Résultats pour "+mai"
- Vous rédigerez en prose un récit utilisant les personnages des « Animaux malades de la Peste ». Mais cette fois la morale est inversée... justice et optimisme triomphent. Vous respecterez les caractères de chacun, mais vous pourrez ajouter d'autres personnages ?
- Pensez-vous, comme Marcel Proust, que le poète est celui qui nous permet de saisir "les nuances" et que, grâce aux artistes et aux poètes, le "monde (qui n'a pas été créé une fois mais aussi souvent qu'un artiste original est survenu) nous apparaît entièrement différent de l'ancien mais parfaitement clair" ?
- Nul ne peut écrire la vie d'un homme que lui même. Sa manière d'être interieure sa véritable vie n'est connue que de lui; mais en l'écrivant, il l'a déguise ; il se montre comme il veut être vu, mais point du tout comme il est. Dans un développement composé vous commenterez et discuterez cette citation d'un écrivain cotemporain en prenant apuis sur les textes que vous avez étudié en classe et vos propres lectures ?
- Nul ne peut écrire la vie d'un homme que lui même. Sa manière d'être intérieure sa véritable vie n'est connue que de lui; mais en l'écrivant, il l'a déguise ; il se montre comme il veut être vu, mais point du tout comme il est. Dans un développement composé, vous commenterez et discuterez cette citation d'un écrivain contemporain en prenant appuis sur les textes que vous avez étudiés en classe et vos propres lectures ?
- Jean PASSERAT (1534-1602) - Sur un mai
- Commentez et discutez ces lignes de Baudelaire : « L'art est-il utile? Oui. Pourquoi ? Parce qu'il est l'art. Y a-t-il un art pernicieux? Oui. C'est celui qui dérange les conditions de la vie. Le vice est séduisant, il faut le peindre séduisant; mais il traîne avec lui des maladies et des douleurs morales singulières. Il faut les décrire. Etudiez toutes les plaies comme un médecin qui fait, son service dans un hôpital, et l'école du bon sens, l'école exclusivement morale, ne trouvera plus où mordre. Le crime est-il toujours châtié, la vertu gratifiée? Non; mais cependant si votre roman, si votre drame est bien fait, il ne prendra envie à personne de violer les lois de la nature. La première condition nécessaire pour un art sain est la croyance à l'unité intégrale. Je défie qu'on me trouve un seul ouvrage d'imagination qui réunisse toutes les conditions du beau et qui soit un ouvrage pernicieux. » (L'Art romantique, « Les drames et les romans honnêtes ».) ?
- Jean PASSERAT (1534-1602) - Ode du premier jour de mai
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Mais si mon foible corps (qui comme l'eau s'escoule)
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Vigny écrit dans le Journal d'un poète : « J'aime peu la comédie, qui tient toujours plus ou moins de la charge et de la bouffonnerie.» Il précise plus loin sa pensée en disant: «Je sais apprécier la charge dans la comédie, mais elle me répugne parce que, dans tous les arts, elle enlaidit et appauvrit l'espèce humaine et, comme homme, elle m'humilie. » ?
Vigny écrit dans le Journal d'un poète : « J'aime peu la comédie, qui tient toujours plus ou moins de la charge et de la bouffonnerie.» Il précise plus loin sa pensée en disant: «Je sais apprécier la charge dans la comédie, mais elle me répugne parce que, dans tous les arts, elle enlaidit et appauvrit l'espèce humaine et, comme homme, elle m'humilie. » La comédie, de tous temps, a soulevé bien des controverses. Elle a eu d'ardents partisans comme d'acharnés détracteurs. On a pu vouloir lui confé...
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En faisant appel à votre expérience et à vos connaissances historiques et littéraires, vous expliquerez et apprécierez le précepte de Voltaire : «Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'au bout pour que vous puissiez le dire. »
En faisant appel à votre expérience et à vos connaissances historiques et littéraires, vous expliquerez et apprécierez le précepte de Voltaire : «Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'au bout pour que vous puissiez le dire. » En déclarant «Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'au bout pour que vous puissiez le dire », Voltaire donne une leçon de tolérance et définit ce que doit être l'esprit démocratique. La valeur de sa form...
- Béroalde de VERVILLE (1556-1626) - Le Mai
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POURQUOI AIMONS-NOUS LA FONTAINE ? Après avoir étudié l'oeuvre de La Fontaine, un critique contemporain conclut : « Il n'y a pas de note humaine qui ne s'y fasse entendre, l'ironie, l'émotion, la pitié, le courage, le goût du plaisir et de la retraite, l'acceptation de la vie et le besoin du rêve. On voudrait faire sentir pourquoi on l'aime ; mais on n'ose forcer la voix quand on parle du plus discret des poètes. » Vous direz si vous retrouvez dans ces quelques lignes l'impression que vous a laissée la lecture de la Fontaine.
POURQUOI AIMONS-NOUS LA FONTAINE? Après avoir étudié l'œuvre de La Fontaine, un critique contemporain conclut : « Il n'y a pas de note humaine qui ne s'y fasse entendre, l'ironie, l'émotion, la pitié, le courage, le goût du plaisir et de la retraite, l'acceptation de la vie et le besoin du rêve. On voudrait faire sentir pourquoi on l'aime ; mais on n'ose forcer la voix quand on parle du plus discret des poètes. » Vous direz si vous retrouvez dans ces quelques lignes l'impression que vous a laiss...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'âne) - Mais tu brûles !
- Jean VAUQUELIN DE LA FRESNAYE (1535-1607) - Amour, tais-toi, mais prends ton arc
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Premier mai
- Max ELSKAMP (1862-1931) (Recueil : La chanson de la rue Saint-Paul) - Mais lors en son temps ...
- Etienne JODELLE (1532-1573) (Recueil : Les Amours) - Je vivois mais je meurs, et mon cour gouverneur
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Odes en son honneur) - Mais Sa tête, Sa tête !
- Marcel Proust, Du côté de chez Swann, "Un amour de Swann" - Mais le concert recommença et Swann...
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Le romantisme a été la grande révolution littéraire moderne. On a parlé souvent de réactions contre le romantisme. On a donné ce nom à des mouvements comme le Parnasse, le réalisme, le naturalisme, le symbolisme, le néo-classicisme. Mais il ne serait pas difficile de montrer qu'ils sont bien plutôt des décompositions ou des transformations du romantisme. Commentez ce jugement ?
Introduction. Une vue classique des manuels consiste à montrer le romantisme envahissant la scène littéraire dans les années 1815 à 1830, disparaissant comme école, mais se continuant comme tendance jusqu'en 1843, date de l'échec des Burgraves. Le grand succès de Lucrèce, tragédie « classique » de Ponsard, en 1843, les débuts de Leconte de Lisle vers 1845 semblent amorcer une réaction qui ne s'interrompra plus jusqu'à nos jours. Traiter une œuvre de romantique sera dorénavant une qualification p...
- Le monde romanesque n'est que la correction de ce monde-ci, suivant le désir profond de l'homme. Car il s'agit bien du même monde. La souffrance est la même, le mensonge et l'amour. Les héros ont notre langage, nos faiblesses, nos forces. Mais eux, du moins, courent jusqu'au bout de leur destin et il n'est même jamais de si bouleversants héros que ceux qui vont jusqu'à l'extrémité de leur passion. Commentez ce propos.
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Edmond DE GONCOURT écrit, dans la préface des Frères Zemganno (1879) : Le réalisme, pour user du mot bête, du mot-drapeau, n'a pas l'unique mission de décrire ce qui est bas, ce qui est répugnant, ce qui pue. Il est venu au monde aussi, lui, pour définir dans de « l'écriture artiste » ce qui est élevé, ce qui est joli, ce qui sent bon, et encore pour donner les aspects et les profils des êtres raffinés et des choses riches : mais cela en vue d'une étude appliquée, rigoureuse et non conventionnelle et non imaginative, de la beauté, une étude pareille à celle que la nouvelle école vient de faire en ces dernières années de la laideur... Le succès du réalisme est là, seulement là, et non plus dans la canaille littéraire. Vous commenterez et discuterez, le plus largement possible, cette définition du réalisme dans le roman.
Edmond DE GONCOURT écrit, dans la préface des Frères Zemganno (1879) : Le réalisme, pour user du mot bête, du mot-drapeau, n\'a pas l\'unique mission de décrire ce qui est bas, ce qui est répugnant, ce qui pue. Il est venu au monde aussi, lui, pour définir dans de « l\'écriture artiste » ce qui est élevé, ce qui est joli, ce qui sent bon, et encore pour donner les aspects et les profils des êtres raffinés et des choses riches : mais cela en vue d\'une étude appliquée, rigoureuse et non conventio...
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Les mois) - Mai
- Cécile SAUVAGE (1883-1927) (Recueil : Primevère) - Mais je suis belle d'être aimée
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Mai
- Clément MAROT (1497-1544) - Chant de Mai et de Vertu
- Etes-vous pleinement d'accord avec cette affirmation de Claude Imbert : « Le monde devient plus connu mais moins familier. On y communique de plus en plus mais on y parle de moins en moins. »
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Toute la Flandre) - Les vergers de mai
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - Plaisir n'ai plus, mais vis en déconfort
- Jean de LA CEPPÈDE (1550-1623) (Recueil : Théorèmes) - Mais qui vous meut, Seigneur ...
- Max ELSKAMP (1862-1931) (Recueil : La chanson de la rue Saint-Paul) - Mais musique alors ...
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Elégies) - Tout homme a ses douleurs. Mais aux yeux de ses frères
- Max ELSKAMP (1862-1931) (Recueil : La chanson de la rue Saint-Paul) - Mais lors dans le vent ...
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : Les Tragiques) - Mais quoi ! c'est trop chanté...
- Max ELSKAMP (1862-1931) (Recueil : La chanson de la rue Saint-Paul) - Mais odeur ici ...
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Second livre des Amours) - Ce jour de Mai qui a la tête peinte
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : Stances) - Mais quoi ! déjà les Cieux s'accordent à pleurer
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - Mais quelle aveugle loi tellement te maîtrise
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : L'Hécatombe à Diane) - Oui, mais ainsi qu'on voit en la guerre civile
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Puisque mai tout en fleurs dans les prés nous réclame
- Diderot, Le Neveu de Rameau - Mais vous vous seriez échappé en éclats de rire à la manière...
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L'école doit certes ouvrir sur la vie: mais l'ouvrir à la vie est une ineptie destructrice. Qu'en pensez-vous ?
La fonction de l'école, et la position qu'elle doit adopter par rapport au monde extérieur représentent un sujet souvent débattu par les hommes politiques, la presse, les enseignants, les parents et les élèves eux-mêmes. Roger Ikor, dans son livre Je porte plainte, donne sa position à ce propos : « L'école doit certes ouvrir sur la vie, mais l'ouvrir à la vie est une ineptie destructrice. » La formulation un peu surprenante de cette phrase ne doit pas faire oublier qu'elle présente un point de v...
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Que pensez-vous de cette opinion d'Oscar Wilde: Une artiste doit créer de belles choses, mais sans rien y mettre de sa propre vie. Etayez votre discussion d'exemples puisés dans la littérature française ?
« Un artiste doit créer de belles choses, mais sans rien y mettre de sa propre vie » Oscar Wilde Analyse du sujet et problématisation : Oscar Wilde pense ici qu'un artiste doit s'exprimer en créant des oeuvres, mais qu'il ne doit pas se servir de sa propre expérience, des événements qu'il a vécus et de ses sentiments pour leur élaboration. Il semble que pour lui, une œuvre d'art doive rester impersonnelle. Cette opinion d'Oscar Wilde va à contre-courant des opinions communes sur la littérature e...
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Renan: "Une distinction est à faire entre ce qu'on propose à imiter et ce qu'on propose à admirer. Les exemples à imiter doivent toujours avoir quelque chose de médiocre et de bourgeois, car la pratique est roturière. Mais pour obtenir des hommes le simple devoir, il faut leur montrer l'exemple de ceux qui le dépasseront; la morale ne se maintient que par le héros" ?
La plupart des hommes sont médiocres dans le bien comme dans le mal. Les héros sont rares. Et ce n'est pas seulement par manque de générosité, mais aussi parce que les occasions font défaut. Combien se sont élevés audessus d'eux-mêmes pendant la guerre, dont la vie avait été et est redevenue plate et bourgeoise. Il y a d'ailleurs un héroïsme de la vie commune aussi difficile que l'autre. Mais la pratique en est roturière, elle n'attire pas l'attention. Et pour être vertueux et rester fidèle à l'...
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La comédie est faite pour divertir mais sa vocation est également d'instruire. À partir de votre connaissance du théâtre comique et en particulier de Tartuffe, vous construirez un développement argumenté d'une quarantaine de lignes pour montrer comment les débats d'idées trouvent au théâtre un mode d'expression efficace ?
Au cours de ce travail, nous ne prendrons pas le terme de "comédie" dans le sens que la modernité lui a donne, a savoir de représentation théâtrale a caractère comique, c'est a dire s'efforçant de susciter le rire. Par comédie, nous entendrons la représentation théâtrale dans son ensemble, c'est a dire l'acte qui consiste a figurer sur scène des actions fictives, qu'elles appartiennent au genre du drame, de la comédie, de la tragédie... Ce faisant, nous retournons au sens ancien du terme "comédi...
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Que vous inspirent ces remarques d'un directeur de troupe : « Notre volonté est de mettre en scène la société, la présenter et provoquer vis à vis d'elle des regards critiques. C'est une fonction du théâtre. Elle n'est pas nouvelle. Mais dans le même temps, le théâtre doit être le lieu où se libèrent les forces de l'imagination, où s'organise le rêve. Ces deux fonctions ne sont-elles pas contradictoires. » ?
Que vous inspirent ces remarques d'un directeur de troupe : « Notre volonté est de mettre en scène la société, la présenter et provoquer vis à vis d'elle des regards critiques. C'est une fonction du théâtre. Elle n'est pas nouvelle. Mais dans le même temps, le théâtre doit être le lieu où se libèrent les forces de l'imagination, où s'organise le rêve. Ces deux fonctions ne sont-elles pas contradictoires. » ? Le théâtre, école de « vice et de mauvaises moeurs ». Bossuet (17» s., prédicateur chrét...
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Dans son essai Pour un nouveau roman, le romancier Alain Robbe-Grillet affirme qu'un roman: C'est avant tout une histoire mais il précise que Le vrai roman, c'est celui dont la signification dépasse l'anecdote, la transcende vers une vérité humaine profonde, une morale où une métaphysique. Vous expliciterez et illustrerez ces propos, et éventuellement les discuterez, à partir des extraits qui constituent le corpus et des romans que vous avez lus/étudiés.
Dans son essai Pour un nouveau roman, le romancier Alain Robbe-Grillet affirme qu'un roman: « C'est avant tout une histoire » mais il précise que « Le vrai roman, c'est celui dont la signification dépasse l'anecdote, la transcende vers une vérité humaine profonde, une morale où une métaphysique. » Vous expliciterez et illustrerez ces propos. Analyse du sujet et problématisation : Ce sujet met en jeu une définition du roman. Alain Robbe-Grillet affirme ici que l'on ne peut réduire le roman à une...
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Victor Hugo sera lu à travers les siècles mais en anthologie ?
tffitm HUGO Un critique écrit : «Victor Hugo sera lu à travers les siècles mais en anthologie. »Vous développerez ce jugement. (Caen) LES GRANDES LIGNES DU PLAN Le sens est clair. Le talent fécond de Victor Hugo, qui s'est exercé dans presque tous les genres, n'a pas connu dans tous les domaines une égale réussite. Il s'agit donc de passer en revue l'œuvre de Hugo en signalant, à propos de chacun des genres qu'il a cultivés, ses défauts et ses mérites. Dans le classement des diverses parties, o...
- "La poésie pleure bien, chante bien, mais elle décrit mal" (Lamartine) ?
- Une nouvelle est construite comme un roman, mais un roman en réduction. Commentez.