10 résultats pour "mener"
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - Ce siècle est grand et fort. Un noble instinct le mène
- Expliquez, à partir du poème symboliste Le Bateau ivre?, que Rimbaud pratique une poésie qui dévoile l'Idéal, mais que celle-ci est dangereuse et mène parfois au naufrage mélancolique de l'être ?
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Vous illustrerez par l'étude d'une tragédie de Racine cette définition que La Bruyère donne du poème tragique : « Le poème tragique vous serre le coeur dès son commencement, vous laisse à peine dans tout son progrès la liberté de respirer et de vous remettre ; ou s'il vous donne quelque relâche, c'est pour vous replonger dans de nouveaux abîmes, dans de nouvelles alarmes. Il vous conduit à la terreur par la pitié ou, réciproquement, à la pitié par la terreur, vous mène par les larmes,
INTRODUCTION La valeur d'une pièce de théâtre se mesure d'abord à l'emprise qu'elle exerce sur les spectateurs. D'emblée elle doit susciter leur intérêt à l'égard des personnages et des problèmes auxquels ils se heurtent. Et au cours du déroulement de la représentation, cet intérêt doit aller grandissant jusqu'au dénouement. La tragédie de Phèdre répond pleinement à ces exigences. Dès le premier acte, elle nous émeut par l'évocation du drame intérieur d'Hippolyte et de Phèdre. Elle ne nous fait...
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Eugène Sue
Eugène Sue 1804-1859 Des romans maritimes (Kernock le pirate, Plick et Plock, la Coucaratcha, la Vigie de Koat-Ven, etc.) inaugurèrent une production immodérée de près de deux cents volumes : Mathilde ou Mémoires d'une jeune femme, les Mystères de Paris, en dix volumes le Juif errant, en dix volumes ; les Sept Péchés capitaux, en seize volumes ; les Mystères du peuple, en seize volumes, etc. Les Mystères de Paris ont perdu de l'intérêt de scandale qui fit leur popularité, mais ils demeurent un d...
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La lecture est-elle le dialogue silencieux entre l'auteur et son lecteur ?
SUJET : « Un suffisant lecteur descouvre souvant ès escrits d'autruy des perfections autres que celles que l'autheur y a mises et apperceües, et y preste des sens et des visages plus riches. » (Montaigne, Essais, Livre I Chapitre XXIV) Il a toujours été question, à propos d'œuvres littéraires de genres variés, de la relation privilégiée entretenue par l'auteur avec son lecteur. La lecture est ainsi souvent assimilée à un dialogue silencieux entre eux, mais le rôle du lecteur ne semble pas s'en...
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Mademoiselle Clairon
Mademoiselle Clairon 1723-1803 Née à Condé-sur-Escaut, enfant illégitime, elle vient toute jeune à Paris où elle demeure en face de la maison de Mademoiselle Dangeville. Éblouie par la célèbre comédienne, la fillette décide de se consacrer au théâtre. Elle chante, danse, mène une vie aventureuse avant d'obtenir, à vingt ans, un engagement au Français où elle débute par un coup d'éclat : elle s'attaque au rôle de Phèdre dont la Dumesnil est titulaire et stupéfie le public par la diversité de ses...
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Oeuvres principales de NERVAL expliquées
NERVAL (1808-1855) GÉRARD DE NERVAL, de son vrai nom Gérard Labrunie, est le Pis d'un médecin des armées napoléoniennes. Sa mère meurt au loin, en Silésie, alors qu'il a deux ans. Il est élevé par un grand-oncle, aubergiste à Mortefontaine. Gérard gardera le souvenir d'une enfance passée « dans une campagne isolée, au milieu des bois ». Il fait ses études au collège Charlemagne, où il a comme condisciple Théophile Gautier. Il fréquente le Cénacle, participe à la bataille d'Hernani, entreprend de...
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William Shakespeare
William Shakespeare Étonné de ce que le génie du poète ait été si peu compris par sa propre génération et les suivantes, Matthew Arnold a écrit, dans son sonnet fameux : "Tu as passé sur cette terre sans qu'elle te reconnaisse." On peut en dire autant de l'homme Shakespeare. Il est encore de nos jours la cible de discussions sans fin malgré les imposants volumes qui nous offrent l'histoire de sa vie et qui sont faits surtout de considérations accessoires et de conjectures. Nous ne possédons pas...
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Mens humilis thus est inflata superbia pus est
Mens humilis thus est injlata superbia pus est L'esprit humble est comme l'encens et l'homme enflé d'orgueil comme le pus Cette expression répertoriée panni les sentences médiévales de Walther ( 14684) et qui figure dans les recueils modernes (cf. par exemple Lautenbach 453 ; Bayer 1168), est empruntée à un ouvrage de Marbode de Rennes (Carmina varia, 13. Commendatio virtutum per comparationem [Pl 171 .. 1654a]). entièrement composé de vers paronomastiques structurés en deux parties symétr...
- René GHIL (1862-1925) (Recueil : Les images de l'homme) - Hymne de guerre