Résultats pour "tristesse"
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Les dimanches : tant de tristesse et tant de cloches
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - La tristesse
- Charles d' ORLEANS (1394-1465) (Recueil : Ballades) - En la forest d'Ennuyeuse Tristesse
- Claude MALLEVILLE (1596-1647) - Philis, les yeux en pleurs et le coeur en tristesse
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Tristesse d'été
- Éphraïm MIKHAËL (1866-1890) - Tristesse de septembre
- Jacques MILET (1428-1466) - La Forêt de Tristesse
- Élise GAGNE, née Moreau de Rus (1813-x) - Tristesse
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Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - Tristesse
Introduction. Le sonnet Tristesse a été découvert un matin de l'année 1840 par un ami de Musset, Alfred Tattet, sur la table de chevet du poète, qui avait hâtivement crayonné ces vers sur le papier pendant une insomnie. On ne saurait trouver un témoignage plus direct et plus émouvant sur son âme douloureuse que cette confidence à peine murmurée en une heure d'abattement. Le poème. Premier quatrain. Quelques mots très simples désignent les biens que le poète déprimé pense avoir définitivement per...
- Emile NELLIGAN (1879-1941) (Recueil : Motifs poétiques) - Tristesse blanche
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Poésies inédites) - Tristesse
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Nouvelles méditations poétiques) - Tristesse
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : Emaux et camées) - Tristesse en mer
- Jean RICHEPIN (1849-1926) (Recueil : La chanson des gueux) - Tristesse des bêtes
- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Tristesses de la lune
- Anna de NOAILLES (1876-1933) (Recueil : Le coeur innombrable) - La tristesse dans le parc
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes barbares) - La tristesse du diable
- Commentez, en vous appuyant sur le texte des « Pensées », cette réflexion de Chateaubriand : « Les sentiments de Pascal sont remarquables surtout par la profondeur de leur tristesse et par je ne sais quelle immensité. »
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Dans le journal d'un poète, en 1836, Alfred de Vigny écrivait: Le drame est vrai puisque, dans une action tantôt comique, tantôt tragique, suivant les caractères, il finit avec tristesse comme la vie des hommes puissants de caractère, énergiques de passion. Le drame n'a été appelé bâtard que parce qu'il n'est ni comédie ni tragédie. [...] Mais les vivants sont ainsi. Vous expliquerez cette opinion en l'illustrant à partir des drames romantiques que vous connaissez ?
Stùets traités Dans le Joumol d'uu jJoèlt, en 18.'36, Alrred de Vigny écri,·ait :