Résultats pour "pleurs"
- Emile NELLIGAN (1879-1941) (Recueil : Premiers poèmes) - Quelqu'un pleure dans le silence
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Je dédie à tes pleurs, à ton sourire
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Romances sans paroles) - Il pleure dans mon coeur
- Etienne DURAND (1586-1618) - Mes pleurs qui sur mon teint distillez si souvent
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Les Pleurs) - Le coucher d'un petit garçon
- Cécile SAUVAGE (1883-1927) (Recueil : Primevère) - Laisse couler mes pleurs
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Les Pleurs) - L'attente
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Les Pleurs) - Dors-tu ?
- Christofle de BEAUJEU (1550-x) - Source de mes pleurs, arrêtez
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Pleurs dans la nuit
- Etienne DURAND (1586-1618) - Laissez couler, mes yeux, laissez couler vos pleurs
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - En hiver la terre pleure
- Claude MALLEVILLE (1596-1647) - Philis, les yeux en pleurs et le coeur en tristesse
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - De même que Rousseau jadis fondait en pleurs
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le coeur solitaire) - Encore un peu ta bouche en pleurs...
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Elégies) - Les esclaves d'Amour ont tant versé de pleurs
- Renée VIVIEN (1877-1909) (Recueil : A l'heure des mains jointes) - Je pleure sur toi...
- Abraham de VERMEIL (1555-1620) (Recueil : Poésies) - Je chante et pleure, et veux faire et défaire
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Si la perte des tiens, si les pleurs de ta mère
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - Si les pleurs douloureux, si les tristes complaintes
- "La poésie pleure bien, chante bien, mais elle décrit mal" (Lamartine) ?
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Poésies inédites) - Les cloches et les larmes
- Victor SEGALEN (1878-1919) (Recueil : Stèles) - Stèle des pleurs
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Les Pleurs) - L'impossible
- Emile NELLIGAN (1879-1941) (Recueil : Premiers poèmes) - Silvio Corelli pleure
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Les Pleurs) - La sincère
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Les Pleurs) - Malheur à moi
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Poésies inédites) - La mère qui pleure
- « Le comique, ennemi des soupirs et des pleurs, n'admet point en ses vers de tragiques douleurs. » (Boileau) En vous basant sur l'oeuvre intégrale de Dom Juan, dites en quoi Dom Juan confirme et en quoi il le dément ?
- René GHIL (1862-1925) (Recueil : Légendes d'âmes et de sangs) - Dies irae
-
Étudiez cette définition du romantisme que Musset met ironiquement dans la bouche d'un clerc d'avoué : « Le romantisme, mon cher monsieur, mais à coup sûr, ce n'est ni le mépris des unités, ni l'alliance du comique et du tragique, ni rien au monde que vous puissiez dire. Vous saisiriez vainement l'aile du papillon, la poussière qui le colore vous resterait dans les doigts. Le romantisme, c'est l'étoile qui pleure, c'est le vent qui vagit, c'est la nuit qui frissonne, la fleur qui vole et l'oiseau qui embaume ; c'est le jet inespéré, l'extase alanguie, la citerne sous les palmiers et l'espoir vermeil et ses mille amours, l'ange et la perle, la robe blanche des saules; ô la belle chose, monsieur! c'est l'infini et l'étoile, le chaud, le rompu, le désenivré, et pourtant en même temps le plein et le rond, le diamétral, le pyramidal, l'oriental, le nu à vif, l'étreint, l'embrassé, le tourbillonnant; quelle science nouvelle! » (Lettres de Dupuis et Cotonet, première lettre, 1836.) ?
[Introduction] Le drame romantique s'inscrit dans la rupture que les jeunes écrivains romantiques veulent marquer avec l'esthétique du classicisme. Dans cette mesure, on comprend que Musset s'insurge contre une tentative de définition réductrice d'un élan naissant : « Non [...], ce n'est ni le mépris des unités ni l'alliance du comique et du tragique, ni rien au monde que vous puissiez dire. » Mais, lui, le poète, peut tenter de dire l'indicible en multipliant les images, les antithèses, en évoq...