701 résultats pour "grand+douleur"
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Le bocage) - A lui mesme
- Baudelaire, « L'Ennemi » in Les Fleurs du Mal.
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les châtiments) - Puisque le juste est dans l'abîme
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les soirs) - Les vieux chênes
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Anton Tchekhov
Anton Tchekhov "Je suis un prolétaire. Dans mon enfance, je vendais des chandelles dans notre boutique de Taganrog", écrit Tchekhov. Petit-fils d'un serf, fils d'un boutiquier, Tchekhov, en tant qu'homme, n'a rien d'un prolétaire, en tant qu'artiste, rien d'un écrivain prolétarien parlant au nom d'une classe et en faveur d'une classe. Tchekhov est avant tout un indépendant et un solitaire. Sa vie : se discipliner, s'affiner, comprendre et aimer son prochain, méditer sur la vie, apprendre à suppo...
- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Le cygne
- François FABIÉ (1846-1928) (Recueil : Fleurs de genêts) - Terre de France
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Méditations poétiques) - Le désespoir
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- Alfred de VIGNY (1797-1863) (Recueil : Poèmes antiques et modernes) - La femme adultère
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Le genre de la comédie vous semble-t-il le mieux approprié pour faire la satire d'une société ?
Sujet: Le genre de la comédie vous semble-t-il le mieux approprié pour faire la satire d'une société ? Le libellé du sujet nécessite de définir d'une part ce que représente « le genre de la comédie » et d'autre part ce que désigne le terme « satire ». Après avoir mis en lumière ces deux notions clés, la (les) problématique(s) sera (seront) ainsi formulée(s) : Pourquoi sommes-nous enclins à privilégier le genre de la comédie plutôt que celui de la tragédie pour faire la satire d'une société? La c...
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Alfred de Musset
Alfred de Musset La grande chance de Musset est d'avoir exprimé avec bonheur les sentiments de la jeunesse de son temps, et parmi eux quelques-uns des sentiments de la jeunesse de toujours. Cela explique à la fois son vieillissement et sa survie. Il date et il demeure près de nous, ne serait-ce que comme un symbole. Il a mieux : de beaux cris, où la sincérité se mêle à la littérature (est-ce un crime pour un écrivain d'être littéraire ?) ; il a l'indépendance et la franchise. Faire le point sur...
- Alexandre Dumas, Le grand dictionnaire de cuisine. « Cave »
- Alexandre Dumas, Le grand dictionnaire de cuisine. « La casserole »
- Marguerite de NAVARRE (1492-1549) - Le temps est bref et ma volonté grande
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Un grand sommeil noir
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - En souvenir des grandes Indes
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- Charles CROS (1842-1888) (Recueil : Le collier de griffes) - A grand-papa
- Flaminio de BIRAGUE (1550-x) - Divin Ronsard, après que la douleur
- Anne de MARQUETS (1533-1588) - Ne jetez plus sur nous d'injures si grands sommes
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flamandes) - La grande chambre
- Roi FRANÇOIS 1er (1494-1547) - Plus j'ai de bien, plus ma douleur augmente
- Maurice ROLLINAT (1846-1903) (Recueil : Paysages et paysans) - La grande cascade
- Sabine SICAUD (1913-1928) (Recueil : Douleur, je vous déteste) - Vous parler ?
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Jeanne fait son entrée
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Aux champs
- Guillaume DES AUTELZ (1529-1581) (Recueil : Repos de plus grand travail) - De sa Sainte
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Né l'enfant des grandes villes
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Elégies) - Tout homme a ses douleurs. Mais aux yeux de ses frères
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Comme une grande fleur ...
- Clovis Hesteau de NUYSEMENT (1550-16xx) - Puisse en dépit du Ciel et du grand Jupiter
- Clovis Hesteau de NUYSEMENT (1550-16xx) - Quand le grand oeil du Ciel tournoyant l'horizon
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Odes en son honneur) - Tu fus une grande amoureuse
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Toute la Flandre) - La Grand'Place
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les solitudes) - La Grande Chartreuse
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Les enfants pauvres
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : L'Olive) - Le grand flambeau gouverneur de l'année
- Jean de LA CEPPÈDE (1550-1623) (Recueil : Théorèmes) - Comme ces assassins faignent d'avoir grand soin...
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Poésies Antiques) - J'étais un faible enfant qu'elle était grande et belle
- Guillaume DES AUTELZ (1529-1581) (Recueil : Repos de plus grand travail) - De la persévérance de son amour
- François de MALHERBE (1555-1628) - Pour le premier ballet de monseigneur le Dauphin. Au roi Henri le grand
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Jeanne songeait
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Un manque
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Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Recueillement
Introduction. La vie de Baudelaire fut une méditation de sa douleur. Il en a dit souvent les cruautés. Mais quand il faisait un retour profond sur lui-même, dans le silence et la solitude, quand il songeait à ses péchés, à ses voluptés au goût amer, à ses vains élans vers la pureté, elle lui apparaissait comme revêtue d'une sorte de dignité, car il y trouvait le témoignage d'une conscience vigilante au sein même de ses égarements. Dans ce sonnet, il s'adresse à elle comme à un être humain; il en...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - Dans ce jardin antique où les grandes allées
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Qui a vu quelquefois un grand chêne asséché
- Etienne de LA BOETIE (1530-1563) (Recueil : Vers françois) - Un Lundy fut le jour de la grande journee
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les solitudes) - La grande allée
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Laetitia rerum
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DIDEROT, Paradoxe sur le Comédien.
Les grands poètes, les grands acteurs, et peut-être en général tous les grands imitateurs de la nature, quels qu'ils soient, doués d'une belle imagination, d'un grand jugement, d'un tact fin, d'un goût très sûr, sont les êtres les mains sensibles. Ils sont également propres à trop de choses; ils sont trop occupés à regarder, à reconnaître, à imiter, pour être vivement affectés au-dedans d'eux-mêmes. Je les vois sans cesse le portefeuille sur les genoux et le crayon à la main. Nous sentons, nous;...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Choses du soir