683 résultats pour "charme+du+jour"
- Évoquant Électre de Giraudoux, un critique souligne que le charme de cette pièce « vient de l'alliance paradoxale du désespoir et de la fantaisie, de la profondeur tragique et d'une poésie légère. » Partagez-vous ce point de vue ?
- Que faut-il entendre, selon vous, lorsque, de nos jours, on qualifie un paysage, une idée, un sentiment, une révolution ou un être de « romantique » ? Aimez-vous personnellement ce qui est « romantique ». Tentez de fonder votre définition et votre sentiment sur l'évocation précise de quelques exemples probants ?
- La tragédie, dit Racine, demande une action simple, chargée de peu de matière, telle que doit être une action qui se passe en un seul jour, et qui, s'avançant par degrés vers sa fin, n'est soutenue que par les intérêts, les passions et les sentiments des personnages. Expliquez à l'aide d'exemple ?
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Pour Musset, la poésie est essentiellement lyrique : « D'un sourire, d'un mot, d'un soupir, d'un regard/ Faire un travail exquis, plein de craintes et de charme, / Faire une perle d'une larme. » Peut-on réduire la poésie à cet objectif ?
Analyse du sujet et problématisation : La citation venant illustrer le sujet est extraite du très court poème de Musset, L'Impromptu, qui se présente comme une définition de la poésie, comme un art poétique. Cette citation, comme le libellé du sujet l'explique, révèle une conception lyrique de la poésie : Musset rêve d'une poésie qui soit le passage d'une émotion ressentie ( cette émotion est exprimée matériellement par un « sourire », un « mot », un « soupir » ou un « regard ») à une production...
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - Ritournelle
- Un jour, en Sorbonne, un candidat ayant employé la formule connue « le tendre Racine », l'examinateur l'interrompit en disant : « Racine n'est pas tendre, Monsieur, il est féroce. » Vous direz, en vous appuyant sur des faits précis, ce qui a pu faire donner à Racine cette épithète de tendre, et pourquoi d'autres, au contraire, le jugent féroce.
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies posthumes) - Une promenade au Jardin des Plantes
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Jean de Sponde, "Sonnets sur la mort"
Jean de Sponde, "Sonnets sur la mort" : Tout s'enfle contre moi, tout m'assaut, tout me tente, Et le monde, et la Chair, et l'Ange révolté, Dont l'onde, dont l'effort, dont le charme inventé, Et m'abîme, Seigneur, et m'ébranle, et m'enchante. Quelle nef, quel appui, quelle oreille dormante, Sans péril, sans tomber, et sans être enchanté, Me donras-tu ? Ton Temple où vit ta Sainteté, Ton invincible main, et ta voix si constante ? Et quoi ! mon Dieu, je sens combattre maintes fois Encor avec ton T...
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Nombreux sont les poètes qui se sont interrogés sur les fonctions de la poésie. Ainsi, aux yeux de Musset, elle est essentiellement lyrique : d'un sourire, d'un mot, d'un soupire, d'un regard /Faire un travail exquis, plein de crainte et de charme, / Faire une perle d'une larme. Telle est pour lui l'ambition du poète. En vous appuyant sur les textes poétiques que vous connaissez, vous discuterez de ce jugement ?
Analyse du sujet et problématisation : La citation venant illustrer le sujet est extraite du très court poème de Musset, L'Impromptu, qui se présente comme une définition de la poésie, comme un art poétique. Cette citation, comme le libellé du sujet l'explique, révèle une conception lyrique de la poésie : Musset rêve d'une poésie qui soit le passage d'une émotion ressentie ( cette émotion est exprimée matériellement par un « sourire », un « mot », un « soupir » ou un « regard ») à une production...
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le semeur de cendres) - Vous qui sur mon front, toute en larmes
- Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794) (Recueil : Fables) - Le rossignol et le paon
- Eudore EVANTUREL (1854-1919) - Les Cloches de la Basilique
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - L'aube est moins claire...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chansons des rues et des bois) - Jeanne chante ; elle se penche
- Marivaux, L'Île des esclaves, scène XI.
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Elégies) - Le grillon
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Avec mes sens, avec mon coeur ...
- Jean-Jacques Rousseau, Les Confessions, 1782, Livre I, partie 1.
- Vincent VOITURE (1597-1648) - Quand Iris aux beaux yeux
- Gérard de NERVAL (1808-1855) (Recueil : Poésies diverses) - Mélodie irlandaise
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Les stalactites) - Camille, quand la Nuit t'endort...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - Chanson d'autrefois
- Gérard de Nerval, Sylvie, Chapitre XIII. Aurélie
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Avec le même amour que tu me fus jadis
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- Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794) (Recueil : Fables) - L'habit d'Arlequin
- Jean-Jacques ROUSSEAU , La Nouvelle Héloïse
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - Adieux à Suzon
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Nouvelles méditations poétiques) - Chant d'amour (III)
- François Tristan L'HERMITE (1601-1655) (Recueil : Plaintes d'Acante) - Consolation à Idalie sur la mort d'un parent
- Corneille, L'Illusion comique, Acte IV, scène 1.
- Gérard de NERVAL (1808-1855) (Recueil : Odes et poèmes) - A Béranger
- Corneille, L'Illusion Comique, Acte IV Scène 1 : monologue d'Isabelle
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Lise
- J-J. Rousseau, Les Rêveries du promeneur solitaire, Première promenade, 1778.
- Evariste de PARNY (1753-1814) - Complainte
- Alfred de Musset, Les Caprices de Marianne
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Après l'hiver
- Jean RACINE (1639-1699) (Recueil : Cantiques spirituels) - Sur le bonheur des Justes...
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Elégies) - Les deux amitiés
- Jean-François de SAINT-LAMBERT (1716-1803) - L'automne
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les orientales) - Voeu
- Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794) (Recueil : Fables) - Le renard qui prêche
- Vincent VOITURE (1597-1648) - Ballade
- Charles BORDES (1711-1781) - Le berger respectueux
- Flaubert, L'Éducation sentimentale.
- Racine, Britannicus, acte IV, scène 3.
- Alphonse BEAUREGARD (1881-1924) (Recueil : Les alternances) - La rivière aux trois ponts
- Pierre de SAINT-LOUIS (1626-1684) (Recueil : La Madeleine au désert de la Sainte-Baume) - Livre second
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Proust et Swan
J'appuyais tendrement mes joues contre les belles joues de l'oreiller qui, pleines et fraîches, sont comme les joues de notre enfance. Je frottais une allumette pour regarder ma montre. Bientôt minuit. C'est l'instant où le malade, qui a été obligé de partir en voyage et a dû coucher dans un hôtel inconnu, réveillé par une crise, se réjouit en apercevant sous la porte une raie de jour. Quel bonheur c'est déjà le matin! Dans un moment les domestiques seront levés, il pourra sonner, on viendra lui...
- Vincent VOITURE (1597-1648) - Lors qu'avecque deux mots que vous daignâtes dire