Résultats pour "disais+je+"
- Éphraïm MIKHAËL (1866-1890) - Je disais : " Quand viendra la reine que j'attends
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les feuilles d'automne) - Où donc est le bonheur ? disais-je.
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Depuis les temps anciens jusqu'aux tentatives de l'avant-garde, la littérature s'affaire à représenter quelque chose. Quoi ? Je dirai brutalement : le réel. Le réel n'est pas représentable et c'est parce que les hommes veulent sans cesse le représenter par des mots, qu'il y a une histoire de la littérature [...] ou pour mieux dire des productions de langage, qui serait l'histoire des expédients verbaux, souvent très fous pour réduire, apprivoiser, nier, ou au contraire assumer ce qui est toujours un délire, à savoir l'inadéquation fondamentale du langage et du réel. Je disais à l'instant que le littérature est catégoriquement réaliste, en ce qu'elle n'a jamais que le réel pour objet de désir ; et je dirai maintenant, sans me contredire [...], qu'elle est tout aussi obstinément irréaliste ; elle croit sensé le désir de l'impossible. Roland Barthes, Leçon inaugurale prononcée le 7 janvier 1977 au Collège de France (Paris, Seuil, 1978). Vous commenterez et discuterez ces propos ?
« Depuis les temps anciens jusqu'aux tentatives de l'avant-garde, la littérature s'affaire à représenter quelque chose. Quoi ? Je dirai brutalement : le réel. Le réel n'est pas représentable et c'est parce que les hommes veulent sans cesse le représenter par des mots, qu'il y a une histoire de la littérature [...] ou pour mieux dire des productions de langage, qui serait l'histoire des expédients verbaux, souvent très fous pour réduire, apprivoiser, nier, ou au contraire assumer ce qui est toujo...
- Antoine HEROËT (1492-1568) - Coeur prisonnier, je vous le disais bien
- Charles Augustin Sainte-Beuve, Enfant, je m'étais dit...
- Charles SAINTE-BEUVE (1804-1869) (Recueil : Vie, poésies et pensées de Joseph Delorme) - Enfant, je m'étais dit...
- Abraham de VERMEIL (1555-1620) (Recueil : Poésies) - Ores que je suis mort, je vai, je viens, je vire
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie
- Paul Valéry, Je disais à Stéphane Mallarmé..., Variété III,1936.
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Louise LABÉ: Je vis, je meurs...
Je vis, je meurs: je me brûle et me noie, J'ai chaud extrême en endurant froidure; La vie m'est et trop molle et trop dure, J'ai grands ennuis entremêlés de joie. Tout en un coup je ris et je larmoie, Et en plaisir maint grief tourment j'endure, Mon bien s'en va, et à jamais il dure, Tout en un coup je sèche et je verdoie. Ainsi Amour inconstamment me mène Et, quand je pense avoir plus de douleur, Sans y penser je me trouve hors de peine. Puis, quand je crois ma joie être certaine, Et être en ha...
- Jean GODARD (1564-1630) - Tu disais vrai, ô divin Pythagore
- Camus, Les Justes, acte II - Je ne pouvais pas prévoir... Des enfants, des enfants surtout...
- Commentez cette phrase de Ionesco : « Je ne fais pas de la littérature. Je fais quelque chose de tout à fait différent je fais du théâtre ».
- Charles VION D'ALIBRAY (1600-1653) (Recueil : Vers amoureux) - Je ne t'impute point l'amour que je te porte
- Isaac HABERT (1560-1615) - Dieu ! que je suis heureux quand je baise à loisir
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Romances) - Je ne sais plus, je ne veux plus
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Si je monte au Palais, je n'y trouve qu'orgueil
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Je l'ai cueilli ! je l'ai goûté
- Jean-Michel Ribes, Monologues, bilogues, trilogues (1997), Actes Sud-Papiers.
- Etienne JODELLE (1532-1573) (Recueil : Les Amours) - Je me trouve et me pers, je m'asseure et m'effroye
- Sabine SICAUD (1913-1928) (Recueil : Douleur, je vous déteste) - Douleur, je vous déteste
- Jean-Antoine de BAÏF (1532-1589) (Recueil : Amours de Méline) - D'Amour d'Amour je fu je fu blessé
- Sabine SICAUD (1913-1928) (Recueil : Douleur, je vous déteste) - Quand je serai guérie
- Jean-Antoine de BAÏF (1532-1589) (Recueil : Amours de Francine) - Bien, je l'ay dit, je le confesse
- Etienne de LA BOETIE (1530-1563) (Recueil : Vingt neuf sonnetz) - Ô l'ai je dict ? helas ! l'ai je songé ?
- Maurice SCÈVE (1501-1564) (Recueil : Délie) - Tant je l'aimais qu'en elle encor je vis
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Derniers vers) - Je n'ay plus que les os, un Schelette je semble
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Je fus jadis Hercule, or Pasquin je me nomme
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Je l'ai tué, je l'ai tué
- Etienne de LA BOETIE (1530-1563) (Recueil : Vers françois) - Je sçay ton ferme cueur, je cognois ta constance
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Je ne vois pas pourquoi je ferais autre chose
- Théophile de VIAU (1590-1626) - Au moins ai-je songé que je vous ai baisée
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Dans la préface de son recueil de poèmes Les Contemplations (1856), Victor Hugo répond à ceux qui se plaignent des écrivains qui disent moi : « Ah ! quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas ? Ah ! insensé qui crois que je ne suis pas toi ! ?
LE ROMANTISME Hugo écrit dans une de ses préfaces : « Quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas P Ah ! insensé qui 1t:rois que je ne suis pas toi. » En appliquant ce jugement à l'ensemble de nos poètes roman~ tiques, vous montrerez que les sentiments qu'ils expriment, les grands problèmes qu'il évoquent, ont une portée largement humaine. (Rennes) LES GRANDES LIGNES DU PLAN Comme il arrive souvent, la citation n'est qu'un point de départ. Les indications pr...
- Etienne JODELLE (1532-1573) (Recueil : Les Amours) - Je vivois mais je meurs, et mon cour gouverneur
- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - Je suis tant bien que je ne le puis dire
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« Je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance, et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve. Je désire qu'il n'ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voudrais surtout que, sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelque vérité fine qui échappe au vulgaire. » - Vous montrerez que Candide souligné de Voltaire rempli la fonction d'apologue tel que lui-même la définit dans son conte Le Taureau Blanc.
Demande d'échange de corrigé de MOUSTAFA Hatim ([email protected]). \Sujet déposé : Sujet : « Je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance, et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve. Je désire qu'il n'ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voudrais surtout que, sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelque vérité fine qui échappe au vulgaire. » - Vous montrerez que Candide souligné de Voltaire rempli la fonction d'apologue tel que lui-même la définit d...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Je pressais ton bras qui tremble
- Chateaubriand - Mémoires d'outre-tombe
- Laclos, Les Liaisons dangereuses, lettre CLII
- Jules BARBEY D'AUREVILLY (1807-1889) (Recueil : Poussières) - La Maîtresse rousse
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Toute la vie d'un coeur - 1822 - Quinze-vingt
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Nouvelles méditations poétiques) - Sapho
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Méditations poétiques) - L'immortalité
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Dernière gerbe) - C'était la première soirée
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En faisant appel à votre expérience et à vos connaissances historiques et littéraires, vous expliquerez et apprécierez le précepte de Voltaire : «Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'au bout pour que vous puissiez le dire. »
En faisant appel à votre expérience et à vos connaissances historiques et littéraires, vous expliquerez et apprécierez le précepte de Voltaire : «Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'au bout pour que vous puissiez le dire. » En déclarant «Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'au bout pour que vous puissiez le dire », Voltaire donne une leçon de tolérance et définit ce que doit être l'esprit démocratique. La valeur de sa form...
- Chateaubriand a écrit : « Oh ! argent que j'ai tant méprisé et que je ne puis aimer quoi que je fasse, je suis forcé d'avouer pourtant ton mérite : source de la liberté, tu arranges mille choses dans notre existence, où tout est difficile sans toi. Excepté la gloire, que ne peux-tu pas procurer ? Avec toi on est beau, jeune, adoré ; on a considérations, honneurs, qualités, vertus. Vous me direz qu'avec de l'argent on n'a que l'apparence de tout cela : qu'importe si je crois vrai ce qui est faux ? »
- Paul Eluard, Le Phénix, « Je t'aime »
- Jacques GRÉVIN (1538-1570) - Plus je suis tourmenté...
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Je n'escris point d'amour, n'estant point amoureux
- Olivier de MAGNY (1530-1561) - Je cherche paix ...