24 résultats pour "tristesses"
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Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - Tristesse
Introduction. Le sonnet Tristesse a été découvert un matin de l'année 1840 par un ami de Musset, Alfred Tattet, sur la table de chevet du poète, qui avait hâtivement crayonné ces vers sur le papier pendant une insomnie. On ne saurait trouver un témoignage plus direct et plus émouvant sur son âme douloureuse que cette confidence à peine murmurée en une heure d'abattement. Le poème. Premier quatrain. Quelques mots très simples désignent les biens que le poète déprimé pense avoir définitivement per...
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Les dimanches : tant de tristesse et tant de cloches
- Claude MALLEVILLE (1596-1647) - Philis, les yeux en pleurs et le coeur en tristesse
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - La tristesse
- Charles d' ORLEANS (1394-1465) (Recueil : Ballades) - En la forest d'Ennuyeuse Tristesse
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Tristesse d'été
- Éphraïm MIKHAËL (1866-1890) - Tristesse de septembre
- Jacques MILET (1428-1466) - La Forêt de Tristesse
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- Élise GAGNE, née Moreau de Rus (1813-x) - Tristesse
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Montesquieu confie dans ses Cahiers : « l'étude a été pour moi le souverain remède contre les dégoûts, n'ayant jamais eu de chagrin qu'une heure de lecture ne m'ait ôté ». qu'en pensez-vous ? Quel rôle assignez-vous vous-même à la lecture dans votre vie d'adolescent d'aujourd'hui (divertissement, enrichissement moral, intellectuel...) ?
Montesquieu était l'homme le plus équilibré qui fût jamais. C'était un intellectuel, comme nous dirions maintenant, non un sentimental, ni un passionné. Et comme il commence par nous déclarer : Je n'ai jamais eu de chagrin, encore moins d'ennui, nous ne nous étonnons pas de l'entendre dire : L'étude a toujours été pour moi.... N'allons pas croire, cependant, que cette pensée ne nous révèle qu'un trait de caractère. I. Sens précis des mots. Au lieu de nous récrier sur le manque de coeur et la séc...
- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Tristesses de la lune
- Emile NELLIGAN (1879-1941) (Recueil : Motifs poétiques) - Tristesse blanche
- Anna de NOAILLES (1876-1933) (Recueil : Le coeur innombrable) - La tristesse dans le parc
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Poésies inédites) - Tristesse
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Nouvelles méditations poétiques) - Tristesse
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : Emaux et camées) - Tristesse en mer
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- Jean RICHEPIN (1849-1926) (Recueil : La chanson des gueux) - Tristesse des bêtes
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes barbares) - La tristesse du diable
- Commentez, en vous appuyant sur le texte des « Pensées », cette réflexion de Chateaubriand : « Les sentiments de Pascal sont remarquables surtout par la profondeur de leur tristesse et par je ne sais quelle immensité. »
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Dans le journal d'un poète, en 1836, Alfred de Vigny écrivait: Le drame est vrai puisque, dans une action tantôt comique, tantôt tragique, suivant les caractères, il finit avec tristesse comme la vie des hommes puissants de caractère, énergiques de passion. Le drame n'a été appelé bâtard que parce qu'il n'est ni comédie ni tragédie. [...] Mais les vivants sont ainsi. Vous expliquerez cette opinion en l'illustrant à partir des drames romantiques que vous connaissez ?
Stùets traités Dans le Joumol d'uu jJoèlt, en 18.'36, Alrred de Vigny écri,·ait :
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Chateaubriand (Mémoires d'outre-tombe, première partie, livre troisième, I.)
En 1817, Chateaubriand connaît une période de déboires politiques et de gêne. Un soir d'été, au cours d'une promenade à la campagne, il est brusquement envahi par le souvenir de sa jeunesse, qui le ramènera à la rédaction des Mémoires d'outre-tombe interrompue depuis trois ans. Je fus tiré de mes réflexions par le gazouillement d'une grive perchée sur la plus haute branche d'un bouleau. A l'instant, ce son magique fit reparaître à mes yeux le domaine paternel. J'oubliais les catastrophes dont je...
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Commentez, en vous appuyant sur le texte des « Pensées », cette réflexion de Chateaubriand : « Les sentiments de Pascal sont remarquables surtout par la profondeur de leur tristesse et par je ne sais quelle immensité. » ?
INTRODUCTION Les philosophes du XV IIIe siècle réagirent parfois violemment contre Pascal. V oltaire réfuta ses thèses, et le présenta comme un ennemi du bonheur humain. On ne songe plus guère aujourd'hui à lui adresser ce reproche : depuis le Romantisme, les lecteurs apprécient davantage le pessimisme des Pensées, et beaucoup pourraient prendre à leur compte cette remarque de C hateaubriand dans le Génie du C hristianisme : « Les sentiments de Pascal sont remarquables surtout par la profondeur...
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Flaubert, Madame Bovary, I, 9.
Le Bovarysme, se définissant comme une évasion dans l’imaginaire par insatisfaction, doit son nom à l’héroïne Flaubertienne de Madame Bovary, Emma Bovary. Le roman est, en effet, centré sur un personnage qui tente d’échapper à l’ennui et la médiocrité de son mariage en cédant à la rêverie et à la construction fantasmée d’un monde romantique. L’extrait présente la description d’une scène musicale qu’Emma Bovary observe depuis « les vitres de la salle ». A l’image de cette séparation concrète entr...
- « À peine défigurée » - Poème de Paul Eluard