42 résultats pour "sagesse"
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Sagesse d'un Louis Racine, je t'envie !
- Voltaire, MEMNON, ou LA SAGESSE HUMAINE.
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Paul VERLAINE (1844-1896) - Recueil : Sagesse
DISSERTATION RÉDIGÉE On peut emprisonner les oiseaux, opposer à leur soif de liberté les barreaux d'une cage, les oiseaux chantent toujours. Seulement, leur chant se fait plainte, appel, sanglot. Leurs ailes frémissent, se heurtent au fer de la cage et si leur ivresse de ciel se délivre, leur corps se meurtrit sans cesse. Us ne peuvent ' plus que contempler le triste filet de sang qui coule de leurs ailes déchirées. Verlaine est de ces oiseaux perpétuellement en quête de bonheur (d'un bonheur qu...
- La Fontaine (1621-1695), Fables, IX, 8 « Le Fou qui vend la sagesse »
- Voltaire, MEMNON, ou LA SAGESSE HUMAINE.
- Voltaire, MEMNON, ou LA SAGESSE HUMAINE.
- Verlaine - Sagesse: Le son du cor s'afflige vers les bois...
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Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - L'échelonnement des haies
Paul Verlaine, Sagesse, III, « L'échelonnement des haies », 1881. 1. L'échelonnement des haies 2. Moutonne à l'infini, mer 3. Claire dans le brouillard clair 4. Qui sent bon les jeunes baies. 5. Des arbres et des moulins 6. Sont légers sur le vert tendre 7. Où vient s'ébattre et s'étendre 8. L'agilité des poulains. 9. Dans ce vague d'un Dimanche 10. Voici se jouer aussi 11. De grandes brebis aussi 12. Douces que leur laine blanche. 13. Tout à l'heure déferlait 14. L'onde, roulée en volutes(1),...
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Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - L'immensité de l'humanité
Commentaire composé du poème de Verlaine : « L’immensité de l’humanité » Introduction : Ce poème est extrait du recueil Sagesse que Paul Verlaine publia en 1881 à sa sortie de prison. Ce recueil expose la double conversion morale et mystique du poète à sa sortie de prison. Il s’agit d’un poème très court de trois quatrains et très composé, décrivant l’humanité depuis une position surplombante. Verlaine semble y faire un état des lieux voire y dresser le bilan de l’humanité. Projet de lecture : E...
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Nouvelles méditations poétiques) - La sagesse
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Je ne veux plus aimer que ma mère Marie
- Alain, Minerve ou de la sagesse.
- Voltaire, MEMNON, ou LA SAGESSE HUMAINE.
- Voltaire, MEMNON, ou LA SAGESSE HUMAINE.
- Gilles CORROZET (1510-1568) - Sagesse requise au prince
- Etienne FORCADEL (1518-1573) (Recueil : Epigrammes) - De la vraie sagesse
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- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - On n'offense que Dieu ...
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Un grand sommeil noir
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Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Le ciel est par-dessus le toit
Introduction Le commentaire que Verlaine donne de son propre poème a le premier mérite de nous renseigner sur les circonstances dans lesquelles ce poème a été écrit. L'auteur se trouve dans une cellule de la prison de Mons, où il a été incarcéré après avoir blessé d'un coup de revolver son ami Rimbaud. Le commentaire nous détaille les éléments du paysage que Verlaine pouvait voir de la fenêtre de sa cellule. De ces éléments, seuls figurent dans le poème ceux qui sont propres à nourrir le sentime...
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Je suis venu, calme orphelin
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - La mer est plus belle
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - L'ennemi se déguise en l'Ennui
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Les chères mains qui furent miennes
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - La bise se rue à travers
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- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Les faux beaux jours...
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Pourquoi triste, ô mon âme
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Parfums, couleurs, systèmes, lois !
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Né l'enfant des grandes villes
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Et j'ai revu l'enfant unique : il m'a semblé
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Non. Il fut gallican, ce siècle, et janséniste !
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Ecoutez la chanson bien douce
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Bon chevalier masqué qui chevauche en silence
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- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Va ton chemin sans plus t'inquiéter
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Vous êtes calme, vous voulez un voeu discret
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Odes funambulesques) - Ballade de la vraie sagesse
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Ô mon Dieu, vous m'avez blessé d'amour
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - L'espoir luit comme un brin de paille dans l'étable
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Ô vous, comme un qui boite au loin, Chagrins et Joies
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Beauté des femmes, leur faiblesse, et ces mains pâles
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Tournez, tournez, bons chevaux de bois
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- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Voix de l'Orgueil : un cri puissant comme d'un cor
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Confucius
Confucius K'ong Tseu (Confucius) était le fils d'une famille noble appauvrie vivant dans la principauté de Lou au Chantoung. Il abandonne sa fonction de conseiller auprès du Prince de Lou quand celui-ci cède aux ruses d'un prince rival. Puis, pendant treize ans, il erre de principauté en principauté à la recherche d'un souverain digne de ce nom, qui pourrait faire appel à ses services. Trois ans avant sa mort, il rentre à Lou, s'adonne à des travaux littéraires et à l'enseignement de ses discip...