1149 résultats pour "l+homme+des+sorts"
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : L'homme intérieur) - Le temps n'a point pâli ta souveraine image
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : L'homme intérieur) - L'ambre, le seigle mûr, le miel plein de lumière
- Saint-Exupéry affirme dans « Citadelle » : « Une civilisation repose sur ce qui est exigé des hommes, non sur ce qui leur est fourni». Expliquez et appréciez cette idée.
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Pensez-vous, comme Antonin Artaud, que le théâtre, comme la peste, pousse les hommes à se voir tels qu'ils sont, qu'il fait tomber le masque [...] et découvre le mensonge, la veulerie, la tartuferie ?
Pensez-vous, comme Antonin Artaud, que le théâtre, comme la peste, pousse "les hommes à se voir tels qu'ils sont", qu'il " fait tomber le masque [...] et découvre le mensonge, la veulerie, la tartuferie"? Analyse du sujet et problématisation Ce sujet comporte plusieurs expressions au sens obscur, qu'il s'agit de définir. Dans cette citation Antonin Artaud compare le théâtre à la peste, c'est-à-dire à une maladie violente souvent synonyme de mort. Il évoque dans cette citation la fonction cathar...
- On constate fréquemment que tout régime autoritaire - dans la réalité ou dans les oeuvres d'imagination - s'illustre par la destruction de nombreux livres déclarés « dangereux », et par la mise au pas, l'exil ou l'emprisonnement. Que représente donc le livre pour qu'on le surveille de la sorte ?
- « Le principal avantage de mon art c'est qu'il rend capable de discerner à coup sûr si l'esprit du jeune homme enfante une chimère et une fausseté ou un fruit réel et vrai ? » Commentez ce propos de Socrate.
- Dans la préface de Cromwell (1827), Victor Hugo écrit : « le théâtre est un point d'optique : Tout ce qui existe dans le monde, dans l'histoire, dans la vie, dans l'homme ; tout doit et peut s'y réfléchir, mais sous la baguette magique de l'art » Vous commenterez et discuterez ces propos?
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Pour André Malraux, l'essentiel de l'émotion tragique, c'est la conscience simultanée de la servitude humaine et de l'indomptable aptitude des hommes à fonder leur grandeur sur elle. Vous illustrerez ce jugement à partir d'un oeuvre dramatique et d'un roman de Malraux que vous avez étudiés ?
i]écrivain, la littérature et l'art Pour André Malraux, l'essentiel de l'émotion tragique,
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- Pierre Magnan écrit au début de ses Mémoires : « Je vais descendre nu et cru dans la fosse aux hommes. Ils ne me feront pas quartier. [...] Mais c'est moi, d'abord, qui ne dois pas me faire quartier. » Dans quelle mesure ce propos peut-il définir l'entreprise autobiographique ? Vous en discuterez en vous appuyant sur les textes du corpus...
- L'intérêt des Mémoires, des confessions, des autobiographies, tient a ce que la vie de chaque homme devient ainsi un miroir où chacun peut s'étudier, dans une partie du moins de ses qualités ou de ses défauts », écrit Gérard de Nerval (Les Illuminés, 1852). Expliquez et commentez cette affirmation ?
- Commentez ce jugement de Philippe Van Tieghem: "Le surréalisme est foncièrement anti-mystique, puisque le mysticisme suppose un monde second et le transfert d'un monde à l'autre; la négation du mysticisme évite le déchirement de l'homme et rend l'individu cohérent dans un monde cohérent" ?
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«Les grands textes ne meurent pas parce qu'on n'a jamais fini de les approfondir : ils ne sont pas éternels, ils sont toujours actuels», écrit Jean Romain. Etes-vous de son avis ? Y a-t-il pour vous de «grands textes » (ou de grandes oeuvres dans d'autres domaines) que vous trouvez actuels, quel que soit leur âge ? Pouvez-vous expliquer d'où vient ce pouvoir de ne pas vieillir ?
Le 1 décembre 1999 Depuis longtemps des auteurs écrivent des oeuvres. Certaines demeurent dans l'oubli et d'autres renaissent sans cesse : elles sont relues, étudiées, et même adaptées au cinéma. Mais comment font ces oeuvres pour traverser les temps ? Comment font des textes comme ceux de Montaigne, Ronsard, Molière, Voltaire, Baudelaire, Chateaubriand ou Hugo pour persister ? Est-ce pour leur qualité de textes, le style ou encore leur thème ou les sujets traités ? « Si ne suis, bien le consid...
- Hippolyte Taine pensait que l'on pouvait comprendre un homme en analysant 3 de ses caractéristiques: la race, son milieu, le moment.( c'est à dire sa famille, son milieu social et géographique, et les cisconstances historiques de son existence). Ne pourrait-on voir là une définition de toute entreprise biographique ?
- Nul ne peut écrire la vie d'un homme que lui même. Sa manière d'être interieure sa véritable vie n'est connue que de lui; mais en l'écrivant, il l'a déguise ; il se montre comme il veut être vu, mais point du tout comme il est. Dans un développement composé vous commenterez et discuterez cette citation d'un écrivain cotemporain en prenant apuis sur les textes que vous avez étudié en classe et vos propres lectures ?
- À l'instar des romans idéalistes, le genre picaresque a lui aussi l'ambition de susciter à travers la multiplicité épisodique une idée abstraite et inattendue de l'univers qui est celle de la séparation radicale entre l'homme incapable de s'élever jusqu'à la hauteur de la norme morale et son milieu ambiant ?
- « Il n'y a qu'un classe dangereuse, c'est celle des intellectuels, c'est-à-dire des gens qui possèdent un instrument pour lequel il n'y a pas emploi. » Après avoir expliqué en quoi l'homme de lettres et l'écrivain peuvent être « dangereux » pour la société, vous direz si selon vous le danger qu'ils représentent est toujours nuisible ou peut être nécessaire ?
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- Nul ne peut écrire la vie d'un homme que lui même. Sa manière d'être intérieure sa véritable vie n'est connue que de lui; mais en l'écrivant, il l'a déguise ; il se montre comme il veut être vu, mais point du tout comme il est. Dans un développement composé, vous commenterez et discuterez cette citation d'un écrivain contemporain en prenant appuis sur les textes que vous avez étudiés en classe et vos propres lectures ?
- Biographie du Marquis de SADE
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« Tout est dit et l'on vient trop tard depuis plus de sept mille ans qu'il y a des hommes et qui pensent. » c'est ce qu'écrit La Bruyère au début du premier chapitre des Caractères. Pensez-vous qu'aujourd'hui encore les jeunes générations se heurtent à ce même problème pour créer à leur tour des oeuvres littéraires et artistiques ?
La Bruyère était classique : partisan résolu des anciens, il était persuadé qu'ils ont tout dit sur la nature humaine. De plus, il venait après Pascal et La Rochefoucauld. De là cette affirmation modeste au début des Caractères : « Tout est dit... » I. Cette pensée s'explique par la théorie classique. 1. L'homme, en son fond, ne change guère. Les analyses des anciens moralistes restent toujours aussi vraies, parce qu'ils se sont attachés surtout à ce qu'il y a en nous d'éternel et de permanent....
- « Tout homme qui sait lire a en lui le pouvoir de se magnifier, de multiplier ses modes d'existence, de rendre sa vie pleine, intéressante et significative. » Aldous Huxley. Vous commenterez cette phrase en illustrant vos idées par des exemples.
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Les humbles) - Petits bourgeois
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Le thème de tout roman, c'est le conflit d'un personnage romanesque avec des choses et des hommes qu'il découvre en perspective à mesure qu'il avance, qu'il connaît d'abord mal et qu'il comprend jamais tout à fait. Commentez cette pensée d'Alain ?
I Tout roman est initiatique _Le roman est en soi narration, c'est-à-dire qu'il est le récit créé par le regard d'un personnage, assimilable ou non à l'auteur, porté sur un monde réel ou fictif. De ce point de vue, l'aspect conflictuel du personnage avec les choses et les hommes s'avère être une véritable nécessité. L'Education sentimentale de Flaubert représente de ce point de vue un cas limite, puisque la particularité de son héros, Frédéric Moreau, est se trouver systématiquement extérieur au...
- Un critique écrit au sujet des Confessions : « On y voit, plus que l'autoportrait d'un homme tourmenté, le récit rétrospectif d'une destinée malheureuse, tracé par un écrivain pathétique à force de crier son excellent naturel, malade de ses contradictions, avide de s'attirer la sympathie du lecteur ». Commentez cette réflexion d'après votre lecture des quatre premiers livres des Confessions de Rousseau ?
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La Guerre de Troie n'aura pas lieu, acte I, scène 6 (Jean Giraudoux)
Cette pièce de théâtre écrite en 1935 pendant l'entre-deux-guerres par Giraudoux est l'expression du questionnement sur les motivations de la nouvelle guerre qui se prépare. La Guerre de Troie n'aura pas lieu est en effet un texte qui aborde à travers cet épisode mythique le thème de la fatalité de la guerre et de la responsabilité des hommes dans cet accomplissement tragique. Il s'agit en effet d'une remise en cause des fondements de la guerre. Cet extrait en particulier cherche à en montrer le...
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Quelles sont les conditions qui font qu’un élève peut se produire à la sortie de l’école d’une façon convenable ?
QUESTIONS Quelles sont les conditions qui font qu’un élève peut se produire à la sortie de l’école d’une façon convenable ? Cause matérielle : on produit l’élève à partir d’un certain matériau : - le savoir exemples : apprendre à faire des résumés, connaître le règne de Louis XIV => Tous les savoirs ne se travaillent pas de la même manière, on peut faire des distinctions. Certains savoirs ne se construisent pas, certains sont plus élaborés (« construire son savoir » dépend de la natu...
- Un critique contemporain affirme : La comédie vit des changements de rythme, du hasard, et de l'invention dramaturgique et scénique. Cela ne signifie pas toutefois que la comédie bafoue toujours l'ordre et les valeurs de la société où elle opère. Analysez et commentez ces propos en vous appuyant sur Casina ou les tireurs de sort de Plaute, Les Fourberies de Scapin de Molière, et Arlequin serviteur de deux maîtres de Goldoni. ?
- Que pensez-vous de cette condamnation portée par Marcel Aymé contre le romantisme: La grande habileté du romantisme, qui est aussi son crime et son abjection, a été de solliciter les régions mineures de l'humanité, de flatter les faibles dans leurs faiblesses. Alors que les classiques s'adressaient à l'homme, à sa raison, à sa conscience virile, la nouvelle école se tournait aux femmes, aux adolescents et visait leur sensiblerie, leur système nerveux. ?
- André Malraux écrit, à propos du mythe d'oedipe, que l'essentiel de l'émotion tragique « c'est la conscience simultanée de la servitude humaine et de l'indomptable aptitude des hommes à fonder leur grandeur sur elle ». Vous apprécierez ce jugement sur quelques exemples pris notamment dans le théâtre français.
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - Quelle est la fin de tout ?
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Dans La Religieuse "Diderot se livre à ce qu'il nomme lui-même une effroyable satire des couvents, mais cette volonté polémique ne vaudrait que pour l'anecdote s'il n'y développait une véritable méditation sur les méfaits de la solitude et sur les effets pervers de la violence que l'homme exerce contre la nature et contre lui-même- spirituellement par le fanatisme, physiquement par la répression systématique des besoins du corps". Dans quelle mesure ce propos de Pierre Lepape (Diderot,
S'il y a bien une idée essentielle du siècle des Lumières, et qui trouve sa source chez Erasme, c'est celle de l'anthropocentrisme. La société féodale et monarchique considérait, selon l'enseignement de l'Eglise catholique, que l'homme est certes la créature la plus parfaite de la création car possédant une âme spirituelle, et qui utilise sa raison pour s'élever au dessus des réalités matérielles. Cette raison est essentiellement naturelle, elle appartient par nature à l'homme à la différence de...
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Dans le journal d'un poète, en 1836, Alfred de Vigny écrivait: Le drame est vrai puisque, dans une action tantôt comique, tantôt tragique, suivant les caractères, il finit avec tristesse comme la vie des hommes puissants de caractère, énergiques de passion. Le drame n'a été appelé bâtard que parce qu'il n'est ni comédie ni tragédie. [...] Mais les vivants sont ainsi. Vous expliquerez cette opinion en l'illustrant à partir des drames romantiques que vous connaissez ?
Stùets traités Dans le Joumol d'uu jJoèlt, en 18.'36, Alrred de Vigny écri,·ait :
- En 1898, après les premières représentations de Lorenzaccio, Jules Lemaître écrivait : « Le personnage de Lorenzaccio est aussi riche de signification qu'un Faust ou qu'un Hamlet ; comme eux, il figure dans une fable particulière, l'homme, l'éternel inquiet et l'éternel déçu, sous un de ses plus larges aspects. Et ce personnage est une créature vivante, il est de chair, de sang, de nerfs et de bile. » Vous commenterez ce jugement en vous appuyant notamment sur les théories romantiques
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- « L'eau permet au Grand Siècle de se contempler tout entier et sous toutes ses facettes, géomètre et baroque, passionné d'ordre et de méthode tout autant que de surprises et d'illusions, mystiques aussi bien qu'affamé de jeu et de plaisirs » Orsenna. Vous montrerez la pertinence de cette réflexion d'Érik Orsenna tirée de son Portrait d'un homme heureux (2000) en vous fondant sur les textes, documents étudiés, ainsi que votre culture personnelle ?
- Montherlant écrit dans ses Notes de Théâtre (Théâtre, Bibliothèque de la Pléiade, p. 1075) : « Une pièce de théâtre ne m'intéresse que si l'action extérieure, réduite à la plus grande simplicité, n'y est qu'un prétexte à l'exploration de l'homme; si l'auteur s'y est donné pour tâche non d'imaginer et de construire mécaniquement une intrigue, mais d'exprimer avec le maximum de vérité, d'intensité et de profondeur un certain nombre de mouvements de l'âme humaine. » Expliquez et discutez
- Ionesco remet en cause la distinction traditionnelle entre le comique et le tragique : j'ai intitulé mes comédies antipièces, drames comiques, et mes drames pseudodrames ou farces tragiques, car, me semble-t-il, le comique est tragique, et la tragédie de l'homme est dérisoire. En vous appuyant sur votre lecture de Dom Juan, de Tartuffe, et des textes de corpus (Beckett, Büchner, Koltes) et de toute autre texte théâtral pertinent vous pourrez expliquer, commenter et éventuellement discu
- Quelques soient les méthodes utilisées, le Narrateur s'assignera pour mission de traduire la séparation entre la conscience de soi et la conscience du monde (mais aussi leurs interférences) ainsi que l'activité immédiate de la vie mentale. Il devra faire en sorte que le monologue soit un mode de relation entre le héros et le monde, et de communication entre le héros et le lecteur. Michel Zéraffa, La Révolution romanesque, 1969. En quoi cette citation semble rendre compte de Combray et
- Si l'essentiel pour un homme consiste à réduire au minimum sa part de comédie, convenons que Chateaubriand est loin du compte. Une demi-douzaine d'emplois variés donnent à plus d'un endroit au soliloque des Mémoires un aspect de numéro à transformation dont la vivacité, le rendu allègre, le clin d'oeil inimitable au spectateur sont presque ceux de la comédie italienne Votre lecture des Mémoires d'outre tombe vous conduit elle à partager ce jugement de Julien Gracq ?
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En janvier 1976, lors de la parution de son roman La Vazlse aux Adieux, l'écrivain tchèque Milan Kundera déclarait: Dans la vie, l'homme est continuellement coupé de son propre passé et de celui de l'humanité. Le roman permet de soigner cette blessure. L'opinion de Kundera sur la fonction de l'oeuvre romanesque rejoint-elle votre expérience de lecteur ?
PLAN ADOPTÉ DANS LE DEVOIR I. Le roman permet de retrouver le temps perdu et de redonner à l'homme la conscience d'une unité L'homme en quête de son passé À la recherche du temps perdu : roman et autobiographie À la recherche du temps perdu : roman et histoire IL L'écriture romanesque et la recomposition du passé Procédés de composition : linéarité, totalisation, extension La fiction d'une continuité de la vie Le passé ressuscité à travers des destins individuels Contamination du passé et du pré...
- « Si un homme n'a jamais lu les bons auteurs, les livres qui bouleversent les coeurs et les intelligences de millions de lecteurs, s'il ne peut réciter une ou deux douzaines de vers de son poète favori - n'en aurait-il qu'un - celui-là est condamné à l'indigence spirituelle, à vivre à « mi-coeur » ; il se prive d ; il se prive dune part immense des joies que procure la connaissance du beau ». Lev Kassil, le Courrier de l'Unesco, février 1968. Vous vous interrogerez sur ce jugement en v
- L'écrivain Cocteau (1889-1963) définit ainsi la poésie : « L'espace d'un éclair nous voyons un chien, un fiacre, une maison pour la première fois. Voilà le rôle de la poésie. Elle dévoile dans toute la force du terme. Elle montre nues, sous une lumière qui secoue la torpeur, les choses surprenantes qui nous environnent et que nos sens enregistraient machinalement. Mettez un lieu commun en place, nettoyez- le, frottez-le,éclairez-le de telle sorte qu'il frappe avec sa jeunesse et la ave
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- Expliquez et discutez la conception de l'art dramatique qui apparaît dans les lignes suivantes : « Quoi! Vous ne concevez pas l'effet que produiraient sur vous une scène réelle, des habits» vrais, des discours proportionnés aux actions, des actions simples, des dangers dont il est impossible que vous n'ayez tremblé pour vos parents, vos amis, pour vous-même? Un renversement de fortune, la crainte de l'ignominie, les suites de la misère, une passion qui conduit l'homme à sa ruine, de sa
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"L'idée de la mort est le ressort des lois, la mère des religions, l'agent secret ou terriblement manifeste de la politique, l'excitant essentiel de la gloire et des grandes amours, - l'origine d'une quantité de recherches et de méditations." (Valéry)
La condition mortelle de l'homme et la conscience qu'il en a l'invitent à repousser ces limites, ces entraves à son action. L'idée de mort, parce qu'elle est inexorable et représente un mystère insondable, ne déclenche pas un réflexe d'impuissance chez l'homme mais explique au contraire la plupart de ses activités. Ainsi Valéry, préfaçant le livre de James Frazer La Peur des morts écrit : « L'idée de la mort est le ressort des lois, la mère des religions, l'agent secret ou terriblement manifeste...
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Second livre des Amours) - Marie, que je sers en trop cruel destin
- Victor SEGALEN (1878-1919) (Recueil : Stèles) - Eloge d'une vierge occidentale
- Paul Éluard : « Dit de la force de l'amour »
- Jean RICHEPIN (1849-1926) (Recueil : La chanson des gueux) - Epitaphe pour n'importe qui
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Les enseignements de Gide
Gide, André (1869-1951) Ecrivain français influencé à ses débuts par les symbolistes. Communiste, il lutte contre le fascisme et rejoint le général de Gaulle en 1943 à Londres. Il crée la Nouvelle Revue française en 1909 et reçoit le prix Nobel de littérature en 1947. La quête de soi Réagissant d'abord contre son éducation puritaine, comme en témoignent la Porte étroite et la Symphonie pastorale, il se libère en 1897 dans les Nourritures terrestres, manifestant son goût pour la vie. Sans cesse e...
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : La bonne chanson) - Le soleil du matin doucement chauffe et dore
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- Alfred de Musset, Les Caprices de Marianne
- Paul SCARRON (1610-1660) - Epistre burlesque à Madame de Bourron