51 résultats pour "silence"
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dans le silence et dans le soir de la maison
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Au jardin de l'infante) - Silence !...
- Rainer Maria RILKE (1875-1926) (Recueil : Vergers) - Le silence uni de l'hiver
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les solitudes) - Silence et nuit des bois
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villages illusoires) - Le silence
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Ah ! Vous êtes mes soeurs, les âmes qui vivez
- Jules VERNE (1828-1905) - Le silence dans une église
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dimanche : un pâle ennui d'âme, un désoeuvrement
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- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Ô ville, toi ma soeur à qui je suis pareil
- « AUSSI BAS QUE LE SILENCE » - Poème de Paul Eluard
- Emile NELLIGAN (1879-1941) (Recueil : Premiers poèmes) - Quelqu'un pleure dans le silence
- Claude MALLEVILLE (1596-1647) - Le silence régnait sur la terre et sur l'onde
- « L'écrivain est en situation dans son époque : chaque parole a des retentissements. Chaque silence aussi. » Commentez cette phrase de Sartre.
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les vaines tendresses) - Silence
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Douceur du soir !...
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Les cygnes blancs...
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- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dans l'air fraîchi, venant d'où...
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Bon chevalier masqué qui chevauche en silence
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - L'hostie est comme un clair de lune dans l'église
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Songeur, dans de beaux rêves t'absorbant
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Quand le soir est tombé dans la chambre quiète
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Un silence se fit dans le déclin du jour
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Ô neige, toi la douce endormeuse des bruits
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dans l'angle obscur de la chambre, le piano
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- Siméon-Guillaume de LA ROQUE (1551-1611) (Recueil : Amours de Phyllis) - Or que la nuit et le silence
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Les canaux somnolents entre les quais de pierre
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Les dimanches : tant de tristesse et tant de cloches
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - On aura beau s'abstraire en de calmes maisons
- Marin Le Roy de GOMBERVILLE (1600-1674) (Recueil : Second livre des Delices de la Poesie françoise) - Effroyables deserts, pleins d'ombre, et de silence
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BECKETT - En attendant Godot (Estragon et Vladimir)
[Dans cette pièce, qui fut vite célèbre, Beckett a voulu exprimer l'attente indéfinie,- l'espérance sans cesse déçue, et toutes les angoisses de la condition humaine.] Estragon. — En attendant essayons de converser sans nous exalter, puisque nous sommes incapables de nous taire. Vladimir. — C'est vrai, nous sommes intarissables. Estragon. — C'est pour ne pas penser. Vladimir. — Nous avons des excuses. Estragon. — C'est pour ne pas entendre. Vladimir. — Nous avons nos raisons. Estragon. — Tou...
- VERCORS « L'impuissance», in Le Silence de la mer.
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - En province
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- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Le silence déjà funèbre d'une moire
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Les chambres, dans le soir
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Il flotte une musique éteinte...
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Des cloches, j'en ai su qui cheminaient sans bruit
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dans l'étang d'un grand coeur...
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - L'obscurité, dans les chambres, le soir...
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Les miroirs, par les jours abrégés des décembres
- Vous vous préparez à écrire votre autobiographie. Vous vous interrogez sur vos souvenirs d'enfance, sur les choix que vous ferez parmi eux, sur les anecdotes que vous raconterez ou passerez sous silence. Comme Nathalie Sarraute, vous dialoguez avec vous-même ?
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- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - La ville est morte, morte, irréparablement
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Quand on rentre chez soi, délivré de la rue
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Seuls les rideaux, tandis que la chambre est obscure
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - En des quartiers déserts de couvents et d'hospices
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Le miroir est l'amour, l'âme-soeur de la chambre
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Mon âme, tout ce long et triste après-midi
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Les pièces d'eau, songeant dans les parcs taciturnes
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Si tristes les vieux quais bordés d'acacias
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- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dans quelque ville morte, au bord de l'eau
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Tel soir fané, telle heure éphémère suscite