27 résultats pour "mai"
- Jean PASSERAT (1534-1602) - Sur un mai
- Béroalde de VERVILLE (1556-1626) - Le Mai
- Jean PASSERAT (1534-1602) - Ode du premier jour de mai
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Premier mai
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Les mois) - Mai
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Mai
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Toute la Flandre) - Les vergers de mai
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Second livre des Amours) - Ce jour de Mai qui a la tête peinte
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Puisque mai tout en fleurs dans les prés nous réclame
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Arthur Rimbaud, Lettre à Paul Demeny, dite « du voyant » (Charleville, 15 mai 1871).
Sujet : Arthur Rimbaud, Correspondance, Lettre du voyant, à Paul Demeny, (Charleville, 15 mai 1871). « Trouver une langue; — Du reste, toute parole étant idée, le temps d'un langage universel viendra ! Il faut être académicien, — plus mort qu'un fossile, — pour parfaire un dictionnaire, de quelque langue que ce soit. Des faibles se mettraient à penser sur la première lettre de l'alphabet, qui pourraient vite ruer dans la folie ! — Cette langue sera de l'âme pour l'âme, résumant tout, parfums, so...
- Charles DOVALLE (1807-1829) - Un soir de mai
- Francois HABERT (1508-1561) - Cantique du mois de mai
- Clément MAROT (1497-1544) - Chant de Mai et de Vertu
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Dernière gerbe) - En mai
- Emmanuel SIGNORET (1872-1900) (Recueil : Vers dorés) - Élégie de mai
- Louis-Honoré FRÉCHETTE (1839-1908) (Recueil : Oiseaux de neige) - Mai
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Schinderhannese - Apollinaire, Alcools (1912)
Apollinaire, poète du début du XXe siècle, annonce le mouvement surréaliste, sans y appartenir véritablement, puisqu'il meurt pendant la guerre de 14-18. Très attiré par l'Allemagne, il fit de nombreux séjours en Rhénanie, ce qui lui inspira les Rhénanes, neuf poésies du recueil Alcools. L'une de ces Rhénanes, Schinderhannes, publiée dès 1904, retrace d'une façon assez originale la vie d'un célèbre brigand que chantaient de vieilles chansons allemandes... L'apparence romantique de ce poème mêlée...
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Petites misères de mai
- Arthur Rimbaud, Lettre à Paul Demeny, dite « du voyant » (Charleville, 15 mai 1871).
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Miguel Angel Asturias
Miguel Angel Asturias Que ce soit dans l'étroit bureau du journal radiophonique de Guatemala " Diario del Aire ", où je l'ai connu jadis, dans un restaurant du Quartier latin ou dans le grand appartement de Buenos Aires toujours empli de livres et d'amis choisis, Miguel Angel Asturias donne une impression de puissance tranquille et réfléchie, puisée aux sources mêmes de la Nature américaine au sein de laquelle il est né. C'est dans ce Guatemala de la Asunción que naquit l'écrivain, dans la quiét...
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Elio Vittorini
Elio Vittorini 1908-1966 Né à Syracuse, d'un cheminot sicilien, Elio Vittorini représente dans la littérature italienne contemporaine la grande protestation des hommes du Sud, tenus jusqu'alors dans une sorte d'esclavage à base d'ignorance, d'injustice et de misère. En quelques livres qui ont la force et la pureté d'un cri, surtout Erica (1938), Conversation en Sicile (1941), Le Simplon fait un clin d'oeil au Fréjus (1947), il a appliqué un double programme, culturel et esthétique. D'une part pr...
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Analyse complète de l'oeuvre de CHATEAUBRIAND
CHATEAUBRIAND (1768-1848) FRANÇOIS-RENÉ DE CHATEAUBRIAND est l'un des nombreux enfants d'une famille noble, qui avait retrouvé quelque lustre grâce au « commerce de mer ». Il passe à Saint-Malo une enfance sans contrainte, fait ses études aux collèges de Dol et de Rennes, est tenté par le sacerdoce, s'aperçoit qu'il n'a pas la vocation et rentre au château paternel de Combourg. Il y reste deux ans, livré à des rêveries sans objet, n'ayant personne à qui se confier en dehors de sa soeur Lucile au...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - Chanson (Proscrit, regarde les roses...)
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Les plus désemparés sont les chants les plus beaux / Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. Musset, Nuit de Mai ?
Introduction. Depuis le romantisme, non seulement bien des oeuvres poétiques sont consacrées à la souffrance, mais encore beaucoup de poètes vont jusqu'à croire qu'elle est par excellence la source de l'inspiration : « Les plus désespérés sont les chants les plus b e a u x Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. » I. La théorie romantique de la souffrance, notamment chez Musset. 1. D'abord un problème de culture, ou plutôt d e réaction contre cette culture. Musset souffre — c o m m e...
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« Les plus désespérés sont les chants les plus beaux. Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots » (Musset, La Nuit de Mai) Que pensez-vous de cette conception de la poésie ?
Introduction. Depuis le romantisme, non seulement bien des oeuvres poétiques sont consacrées à la souffrance, mais encore beaucoup de poètes vont jusqu'à croire qu'elle est par excellence la source de l'inspiration : « Les plus désespérés sont les chants les plus beaux Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. » I. La théorie romantique de la souffrance, notamment chez Musset. 1. D'abord un problème de culture, ou plutôt de réaction contre cette culture. Musset souffre — comme les autr...
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« Les plus désespérés sont les chants les plus beaux Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots » (Musset, La Nuit de Mai). Que pensez-vous de cette conception de la poésie ?
Introduction. Depuis le romantisme, non seulement bien des oeuvres poétiques sont consacrées à la souffrance, mais encore beaucoup de poètes vont jusqu'à croire qu'elle est par excellence la source de l'inspiration : « Les plus désespérés sont les chants les plus beaux Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. » I. La théorie romantique de la souffrance, notamment chez Musset. 1. D'abord un problème de culture, ou plutôt de réaction contre cette culture. Musset souffre — comme les autr...
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Les plus désespérés sont les chants les plus beaux./Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots écrit Alfred de Musset (1810-1857) dans sa Nuit de mai. Commentez et discutez cette affirmation en vous appuyant sur le corpus et sur les poèmes que vous connaissez. Pensez-vous que le poète soit condamné à l'incompréhension et que la source de la poésie se trouve le plus souvent dans la souffrance ?
Introduction. Depuis le romantisme, non seulement bien des oeuvres poétiques sont consacrées à la souffrance, mais encore beaucoup de poètes vont jusqu'à croire qu'elle est par excellence la source de l'inspiration : « Les plus désespérés sont les chants les plus beaux Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. » I. La théorie romantique de la souffrance, notamment chez Musset. 1. D'abord un problème de culture, ou plutôt d e réaction contre cette culture. Musset souffre — comme les aut...