47 résultats pour "disant"
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Tu me disais - André VERDET
Le poème « Tu me disais » est un extrait de l'oeuvre d'André Verdet, Les jours, les nuits, et puis l'aurore. Résistant de la guerre de 1945, André Verdet y traite le thème de la guerre, qui inspire tant de joies par ses victoires, mais surtout, tant de souffrances. Dans ce poème il laisse la parole à un résistant mourant, dont le seul souvenir heureux et magnifique est celui de l'amour l'unissant à sa femme. Le rythme lent lui attribue une atmosphère paisible et heureuse, que vient brusquement r...
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Quand je te dis adieu, pour m'en venir ici
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Que ferai-je, Morel ? Dis-moi, si tu l'entends
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Dis-moi, ma simple et ma tranquille amie
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les feuilles d'automne) - Où donc est le bonheur ? disais-je.
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - La pauvre fleur disait au papillon céleste
- Paul SCARRON (1610-1660) - Chanson : Quand je vous dis que vos yeux...
- Antoine HEROËT (1492-1568) - Coeur prisonnier, je vous le disais bien
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- Rainer Maria RILKE (1875-1926) (Recueil : Les roses) - Dis-moi, rose, d'où vient
- Éphraïm MIKHAËL (1866-1890) - Je disais : " Quand viendra la reine que j'attends
- Jean GODARD (1564-1630) - Tu disais vrai, ô divin Pythagore
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Tu dis que Du Bellay tient réputation
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Cependant que tu dis ta Cassandre divine
- Etienne de LA BOETIE (1530-1563) (Recueil : Vingt neuf sonnetz) - Or, dis je bien, mon esperance est morte
- Siméon-Guillaume de LA ROQUE (1551-1611) (Recueil : Amours de Narsize) - Celui qui va disant que la mort inhumaine
- Max ELSKAMP (1862-1931) (Recueil : La chanson de la rue Saint-Paul) - Or bleu disant l'août ...
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Oh ! dis ! pourquoi toujours regarder sous la terre
- « Le mot progrès n'aura aucun sens tant qu'il y aura des enfants malheureux » disait A. Einstein. Qu'en pensez-vous ?
- Paul Valéry, Je disais à Stéphane Mallarmé..., Variété III,1936.
- Il faut de temps en temps épousseter les statues éternelles disait Giraudoux. Vous commenterez cette citation en vous appuyant sur le mythe d'Orphée ?
- Dans Madame Bovary, un personnage disait que les ouvrages ne touchant pas le coeur s'écartait du vrai but de l'art. Donnez votre point de vue.
- « l'homme n'est point fait pour méditer mais pour agir", disait Voltaire dans sa correspondance à un jeun homme. Par son oeuvre, l'écrivain doit-il participer activement à la vie de son époque ?
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Céline, Voyage au bout de la nuit.
Céline, Voyage au bout de la nuit Sous le pont, l'eau était devenue toute lourde. J'avais plus du tout envie d'avancer. Aux boulevards, j'ai bu un café crème et j'ai ouvert ce bouquin qu'elle m'avait vendu. En l'ouvrant, je suis tombé sur une page d'une lettre qu'il écrivait à sa femme le Montaigne, justement pour l'occasion d'un fils à eux qui venait de mourir. Ca m'intéressait immédiatement ce passage, probablement à cause des rapports que je faisais tout de suite avec Bébert. Ah! Qu’il lui d...
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Pascal Mérigeau, Quand Angèle fut seule..., 1983
Pascal Mérigeau, Quand Angèle fut seule..., 1983. Bien sûr, tout n'avait pas toujours marché comme elle l'aurait souhaité pendant toutes ces années; mais tout de même, cela lui faisait drôle de se retrouver seule, assise à la grande table en bois. On lui avait pourtant souvent dit que c'était là le moment le plus pénible, le retour du cimetière. Tout s'était bien passé, tout se passe toujours bien d'ailleurs. L'église était pleine. Au cimetière, il lui avait fallu se faire embrasser par tout le...
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- VAUVENARGUES: On dit, Corneille est venu le premier, il a créé le théâtre. Je ne puis souscrire à cela, Corneille avait de grands modèles parmi les anciens, Racine ne l'a pas suivi; personne n'a pris une route, je ne dis pas plus différente, mais plus opposée; personne n'est plus original à meilleur titre. qu'en pensez-vous ?
- « Les utopies sont déprimantes parce qu'elle ne laissent place au hasard, à la différence, aux divers... Tout y a été mis en ordre et l'ordre règne », disait Georges Perec. Il rejoint René Char qui s'interrogeait : « Comment peut-on vivre sans inconnu devant soi ? » Vous vous interrogerez à partir de ces propos, dans un développement argumenté, sur la portée de l'utopie ?
- Un jour, en Sorbonne, un candidat ayant employé la formule connue « le tendre Racine », l'examinateur l'interrompit en disant : « Racine n'est pas tendre, Monsieur, il est féroce. » Vous direz, en vous appuyant sur des faits précis, ce qui a pu faire donner à Racine cette épithète de tendre, et pourquoi d'autres, au contraire, le jugent féroce.
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Émile Zola (1840-1902), Nouveaux Contes à Ninon (1874), "Le Forgeron".
Zola, Nouveaux Contes à Ninon, « Le Forgeron ». J’ai vécu une année chez le Forgeron, toute une année de convalescence. J’avais perdu mon cœur, perdu mon cerveau, j’étais parti, allant devant moi, me cherchant, cherchant un coin de paix et de travail, où je pusse retrouver ma virilité. C’est ainsi qu’un soir, sur la route, après avoir dépassé le village, j’ai aperçu la forge, isolée, toute flambante, plantée de travers à la croix des Quatre-Chemins. La lueur était telle, que la porte charretière...
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Marivaux in La vie de Marianne.
Si M arivaux est plus connu comme homme de théâtre, il fut également journaliste et auteur de deux romans princ ipaux, L e P a y s a n parvenu et La V ie de M arianne. La filiation est d'ailleurs évidente : quel que soit le genre littéraire pratiqué, il s 'y révèle analys te du cœur humain et de s es réticences à avouer son amour. C et épisode de La V ie de M arianne est fondamental c ar il s celle la rencontre et l'ébauc he d'un s entiment amoureux entre M arianne, une jeune fille dont on ignor...
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Vigny écrit dans le Journal d'un poète : « J'aime peu la comédie, qui tient toujours plus ou moins de la charge et de la bouffonnerie.» Il précise plus loin sa pensée en disant: «Je sais apprécier la charge dans la comédie, mais elle me répugne parce que, dans tous les arts, elle enlaidit et appauvrit l'espèce humaine et, comme homme, elle m'humilie. » ?
Vigny écrit dans le Journal d'un poète : « J'aime peu la comédie, qui tient toujours plus ou moins de la charge et de la bouffonnerie.» Il précise plus loin sa pensée en disant: «Je sais apprécier la charge dans la comédie, mais elle me répugne parce que, dans tous les arts, elle enlaidit et appauvrit l'espèce humaine et, comme homme, elle m'humilie. » La comédie, de tous temps, a soulevé bien des controverses. Elle a eu d'ardents partisans comme d'acharnés détracteurs. On a pu vouloir lui confé...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les rayons et les ombres) - Autre guitare
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La Leçon d'Ionesco : en quoi s'agit-il d'une satire de l'enseignement ?
Analyse du sujet et problématisation : Composée en juin 1950, La Leçon fut créée le 20 février 1951 au théâtre de Poche et publiée aux Editions Arcanes en 1953. Cette pièce met en scène la relation pédagogique entre un professeur et son élève de façon caricaturale. En quoi peut-on dire que cette pièce est une satire de l'enseignement ? Par le terme « satire », on entendra une œuvre dont l'objectif est de ridiculiser son sujet afin de le critiquer. La satire est un genre littéraire polémique util...
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Samuel Beckett, Oh ! les beaux jours (1963)
Demande d'échange de corrigé de Smith Elodie ([email protected]). Sujet déposé :Commentaire de \"Oh Les Beaux Jours\" de Beckett Oh les Beaux Jours est une pièce a deux personnages, si on peut considere Willie comme un personnage, qui emmetera quelques grognements durant la piece. Elle fait partie de la fameuse trilogie de théâtre de l'absurde de Beckett avec En Attendant Godot et Fin de Partie. Beckett illustre a travers ces oueuvres la condition humaine qui sera confronte a différent problè...
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Georges Bernanos, Sous le soleil de Satan
M'aimes-tu ? » dit-elle tout à coup d'une voix où la plainte se faisait étrangement grave et dure. Puis elle ajouta aussitôt : Je te demande ça à cause d'une idée que j'ai dans la tête. Quelle idée ? M'aimes-tu ? » reprit-elle soudain de la même voix. En même temps, elle se levait, toute vibrante, ridiculement nue dans son manteau entrouvert, nue et menue, et dans les yeux ce même regard d'où l'orgueil était tombé. ... Réponds-moi ? dit-elle encore, réponds-moi vite ! Voyons... Germaine... Rien...
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BECKETT - En attendant Godot (Estragon et Vladimir)
[Dans cette pièce, qui fut vite célèbre, Beckett a voulu exprimer l'attente indéfinie,- l'espérance sans cesse déçue, et toutes les angoisses de la condition humaine.] Estragon. — En attendant essayons de converser sans nous exalter, puisque nous sommes incapables de nous taire. Vladimir. — C'est vrai, nous sommes intarissables. Estragon. — C'est pour ne pas penser. Vladimir. — Nous avons des excuses. Estragon. — C'est pour ne pas entendre. Vladimir. — Nous avons nos raisons. Estragon. — Tou...
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Marcel PROUST, Le Côté de Guermantes.
Marcel PROUST, Le Côté de Guermantes. Le narrateur reconduit à la maison sa grand-mère qui vient d'être victime d'une congestion cérébrale durant une promenade aux Tuileries. Le soleil déclinait ; il enflammait un interminable mur que notre fiacre avait à longer avant d'arriver à la rue que nous habitions, mur sur lequel l'ombre, projetée par le couchant, du cheval et de la voiture, se détachait en noir sur le fond rougeâtre, comme un char funèbre dans une terre cuite de Pompéi. Enfin nous arriv...
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John Millington Synge
John Millington Synge C'est à Lugné-Poe, directeur du Théâtre de l'OEuvre, que l'on doit la révélation en France de John Millington Synge. Après Pelléas et Mélisande de Maeterlinck ; La Lépreuse de Henry Bataille ; Ubu roi de Jarry, et avant Le Cocu magnifique de Fernand Crommelynck, Lugné-Poe monta en 1913 Le Baladin du monde occidental. Le "découvreur" de tant d'oeuvres originales est bien oublié aujourd'hui, cela pourrait donner à réfléchir une fois de plus à la gloire éphémère des gens de th...
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« Le temps use les oeuvres littéraires, les chefs-d'oeuvre même, quoi qu'on en dise ». Que pensez-vous de cette affirmation de Montherlant ?
« Le temps use les oeuvres littéraires, les chefs-d\'oeuvre même, quoi qu\'on en dise ». Que pensez-vous de cette affirmation de Montherlant ? I. Le vieillissement des oeuvres Les chefs-d'oeuvre du passé ne sont pas bons pour nous. Un critique contemporain (Bac 1982) : « Les personnages que nous présentent les pièces « classiques » appartiennent à des groupes sociaux qui, pour la plupart, ont depuis longtemps quitté la scène de l'Histoire. Les valeurs qui règlent la conduite de ces personnages,...
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Elégies) - La fleur d'eau
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Elégies) - Quand le fil de ma vie...
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- François VILLON (1431-x) (Recueil : Poésies diverses) - Le débat du cœur et du corps de Villon
- Molière, l'Avare, Acte I, scène 3
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - Ecrit après la visite d'un bagne
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Poésies inédites) - Un cri
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Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Méditations poétiques) - Le lac
Commentaire composé du poème « Le Lac » de Lamartine Introduction : Le poème « Le lac » est extrait du recueil des Méditations Poétiques de Lamartine publié en 1820. Dans ce poème, Lamartine évoque ses souvenirs avec sa maîtresse, Julie Charles, récemment décédée, avec qui il avait visité ces lieux autrefois. Les souvenirs du poète revenant sur ce lac ne sont en rien altérés par le temps passés. Lamartine exalte dans ce poème lyrique les thèmes chers aux romantiques : la nature, l’amour déchu, l...
- Baudelaire, Mademoiselle Bistouri.
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Toute la vie d'un coeur - 1822 - Quinze-vingt