27 résultats pour "1840"
- PEINTURE: L'école de Barbizon (1840)
- Népomucène LEMERCIER (1771-1840) - La panhypocrisiade
- Albert MÉRAT (1840-1909) - Les fenêtres fleuries
- Jean LAHOR (1840-1909) (Recueil : L'illusion) - Léda
- Albert MÉRAT (1840-1909) (Recueil : Les chimères) - En wagon
- Albert MÉRAT (1840-1909) (Recueil : Les chimères) - Le carreau
- Albert MÉRAT (1840-1909) (Recueil : Les souvenirs) - Paysage
- Jean LAHOR (1840-1909) (Recueil : L'illusion) - Prélude
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- Jean LAHOR (1840-1909) (Recueil : L'illusion) - Toujours
- Jean LAHOR (1840-1909) (Recueil : L'illusion) - Brahm
- Victor Hugo : « Fonction du poète », Les Rayons et les Ombres (1840)
- Jean LAHOR (1840-1909) (Recueil : L'illusion) - Le poème
- Jean LAHOR (1840-1909) (Recueil : L'illusion) - Le mystère
- Jean LAHOR (1840-1909) (Recueil : L'illusion) - Langueur nocturne
- Jean LAHOR (1840-1909) (Recueil : L'illusion) - Calme des plantes
- Jean LAHOR (1840-1909) (Recueil : L'illusion) - Ouragan nocturne
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Émile Zola (1840-1902), Nouveaux Contes à Ninon (1874), "Le Forgeron".
Zola, Nouveaux Contes à Ninon, « Le Forgeron ». J’ai vécu une année chez le Forgeron, toute une année de convalescence. J’avais perdu mon cœur, perdu mon cerveau, j’étais parti, allant devant moi, me cherchant, cherchant un coin de paix et de travail, où je pusse retrouver ma virilité. C’est ainsi qu’un soir, sur la route, après avoir dépassé le village, j’ai aperçu la forge, isolée, toute flambante, plantée de travers à la croix des Quatre-Chemins. La lueur était telle, que la porte charretière...
- Jean LAHOR (1840-1909) (Recueil : Les quatrains d'Al-Ghazali) - Les êtres pour le Sage...
- Albert MÉRAT (1840-1909) (Recueil : Les villes de marbre) - Les marbres roses
- Albert MÉRAT (1840-1909) (Recueil : Tableaux parisiens) - Les fleurs de paris
- Albert MÉRAT (1840-1909) (Recueil : Les chimères) - Le bal allait finir...
- Jean LAHOR (1840-1909) (Recueil : Les quatrains d'Al-Ghazali) - La nuit splendide et bleue...
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LE ROMANTISME : ARTS PLASTIQUES (1815-1840)
LE ROMANTISME : ARTS PLASTIQUES (1815-1840) Au Salon de 1827, deux tableaux symbolisaient les deux tendances qui s'opposaient alors dans la peinture : l'Apothéose d'Homère, de Jean-Dominique Ingres, et le Christ au jardin des Oliviers, d'Eugène Delacroix. Ingres conseillait à ses élèves, devant les tableaux de Rubens : «Saluez, mais ne regardez pas», alors que Delacroix disait : «Voyez un enfant de Rubens : c'est [...] la vie sortant à pleins bords de la toile.» Malgré son jeune âge et son carac...
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Le déclin du romantisme
Le déclin du romantisme On peut fixer raisonnablement la fin de la mode romantique en France vers 1840. C'est l'année de la publication des Rayons et les Ombres, qui contenait un des plus grands poèmes romantiques, la Tristesse d'Olympio. Mais, en 1843, c'est la chute des Burgraves et le triomphe de la Lucrèce de Ronsard. C'est la fin du romantisme au théâtre. Il est vrai que ce qui lui succéda était un classicisme bien plus faux encore que le romantisme déjà vieilli et artificiel. On a écrit q...
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Eugène Scribe
Eugène Scribe 1791-1861 Ses romans ont fort peu servi sa gloire, mais les quatre cents pièces dont il a rempli, trente ans durant, les théâtres de Paris, lui ont valu une immense popularité. Superficielles, dénuées de tout souci de la composition, mais alertes, enjouées elles devaient plaire aussi à la moyenné bourgeoisie par l'heureux choix des sujets : la Veuve du Malabar (1822), la Demoiselle à marier (1826), Bertrand et Raton ou l'art de conspirer (1833), la Camaraderie ou la courte échelle...
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PEINTURE: Auguste Rodin (1840-1917)
Auguste Rodin (1840-1917) Un Michel-Ange moderne. En décembre 1916, à onze mois de la mort de Rodin, les Chambres acceptent le legs de l'artiste; ainsi, les œuvres les plus prodigieuses de la sculpture française vont se trouver rassemblées dans un admirable pavillon de l'hôtel Biron, dans le quartier des Invalides. Les dons pour le dessin du jeune Rodin sont si évidents que ses parents n'hésitent pas à l'envoyer à l'Ecole des arts décoratifs. Ce n'est pas la «grande Ecole», celle des beaux-arts,...
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Giovanni Verga
Giovanni Verga 1840-1922 Ce Sicilien de Catane, auteur dans sa jeunesse de romans romanesques et mondains tels que la Pécheresse, Histoire d'une Fauvette, ou Tigresse royale, se consacra, dans son âge mur, à une peinture approfondie et réfléchie de sa Sicile natale. Sensible au rayonnement de Flaubert plus peut-être qu'à celui de Zola, il retrouve alors la voie royale du réalisme italien, celle qui va de Boccace et Cellini à Mauzoni, et se forge un langage d'une abrupte simplicité. Des oeuvres c...