Résultats pour "fortune"
- Le vicomte de BLOSSEVILLE (x-1480) - Lassé d'amours et des faits de Fortune
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - L'Homme qui court après la Fortune et l'Homme qui l'attend
- Pierre LE MOYNE (1602-1671) (Recueil : Lettres morales et poétiques) - Le Palais de la Fortune
- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - La fortune envieuse
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Las où est maintenant ce mespris de Fortune
- Pontus de TYARD (1521-1605) (Recueil : Second livre des erreurs amoureuses) - Bien que Fortune en haut degré te range
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - La Fortune et le jeune Enfant
- Zola, La curée (chapitre 3) de « Cependant la fortune des Saccard » à « les ombres descendaient sur la ville »
- Jean BOUCHET (1476-1557) - Quand il lui plaît, Fortune fait avoir
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours de Diane) - J'ai longtemps voyagé, courant toujours fortune
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - N'étant de mes ennuis la fortune assouvie
- François VILLON (1431-x) (Recueil : Poésies diverses) - Problème ou Ballade de la Fortune
- Pontus de TYARD (1521-1605) (Recueil : Premier livre des erreurs amoureuses) - Fortune enfin piteuse à mon tourment
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Taine écrit, dans ses Nouveaux essais de critique et d'histoire : « Nous avons vu dans La Bruyère un éloge du peuple, des réclamations en faveur des pauvres, une satire amère contre l'inégalité des conditions et des fortunes, bref les sentiments qu'on appelle aujourd'hui démocratiques. » Que pensez-vous de ce jugement ?
Taine écrit, dans ses Nouveaux essais de critique et d'histoire : « Nous avons vu dans La Bruyère un éloge du peuple, des réclamations en faveur des pauvres, une satire amère contre l'inégalité des conditions et des fortunes, bref les sentiments qu'on appelle aujourd'hui démocratiques. » Que pensez-vous de ce jugement ? Les affirmations de Taine portent en définitive sur trois points essentiels : 1.La Bruyère a fait l'éloge du peuple ; 2.Il a protesté contre l'inégalité des fortunes ; 3.Il a pr...
- La Bruyère, Caractères, Des biens de fortune
- Zola, Préface de La Fortune des Rougon (1871).
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - Une bonne fortune
- François Tristan L'HERMITE (1601-1655) (Recueil : La Lyre) - La fortune de l'Hermaphrodite
- Au 18 e siècle, la littérature n'est plus seulement un art mais une arme; tout écrivain a calculé que son talent est une force comme la fortune, la naissance, et une force dont il faut se servir. qu'en pensez-vous ?
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Regrets sur ma vieille robe de chambre ou avis à ceux qui ont plus de goût que de fortune par Denis DIDEROT
Le titre, avec le mot clé regrets, donne le ton : c'est avec mélancolie que Diderot évoque un vêtement longtemps porté, dans lequel il était parfaitement à l'aise. La symétrie des deux membres de la deuxième phrase le prouve : Elle était faite à moi ; j'étais fait à elle. Cette symétrie, renforcée par l'emploi constant de la parataxe, se retrouve dans les oppositions entre la vieille robe de chambre et la nouvelle, mais ces deux vêtements représentent deux périodes distinctes de la vie de l'aute...
- Taine écrit: Nous avons vu dans La Bruyère un éloge du peuple, des réclamations en faveur des pauvres, une satire amère contre l'inégalité des conditions de fortune, bref les sentiments qu'on appelle aujourd'hui démocratiques. Que pensez-vous de ce jugement ?
- Expliquez et discutez la conception de l'art dramatique qui apparaît dans les lignes suivantes : « Quoi! Vous ne concevez pas l'effet que produiraient sur vous une scène réelle, des habits» vrais, des discours proportionnés aux actions, des actions simples, des dangers dont il est impossible que vous n'ayez tremblé pour vos parents, vos amis, pour vous-même? Un renversement de fortune, la crainte de l'ignominie, les suites de la misère, une passion qui conduit l'homme à sa ruine, de sa ruine au désespoir, du désespoir à une mort violente, ne sont pas des événements rares, et vous croyez qu'ils ne vous affecteront pas autant que la mort fabuleuse d'un tyran, ou le sacrifice d'un enfant aux autels des dieux d'Athènes ou de Rome? » (Diderot, Entretiens sur « Le Fils naturel », 1757, Troisième entretien, éd. de La Pléiade, p. 1284) ?