29 résultats pour "peine"
- Le vicomte de BLOSSEVILLE (x-1480) - C'est grand peine que de vivre
- Hector de SAINT-DENYS GARNEAU (1912-1943) (Recueil : Les solitudes) - Ah ! ce n'est pas la peine...
- Béroalde de VERVILLE (1556-1626) - De feu, d'horreur, de mort, de peine, de ruine
- Théophile de VIAU (1590-1626) - Cruelle, à quel propos prolonges-tu ma peine
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Si par peine et sueur et par fidélité
- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - Heureuse est la peine
- Guillaume DES AUTELZ (1529-1581) (Recueil : Suite du Repos de l'autheur) - De sa juste amour et estrange peine
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chansons des rues et des bois) - Je ne me mets pas en peine
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- Etienne de LA BOETIE (1530-1563) (Recueil : Vingt neuf sonnetz) - Lors que lasse est de me lasser ma peine
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Vous illustrerez par l'étude d'une tragédie de Racine cette définition que La Bruyère donne du poème tragique : « Le poème tragique vous serre le coeur dès son commencement, vous laisse à peine dans tout son progrès la liberté de respirer et de vous remettre ; ou s'il vous donne quelque relâche, c'est pour vous replonger dans de nouveaux abîmes, dans de nouvelles alarmes. Il vous conduit à la terreur par la pitié ou, réciproquement, à la pitié par la terreur, vous mène par les larmes,
INTRODUCTION La valeur d'une pièce de théâtre se mesure d'abord à l'emprise qu'elle exerce sur les spectateurs. D'emblée elle doit susciter leur intérêt à l'égard des personnages et des problèmes auxquels ils se heurtent. Et au cours du déroulement de la représentation, cet intérêt doit aller grandissant jusqu'au dénouement. La tragédie de Phèdre répond pleinement à ces exigences. Dès le premier acte, elle nous émeut par l'évocation du drame intérieur d'Hippolyte et de Phèdre. Elle ne nous fait...
- « À peine défigurée » - Poème de Paul Eluard
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Je me souviens de la bohème - Francis CARCO
Nous allons commenter un poème de Francis Carco, dans lequel nous voyons apparaître certains thèmes comme celui de l'amour et celui du temps qui ont déjà été traités auparavant par des poètes comme Ronsard et notamment par les romantiques : Lamartine, Vigny, Musset, etc. Ce qui fait l'originalité de ce poème, c'est surtout la manière dont sont présentés ces thèmes, c'est-à-dire d'une façon très discrète et surtout très simple ; on est loin en effet des longs thèmes en alexandrins de poètes comme...
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Jean de SPONDE (1557-1595) - Je contemplais un jour le dormant de ce fleuve
Jean de SPONDE, « Je contemplais un jour le dormant de ce fleuve ». Je contemplais un jour le dormant de ce fleuve Qui traîne lentement les ondes dans la mer, Sans que les Aquilons le fassent écumer Ni bondir, ravageur, sur les bords qu'il abreuve. Et contemplant le cours de ces maux que j'épreuve, Ce fleuve, dis-je alors, ne sait que c'est d'aimer ; Si quelque flamme eût pu ses glaces allumer, Il trouverait l'amour ainsi que je le treuve. S'il le sentait si bien, il aurait plus de flots, L'Amou...
- Auguste VILLIERS DE L'ISLE-ADAM, Le réalisme dans la peine de mort.
- Donner 5 raisons d'être pour la peine de mort & 5 raisons d'être contre la peine de mort.
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Odes politiques) - Contre la peine de mort
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En quoi la littérature peut-elle favoriser le progrès social ?
Sujet : En quoi la littérature peut-elle favoriser le progrès social ? Discussion : la question porte sur le problème de l' »utilité » d e la littérature : doit-elle être définie comme un art d'agrément, un divertissement, ou peut-on considérer qu'elle joue un rôle politique et social, qui contribuerait à l'avancée de la réflexion et de la compréhension ? Suggestion de plan : Première partie : La littérature, un instrument de la prise de conscience Historiquement, la littérature a joué un rôle q...
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Molière, L'École des femmes, Acte III, scène 4
Sujet: Molière, L'École des femmes, Acte III, scène 4 L’École des femmes (comédie en 5 actes) est l’une des rares pièces de Molière qui s’ancre dans la réalité de son époque. En effet, il s’agit d’une œuvre où évoluent des personnages qui apparaissent comme ses contemporains. Comme dans nombreuses de ses pièces, Molière y glisse une leçon de vie. HORACE lit. « Je veux vous écrire, et je suis bien plus en peine par où je m'y prendrai. J'ai des pensées que je désirerais que vous sussiez ; mais je...
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FRANÇOIS VILLON
C'est sous le nom de François de Montcorbier ou de François des Loges que paraît, en 1449, dans les registres de l'université de Paris, le nom d'un jeune homme, reçu bachelier à la faculté des arts. Il a alors dix-huit ans. Rixes et vols l'obligent à quitter Paris, en 1455. La lettre de rémission, qui lui permet de revenir à Paris, précise cette fois à son propos : “ Maître François des Loges autrement dit Villon ”. Ce maître-là, qui a pris le nom de son professeur, Guillaume Villon, vole cinq c...
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Commentez cette affirmation de Georges Duhamel : « La civilisation est dans le coeur de l'homme, ou bien elle n'est nulle part ».
INTRODUCTION L'histoire de l'humanité nous présente, au cours des siècles et à travers l'espace, des modes de vie sociale très divers. Nos contemporains, citoyens des « grandes nations » ont le sentiment d'appartenir à une époque de haute civilisation lorsqu'ils considèrent les structures de leurs collectivités et les réalisations de la technique et de la science. Ces aspects du monde moderne suffisent-ils pourtant à fonder chez les individus un épanouissement supérieur sans lequel il est vain d...
- Pierre Augustin Caron de BEAUMARCHAIS (1732-1799) - Romance de Chérubin
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Que pensez-vous de cette réflexion de d'Alembert (Réflexions sur la poésie) : « Quand on prend la peine de lire des vers, on cherche et on espère un plaisir de plus que si on lisait de la prose » ?
INTRODUCTION Les recueils de poèmes ne rencontrent pas de nos jours, en librairie, le même succès que les romans ou même les ouvrages historiques. Toute une partie du public demeure fermée au charme des vers, et cette méconnaissance n'est pas le propre de notre temps : au XV IIIe siècle, les milieux cultivés n'étaient favorables qu'à la prose ; pourtant d'A lembert écrivait dans ses Réflexions sur la poésie : « Quand on prend la peine de lire des vers, on cherche et on espère un plaisir de plus...
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Elégie à Janet, peintre du roi
- Robert BADINTER, « Discours à l'Assemblée Nationale » 17 septembre 1981.
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- Corneille, le Cid, acte I, scène 6
- Pierre CORNEILLE, Le Cid, (1637), acte I, scène 4.
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Élégies) - Élégie cinquième
- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - Désespoir
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le coeur solitaire) - Qu'on ouvre la fenêtre au large...