Résultats pour "dis+nous"
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Quoique nous le voyions fleurir
- Alphonse ALLAIS (1854-1905) - Nous nous étalons
- Victor HUGO (1802-1885) - A qui donc sommes-nous ?
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Oh ! dis ! pourquoi toujours regarder sous la terre
- « Fidèle à Horace et sa conception utilitaire de l'art, Rabelais s'est cette fois clairement fixé pour but, tout en nous faisant rire et en riant lui-même de concert avec nous, de nous instruire et de nous éduquer ». Pensez-vous que cette réflexion puisse s'appliquer au Gargantua ?
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - Pensée des morts
- Pensez-vous que le théâtre comique, ou film comique, ont pour but unique de nous faire oublier la réalité en nous distrayant, en nous divertissant ?
- Stéphane MALLARME (1842-1898) (Recueil : Autres poèmes) - Si tu veux nous nous aimerons
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Odes funambulesques) - L'amour à Paris
- Jules BARBEY D'AUREVILLY (1807-1889) (Recueil : Poussières) - La beauté
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le coeur solitaire) - L'amour nous fait trembler comme un jeune feuillage
- Paul SCARRON (1610-1660) - Chanson : Nous nous estions promis...
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Regarde au fond de nous : nous sommes l'Emeraude
- Montesquieu, Lettres persanes (1721) LETTRE LXVIII
- Olivier de MAGNY (1530-1561) (Recueil : Dix-neuf sonnets inédits) - Gordes, que ferons-nous ? Aurons-nous point la paix ?
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Elégies) - Quand le fil de ma vie...
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - La nuit d'octobre
- P. Jaccottet écrit : « Les oeuvres ne nous éloignent pas de la vie, elles nous y ramènent, nous aident à mieux vivre, en rendant au regard son plus haut objet ». Vous vous interrogerez sur ce jugement, en vous référant aux oeuvres littéraires que vous avez appréciées ?
- Commentez : "À moins de rompre en quelque façon le pacte de solidarité qui le lie à l'oeuvre, le critique n'est capable que de paraphrase ou de pastiche (...) Ainsi, malgré notre désir de nous abîmer dans les profondeurs vivantes de l'oeuvre, nous sommes contraints de nous distancer d'elle pour pouvoir en parler."
- Pourquoi écrivez-vous ? Demande-t-on souvent à l'écrivain. Vous devriez le savoir, pourrait répondre l'écrivain à ceux qui posent la question. Vous devriez le savoir puisque vous nous lisez, car si vous nous lisez et si vous continuez de nous lire, c'est que vous avez trouvé de qui lire, quelque chose comme une nourriture, quelque chose qui répond à votre besoin... Si je suis écrivain, pourquoi êtes-vous mon lecteur ? C'est en vous-même que vous trouvez la réponse à la question que vous me posez. Comment comprenez-vous cette repartie surprenante d'Eugène Ionesco ?
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La journée se passe de cette sorte à folâtrer avec la plus grande liberté, et toujours avec la plus grande décence. Pas un seul mot équivoque, pas une seule plaisanterie hasardée ; et cette décence, nous ne nous l'imposions point du tout, elle venait tout
TEXTE La journée se passe de cette sorte à folâtrer avec la plus grande liberté, et toujours avec la plus grande décence. Pas un seul mot équivoque, pas une seule plaisanterie hasardée ; et cette décence, nous ne nous l'imposions point du tout, elle venait toute seule, nous prenions le ton que nous donnaient nos coeurs. Enfin ma modestie, d'autres diront ma sottise, fut telle que la plus grande privauté qui m'échappa fut de baiser une seule fois la main de Mlle Galley. Il est vrai que la circons...
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - Souvenir
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Vous commenterez ce jugement d'un critique contemporain sur Pascal : « Ce puissant génie nous confond par la diversité de ses dons. Comme savant il est l'égal des plus illustres. Ses pensées nous le révèlent comme un grand moraliste. Son style est celui d'un homme de science et d'un poète. » ?
PLAN DÉTAILLÉ Ce qui frappe dès l'abord chez Pascal, c'est la diversité de ses dons. Homme de science, il a ouvert, par ses découvertes dans le domaine des mathématiques et de la physique, des voies nouvelles et fécondes. Moraliste profond et nuancé, il s'attache à analyser les faiblesses de la nature humaine. Écrivain, il unit dans son style, à la précision du savant, la sensibilité et l'imagination d'un poète. I. Le savant La formation de Pascal et ses aptitudes l'orientèrent d'abord vers les...
- Jean-Jacques Rousseau, Les Confessions. La cueillette des cerises
- André-Modeste Grétry Réflexion d'un solitaire (Chapitre Amour et Respect)
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BECKETT - En attendant Godot (Estragon et Vladimir)
[Dans cette pièce, qui fut vite célèbre, Beckett a voulu exprimer l'attente indéfinie,- l'espérance sans cesse déçue, et toutes les angoisses de la condition humaine.] Estragon. — En attendant essayons de converser sans nous exalter, puisque nous sommes incapables de nous taire. Vladimir. — C'est vrai, nous sommes intarissables. Estragon. — C'est pour ne pas penser. Vladimir. — Nous avons des excuses. Estragon. — C'est pour ne pas entendre. Vladimir. — Nous avons nos raisons. Estragon. — Toutes...
- Maurice BARRÈS, N'importe où hors du monde, 1958
- Lesage, Gil Blas de Santillane, I, 8
- Molière, Dom Juan, Acte I, scène 1
- Balzac, Le Père Goriot (corruption des ménages : amour et argent).
- Alfred de VIGNY (1797-1863) (Recueil : Poèmes antiques et modernes) - La Frégate La Sérieuse
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - A celle qui est restée en France
- Molière, Dom Juan, acte IV, scène 3.
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La fin de Satan) - Le cantique de Bethphagé
- Molière, l'Avare, Acte I, scène 3
- Jules BARBEY D'AUREVILLY (1807-1889) (Recueil : Poussières) - La haine du soleil
- Mérimée, La Vénus d'Ille.
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On a souvent remarqué que, parmi les poètes du XVIe siècle, Du Bellay est un de ceux qui nous semble le plus près de nous, le plus moderne. En étudiant son oeuvre, expliquez cette impression.
Introduction : a) Les œuvres de la Pléiade produisent généralement sur nous une impression contradictoire : Tout en étant très sincères, elles sont encombrées d'une érudition intempestive qui nous rebute. b) Seul Du Bellay échappe en partie à ce reproche; il nous semble plus près de nous, plus moderne. c) A quoi peut tenir cette impression ? I. — Simplicité et naturel : a) même encore marquées par l'imitation, ses premières œuvres restent d'allure moderne par leur discrétion; b) il ne traite que...
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - Pourquoi mon âme est-elle triste ?
- Molière, L'Avare, Acte III, Scène V
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Je dédie à tes pleurs, à ton sourire
- Discutez ce propos : les lettres nous rendent juste en morale et nous apprend à vivre ?
- Népomucène LEMERCIER (1771-1840) - La panhypocrisiade
- Rabelais, Pantagruel, chapitre XXXII
- Nous n'héritons pas de la Terre de nos ancêtres, nous l'empruntons à nos enfants - Saint Exupéry ?
- «Nous sommes habitués depuis l'enfance à préférer nos propres usages qui nous semblent supérieurs aux autres.» ?
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - L'infini dans les cieux
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Rousseau écrit: La tragédie est si loin de nous, elle nous présente des êtres si gigantesques, si boursouflés, si chimériques que l'exemple de leurs vices n'est guère plus contagieux que celui de leurs vertus n'est utile. Partagez-vous cette condamnation de la tragédie par Rousseau ? Vous appuierez votre argumentation sur des exemples précis tirés des tragédies de RACINE que vous connaissez ?
Sujet : Rousseau écrit: La tragédie est si loin de nous, elle nous présente des êtres si gigantesques, si boursouflés, si chimériques que l'exemple de leurs vices n'est guère plus contagieux que celui de leurs vertus n'est utile. Partagez-vous cette condamnation de la tragédie par Rousseau ? Vous appuierez votre argumentation sur des exemples précis tirés des tragédies de RACINE que vous connaissez ? On connaît la thèse de la Lettre à d'Alembert : le théâtre est pernicieux. La tragédie est funes...
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que nous apprend un écrit biographique (quelle que soit sa nature) nous permet-il de mieux connaître et apprécier l'oeuvre d'un écrivain ?
Texte 1 La servante au grand coeur dont vous étiez jalouse Et qui dort son sommeil sous une humble pelouse, Nous devrions pourtant lui porter quelques fleurs. Les morts, les pauvres morts, ont de grandes douleurs, Et quand Octobre souffle, émondeur des vieux arbres, Son vent mélancolique à l'entour de leurs marbres, Certes, ils doivent trouver les vivants bien ingrats, De dormir, comme ils le font, chaudement dans leurs draps, Tandis que, dévorés de noires songeries, Sans compagnon de lit, sans...
- Voltaire, Dictionnaire philosophique « Beau » :