1057 résultats pour "qu+amour+oiseau"
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies complémentaires) - Complainte de Minuccio
- Bonaventure DES PÉRIERS (149x-1544) - Chanson
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Les stalactites) - La muse
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Poésies inédites) - Les éclairs
- Algernon Charles SWINBURNE (1837-1909) - Nocturne
- Isaac HABERT (1560-1615) - J'ai cette nuit goûté les plus douces douceurs
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Jadis et naguère) - Luxures
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Hier, la nuit d'été, qui nous prêtait ses voiles
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- Simon BOUGOING (14xx-15xx) - Le véritable amant
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Poésies Antiques) - Médée
- Jean-Baptiste Poquelin, dit MOLIERE (1622-1673) - Stances galantes
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Louise LABÉ: Je vis, je meurs...
Je vis, je meurs: je me brûle et me noie, J'ai chaud extrême en endurant froidure; La vie m'est et trop molle et trop dure, J'ai grands ennuis entremêlés de joie. Tout en un coup je ris et je larmoie, Et en plaisir maint grief tourment j'endure, Mon bien s'en va, et à jamais il dure, Tout en un coup je sèche et je verdoie. Ainsi Amour inconstamment me mène Et, quand je pense avoir plus de douleur, Sans y penser je me trouve hors de peine. Puis, quand je crois ma joie être certaine, E...
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Stances et poèmes) - Ici-bas
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Jacques Brel, J'aimais
Première partie 1. Le verbe j'aimais Dans le titre et dans la strophe centrale avec ses quatre occurrences, j'aimais signifie «j'étais amoureux de ». Ce sens est renforcé par la proximité de j'ai adoré (v. 15) et de je vous brûlais (v. 20), qui connotent tous deux l'intensité de la passion amoureuse. Mais le verbe prend également le sens atténué de «j'avais du goût pour», aussi bien au vers 1 (J'aimais les fées...) qu'au vers 5 (J'aimais les tours hautes et larges) ou 13 et 14 (J'aimais courir.....
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Aimons toujours ! Aimons encore !...
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Élégies) - Élégie quatrième
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Il fait froid
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Elégies) - Quand vous lirez, ô Dames Lyonnoises
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Comme Dieu rayonne aujourd'hui
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Puisqu'elle est Tout Hiver. Pierre RONSARD: Sonnets pour Hélène
ELEMENTS POUR UNE INTRODUCTION 1. Rappel historique et littéraire Ronsard a célébré de nombreuses jeunes femmes à travers son oeuvre poétique ; Cassandre, Marie, et la fille d'honneur de Catherine de Médicis, Hélène de Surgères à qui ce sonnet est adressé. Son amour, le poète ne l'exprime jamais sans évoquer en même temps son angoisse du temps qui passe (« Cueillez, cueillez votre jeunesse » écrit-il à Cassandre), du temps qui creuse entre la jeune fille qu'il aime et luimême un écart tragique,...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Viens ! - une flûte invisible
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Bouquets et prières) - Aux trois aimés
- Théophile de VIAU (1590-1626) - Pour mademoiselle D. M.
- Stuart MERRILL (1863-1915) (Recueil : Petits poèmes d'automne) - Des rossignols chantant à des lys
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- Jules BARBEY D'AUREVILLY (1807-1889) (Recueil : Poussières) - L'échanson
- François VILLON (1431-x) (Recueil : Poésies diverses) - Ballade des contre-vérités
- Antoine HEROËT (1492-1568) - La parfaite amie
- Etienne DURAND (1586-1618) - Chanson
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Nouvelles méditations poétiques) - Ischia
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Louise Labé
C'est son père, riche cordier lyonnais, Pierre Charly, qui est dit Labé. C'est à lui que Louise doit une éducation qui lui vaut de savoir le latin, l'italien, de savoir chanter et s'accompagner d'un luth, de maîtriser l'art de l'équitation et celui des armes. Il semblerait que, travestie en homme, elle ait, en 1542, participé au siège de Perpignan. C'est à son mariage avec Ennemond Perrin, cordier, qu'elle doit son surnom de “ Belle Cordière ”. Si son mari meurt vers 1555 ou 1557, c'est avant sa...
- Jules BARBEY D'AUREVILLY (1807-1889) (Recueil : Poussières) - La Maîtresse rousse
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Fêtes galantes) - Clair de lune
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Résumé: Le Roman de Tristan et Iseut
Le Roman de Tristan et Iseut S'il revient à Chrétien de Troyes d'avoir donné à notre littérature sa première oeuvre personnelle, Tristan et Iseut, l'un des plus beaux romans d'amour jamais écrits, n'a pas un seul auteur, mais plusieurs. Le texte que nous connaissons n'est qu'une mosaïque de fragments patiemment assemblés et harmonisés. Ce n'est qu'en 1900 que l'historien Joseph Bédier s'est livré sur ces vestiges mutilés par le temps à un travail d'archéologue et de restaurateur. Homogénéisant...
- René GHIL (1862-1925) (Recueil : Le Voeu de vivre) - En m'en venant au tard de nuit
- Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereuses (1782), Lettre 10 (extrait)
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Hier au soir
- Laclos, Les Liaisons dangereuses, lettre CXXXVII
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Le temps déborde - Paul Eluard
Le temps déborde - Paul Eluard En 1946, Paul Eluard perdait sa femme Nusch, après dix-sept ans de vie commune dans le bonheur : c'est ce souvenir qui a inspiré au poète ce poème. J'ai pris de toi tout le souci tout le tourment Que l'on peut prendre à travers tout à travers rien Aurais-je pu ne pas t'aimer Ô toi rien que la gentillesse Comme une pêche après une autre pêche Aussi fondantes que l'été Tout le souci tout le tourment De vivre encore et d'être absent D'écrire ce poème Au lieu du poème...
- Nérée BEAUCHEMIN (1850-1931) (Recueil : Les floraisons matutinales) - A celle que j'aime
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Robert Desnos - Extrait de "Corps et Biens"
Pistes méthodologiques Analyser le texte • Ce poème de Robert Desnos est un poème en prose de registre lyrique. La répétition au début de quatre paragraphes de la proposition « J'ai tant rêvé de toi... » (anaphore) y exprime l'enva¬hissement du rêve amoureux : le poète est entièrement habité, obsédé par la pensée de la femme aimée. • On comprend que le poète, en l'absence de la femme aimée, a cherché à l'évoquer, à lui donner corps par sa seule pensée mais avec des conséquences inverses de celle...
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- Georges de SCUDÉRY (1601-1667) - Description de la fameuse Fontaine de Vaucluse
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Les mois) - Juin
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Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : Epigrammes) - De soi-même
Clément MAROT, Épigrammes, « De soi-même ». 1. Plus ne suis ce que j'ai été, 2. Et ne le saurais jamais être. 3. Mon beau printemps et mon été 4. Ont fait le saut par la fenêtre. 5. Amour, tu as été mon maître, 6. Je t'ai servi sur tous les Dieux. 7. Ah si je pouvais deux fois naître, 8. Comme je te servirais mieux ! Clément MAROT (1497-1544) : un des premiers grands poètes classiques français. Clément Marot, le fils de Jean des Marets dit Marot poète à la cour de Louis XII, commence très tôt...
- Anna de NOAILLES (1876-1933) (Recueil : Le coeur innombrable) - Plainte
- Honoré de Balzac : Lettre à Madame Hanska (1834)
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Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - J'ai cueilli cette fleur pour toi sur la colline
Points de repère De quel genre de poème s'agit-il? Ici d'un poème narratif et descriptif qui a un sujet, une « construction » qui semble lisible (l'ombre envahit progressivement le paysage et le texte s'achève quand la nuit est tombée), enfin une destination précise : il a été écrit pour une femme. Par opposition à la poésie pure, à la poésie incantatoire, à la poésie qui mêle les images sans chercher à représenter quelque chose, cette poésie repose sur un scénario et semble « raconter une histo...
- Vincent VOITURE (1597-1648) - Lors qu'avecque deux mots que vous daignâtes dire
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - Ritournelle
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"Le théâtre, c'est d'être réel dans l'irréel", écrit Jean Giraudoux dans l'Impromptu de Paris. Comment expliquez-vous ce jugement? Votre développement sera argumenté d'exemples pertinents, précis et variés ?
Le théâtre => renvoie au réel ou évasion ? a-t-il pour vocation de reproduire la réalité Le théâtre repose sur l'illusion, l'artifice => spectacle. L'artifice, la représentation peuvent-ils représenter le réel ? Par l'illusion, la représentation, le théâtre peut-il exprimer le réel ? I- Le théâtre, pays de l'illusion, pays de l'irréel Le théâtre est le monde de « l'illusion comique », tout est feint, rien n'est a priori vrai. A- Les conditions de la représentation • Proximité physique des acteur...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Chanson de grand-père