sueur de Sang vient de paraître : poème qui s'avance si vertigineusement dans l'homme souterrain que les mots en ef...
- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - Coq-à-l'âne
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes barbares) - La dernière vision
- Hugo, les Châtiments, « Le bord de la mer » (III, XV)
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Ô Rus
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villages illusoires) - Le silence
- Louis MÉNARD (1822-1901) (Recueil : Rêveries d'un païen mystique) - Empédocle
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Que pensez-vous de cette opinion d'Oscar Wilde: Une artiste doit créer de belles choses, mais sans rien y mettre de sa propre vie. Etayez votre discussion d'exemples puisés dans la littérature française ?
« Un artiste doit créer de belles choses, mais sans rien y mettre de sa propre vie » Oscar Wilde Analyse du sujet et problématisation : Oscar Wilde pense ici qu'un artiste doit s'exprimer en créant des oeuvres, mais qu'il ne doit pas se servir de sa propre expérience, des événements qu'il a vécus et de ses sentiments pour leur élaboration. Il semble que pour lui, une œuvre d'art doive rester impersonnelle. Cette opinion d'Oscar Wilde va à contre-courant des opinions communes sur la littérature e...
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- Eugène IONESCO, Macbett (1972).
- D'après vous, le théâtre est-il un art populaire ?
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Toast funèbre
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Chateaubriand (Mémoires d'outre-tombe, première partie, livre troisième, I.)
En 1817, Chateaubriand connaît une période de déboires politiques et de gêne. Un soir d'été, au cours d'une promenade à la campagne, il est brusquement envahi par le souvenir de sa jeunesse, qui le ramènera à la rédaction des Mémoires d'outre-tombe interrompue depuis trois ans. Je fus tiré de mes réflexions par le gazouillement d'une grive perchée sur la plus haute branche d'un bouleau. A l'instant, ce son magique fit reparaître à mes yeux le domaine paternel. J'oubliais les catastrophes dont je...
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« Il n'y a point de fatalité dans le roman ; au contraire le sentiment qui y domine est d'une vie où tout est voulu, même les passions et les crimes, même les malheurs ». Partagez-vous ce point de vue ? Vous pouvez vous appuyer sur votre connaissance de l'Assommoir de Zola.
Introduction Jusqu'au milieu du XXe siècle, la lecture des romans apparaît comme une activité licencieuse. Ainsi, le roman dans la société moderne a pour fonction de traiter les interdits, sur un mode fictif, mais dont le discours se constituent en regard de la norme, vis-à-vis de laquelle elle joue le rôle de contrepoids. Dès lors, il convient de s'interroger sur un paradoxe essentiel qui touche le héros de roman, et par extension le lecteur : qu'appelle-t-on une « vie où tout est voulu », dans...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Toute la Flandre) - L'Escaut
- Claude-Joseph DORAT (1734-1780) - Le désir
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Tou Fou
Tou Fou Ayant un caractère peu ordinaire, j'aime follement les beaux vers ; Si une phrase ne frappe personne, je la travaillerai jusqu'à la mort ! (Tou Fou) Nul pays au monde ne possède une littérature aussi riche que la Chine. L'occidental qui en franchit le seuil en reste ébloui. Il a peine à croire à cette immensité, comparable seulement à celle de l'espace et du temps sur lesquels s'est édifiée la civilisation jaune. Or, de tous les genres littéraires pratiqués dans l'Empire du Milieu, aucu...
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- Jacques DELILLE (1738-1813) - Le coin du feu
- Jean RICHEPIN (1849-1926) (Recueil : La chanson des gueux) - La plainte du bois
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - A mademoiselle Louise B.
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes barbares) - Ultra coelos
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flambeaux noirs) - Le roc
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Henry Miller
Henry Miller Henry Miller est né à Yorkville, dans l'État de New York, sous le signe du Capricorne. Au bout de quelques mois, sa famille vint habiter Brooklyn, et il se considérera toujours comme un enfant de Brooklyn, un faubourien. Pendant dix ans il vivra comme il dit "dans la rue", la vie intense, joyeuse, anarchique qui était alors celle de ce quartier populaire et qu'il a évoquée avec verve et truculence dans Black Spring (1936). II notera plus tard que cet "ancien voisinage" est sa patrie...
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes tragiques) - Le calumet du Sachem
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Toute la Flandre) - Le ramasseur d'épaves
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- Antoine-Léonard THOMAS (1732-1785) - Ode sur le temps
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Nouvelles méditations poétiques) - Ischia
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Symphonie héroïque) - Le Fleuve
- Alfred de VIGNY (1797-1863) (Recueil : Les Destinées) - Les destinées
- Le cimetière marin - Poème de Paul Valéry
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - Pensée des morts
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - Pourquoi mon âme est-elle triste ?
- Poème sur le désastre de Lisbonne ou examen de cet axiome : "tout est bien"









