Résultats pour "affirme+"
- A propos des utopies, le philosophe contemporain Cioran affirme : « La nouvelle terre qu'on nous annonce affect de plus en plus la figure d'un nouvel enfer. » Expliquez et discutez cette affirmation en vous appuyant sur le corpus et vos lectures personnelles ?
- Un critique affirme : « Les lettres ouvertes sont plus des lettres sur... que des lettres à... ». Vous expliquerez, commenterez et discuterez cette affirmation.
- Goethe affirme en 1829 dans sa Conversation avec Eckermann : « J'appelle classique ce qui est beau, romantique ce qui est malade ». Dans quelle mesure, cette affirmation peut-elle s'appliquer aux oeuvres étudiées ?
- Après avoir écrit : « Au même Baudelaire appartient une autre initiative. Le premier parmi nos poètes, il subit, il invoque, il interroge la Musique... », Paul Valéry affirme : « Ce qui fut baptisé : le Symbolisme, se résume très simplement dans l'intention commune à plusieurs familles de poètes (d'ailleurs ennemies entre elles) de reprendre à la Musique leur bien. » (Variété I, Avant-propos à « La connaissance de la Déesse », pp. 95 et 97. Valéry pense à la phrase où Mallarmé parle d'un art capable « d'achever la transposition, au livre, de la symphonie ou uniment de reprendre notre bien ».) Vous commenterez cette affirmation. ?
- A propos de l'utopie, le philosophe contemporain Cioran déclare : « Les nouvelles terres qu'elles (= les utopies) proposent affectent de plus en plus la figure d'un nouvel enfer ». Discutez cette affirmation en vous aidant des textes du corpus et d'autres utopies ou contre-utopies que vous connaissez.
-
On considère souvent les personnage des contes de Voltaire comme des marionnettes. Quel sens donnez-vous à ce mot ? Appréciez cette affirmation en vous appuyant sur vos lectures personnelles et surtout sur les contes voltairien que vous avez lu (Zadig, Micromégas , l'ingénue) et en particulier de Candide
?
I Le personnage du conte, une marionnette pour le destin _ Les évènements mènent le personnage, qui pour sa part peine à créer un évènement, et plus encore agir dans le réel de manière à satisfaire un désir quelconque. On peut citer l'exemple du tournoi que Zadig remporte, mais dont la victoire lui échappe par une ruse de son concurrent, quoique cette scène ne soit qu'une déclinaison de l'ironie voltairienne appliqué à la structure de ses récits. Quoi qu'il en soit, les protagonistes, en dépit d...
- Commentez cette affirmation : on ne doit parler, on ne doit écrire que pour instruire ?
- Peut-on affirmer que les genres autobiographique et biographique sont les plus proches de la vérité ?
- « Le genre parodie/pastiche [...] suppose une certaine compétence du lecteur comme condition du pacte de lecture. » Expliquez cette affirmation ?
- Écrire c'est le dernier recours quand on a trahi ; le projet d'écrire son autobiographie vous semble-t-il répondre à cette affirmation ?
- Gouhier dans son oeuvre l'essence du théâtre affirme que "l'âme du théâtre c'est d'avoir un corps". Commentez et discutez cette opinion ?
- Que pensez vous de cette affirmation ? Vous vous appuierez sur le corpus, les oeuvres étudiées en classe et vos lectures personnelles ?
- Voltaire affirme : Moi, j'écris pour agir. Quelle action permet lŽécriture et si cŽest la seule fonction que lŽon attend dŽun texte littéraire ?
- « le je de l'autobiographie est le centre du monde, le je du mémorialiste est au centre du monde » Expliquez et commentez cette affirmation ?
- Loin de discerner ou encore de singulariser, la mode intègre; le modèle qu'elle impose est un uniforme, qui uniformise Vous discuterez cette affirmation ?
- Dans la préface d'une édition moderne des Châtiments, un critique déclare : « Les Châtiments sont un livre actuel ». Que pensez-vous de cette affirmation ?
- Êtes-vous d'accord pour affirmer avec une critique de la pièce de Beaumarchais que la pièce du Barbier de Séville est fait sur du rien ?
- Dans quelle mesure pouvez-vous affirmer que : Si Polyeucte est la plus parfaite des tragédies c'est peut-être parce que le métier y est d'une adresse achevée ?
- « Le public aime les romans faux » déclarent les frères Goncourt dans la préface de Germinie Lacerteux, êtes-vous d'accord avec cette affirmation ? Vous fonderez votre réflexion sur des exemples précis.
- "Le public aime les romans faux" déclarent les frères Goncourt dans la préface de Germinie Lacerteux, êtes-vous d'accord avec cette affirmation ? Vous fonderez votre réflexion sur des exemples précis ?
- "En toute société, l'artiste, l'écrivain demeure un étranger" affirme Simone de Beauvoir dans la Force de l'Âge. Partagez-vous cette opinion sur la place et la fonction de l'artiste dans la société ?
- En toute société, l'artiste, l'écrivain demeure un étranger affirme Simone de Beauvoir dans la Force de l'Âge. Partagez-vous cette opinion sur la place et la fonction de l'artiste dans la société ?
- Dans ses Confessions, Jean-Jacques Rousseau affirme vouloir dire toute la vérité sur son passé. Selon vous, l'écriture autobiographique et les différents pactes de sincérité qui l'accompagnent sont-ils les garants d'une image fidèle ?
- « La pensée complexe est non pas ce qui évite ou supprime le défi, mais ce qui aide à le relever ». Dans un développement structuré, vous exposerez les réflexions et commentaires que vous inspire cette affirmation ?
- Le poète Saint-John Perse affirme : La personnalité même du poète n'appartient en rien au lecteur, qui n'a droit qu'à l'oeuvre révolue, détachée comme un fruit sur son arbre. Partagez-vous son point de vue ?
- Tout ce qui est dans la nature est dans l'art dit Victor Hugo dans Cromwell, et plus loi, Le domaine de l'art et celui de la nature sont parfaitement distincts. Comment concilier ces deux affirmations qui semblent contradictoires ?
- La pièce de Molière Tartuffe a pour titre le nom du personnage qui est au coeur de l'oeuvre et qui apparaît comme le personnage principal. Toutefois cette dernière affirmation semble discutable à la lecture de la pièce dans son ensemble ?
- Je veux semer dans les coeurs, au milieu de mes paroles indignées, l'idée d'un châtiment autre que le carnage écrit Hugo à son éditeur à propos des Châtiments. Les livres des Châtiments que vous avez étudiés confirment-ils cette affirmation ?
- « Je veux semer dans les coeurs, au milieu de mes paroles indignées, l'idée d'un châtiment autre que le carnage », écrit V. Hugo à son éditeur à propos des Châtiments. Les livres des Châtiments que vous avez étudiés illustrent-ils cette affirmation ?
- « Les bons ouvrages ne sont pas nécessairement subversifs, mais, tous, ils remuent l'esprit et réveillent les pensées », F. Bott, article dans Le Monde, octobre 1983. Après avoir expliqué cette affirmation, vous l'approfondirez en vous appuyant sur des analyses tirées de vos lectures ?
- « Les grands livres changent la vie, les bons l'éclairent, les mauvais l'attristent ». M. Robert, Livres de lectures. Après avoir expliqué cette affirmation, vous vous demanderez dans quelle mesure elle correspond à votre expérience : vous vous appuierez sur des analyses tirées de vos lectures ?
- « Toutes les situations dramatiques peuvent être rendues comiques avec un peu d'adresse ». (Souriau) Expliquez cette affirmation en précisant à quoi peut tenir le comique d'une situation à l'origine du dramatique dans la pièce de Molière, Dom Juan et dans le Mariage de Figaro de Beaumarchais ?
- L'intérêt des Mémoires, des confessions, des autobiographies, tient a ce que la vie de chaque homme devient ainsi un miroir où chacun peut s'étudier, dans une partie du moins de ses qualités ou de ses défauts », écrit Gérard de Nerval (Les Illuminés, 1852). Expliquez et commentez cette affirmation ?
- Que pensez-vous de cette affirmation de Victor Hugo dans la préface des Odes et Ballades (1826) : Le poète ne doit avoir qu'un modèle, la nature ; qu'un guide, la vérité. Il ne doit pas écrire avec ce qui a été écrit, mais avec son âme et son coeur ?
- Seriez-vous aussi sévère qu'un critique affirmant, à propos de la reprise des mythes antiques par les dramaturges modernes : « Il y a une étonnante mesquinerie à rapetisser ainsi ces grandes figures qui, sur la route de l'humanité, incarnent nos éternelles passions. » ? Pour répondre, vous vous appuierez sur la pièce étudiée cette année ?
- Un écrivain contemporain déclare : « Je me propose non de vous faire frémir ou pleurer mais de vous faire réfléchir ». Cette affirmation peut-elle être appliquée, selon vous, à l'oeuvre théâtrale du XXe siècle, inspirée d'un mythe antique, que vous avez étudiée cette année ? Vous répondrez dans un développement composé, illustré de références à cette oeuvre ?
- Dans une interview où il expliquait son désir de monter l'École des femmes et d'y jouer le rôle d'Arnolphe, le comédien et metteur en scène Marcel Maréchal déclarait : « Agnès est un plaidoyer vivant pour la femme ». En vous appuyant sur des éléments précis tirés du texte, vous expliquerez et éventuellement discuterez cette affirmation. ?
- Dans la préface de son Dictionnaire philosophique Voltaire écrit : les livres les plus utiles sont ceux dont les lecteurs font eux-mêmes la moitié; ils entendent les pensées dont on leur présente le germe ; ils corrigent ce qui leur semble défectueux, et fortifient par leurs réflexions ce qui leur parait faible. Que pensez-vous de cette affirmation ?
-
« Pour l'artiste, et en dépit de ses convictions politiques les plus fermes, en dépit même de sa bonne volonté de militant, l'art ne peut être réduit à l'état de moyen au service d'une cause qui le dépasserait, celle-ci fût-elle la plus juste, la plus exaltante ». Vous commenterez et discuterez à l'aide d'exemples précis cette affirmation d'Alain Robbe-Grillet, écrivain contemporain ?
Analyse du sujet et problématisation : Le sujet s'intéresse à l'art en général : il ne faudra donc pas négliger les exemples extra-littéraires, issus du domaine des beaux-arts ou du cinéma. Robbe-Grillet nie ici l'utilisation militante de l'art, au service d'une cause. Cette utilisation est envisagée comme une « réduction » de l'art, comme une sorte d'asservissement incompatible avec les fins véritables de l'art. Robbe-Grillet souligne plus particulièrement ici l'incompatibilité entre art et pol...
- Beaucoup affirment que le théâtre ne prend son véritable sens que pendant la représentation et grâce à elle - la simple lecture de l'oeuvre rédigée par l'écrivain passerait ainsi à côté de l'essentiel : on ne peut pas lire le théâtre . Vous expliquerez, en vous référant à des textes de théâtre étudiés en classe ou à d'autres expériences de spectacle, ce que vous pensez de cette affirmation ?
- Analysant la complexité de la pensée de Camus sur la religion, Marcel Mélançon conclut : La position la plus honnête (...) est certainement celle qui prend la pensée de Camus là où elle s'est arrêtée : entre le OUI et le NON. On ne peut pas dire qu'il soit athée, puisqu'il a le sens du sacré, on ne peut pas non plus affirmer qu'il soit chrétien puisqu'il l'a refusé. Expliquez et critiquez cette réflexion ?
- Un critique contemporain affirme : La comédie vit des changements de rythme, du hasard, et de l'invention dramaturgique et scénique. Cela ne signifie pas toutefois que la comédie bafoue toujours l'ordre et les valeurs de la société où elle opère. Analysez et commentez ces propos en vous appuyant sur Casina ou les tireurs de sort de Plaute, Les Fourberies de Scapin de Molière, et Arlequin serviteur de deux maîtres de Goldoni. ?
-
O. Wilde aurait dit au sujet d'un personnage de Balzac : « La mort de Lucien de Rubempré est le plus grand drame de ma vie ». M. Vargas LLosa commentant cette phrase ajoute : « Une poignée de personnages littéraires ont marqué ma vie de façon plus durable qu'une bonne partie des êtres en chair et en os que j'ai connus ». Que pensez-vous de ces affirmations ? Vous répondrez en vous appuyant sur des exemples précis ?
L e s d e u x c itations s ur les q u e l l e s no u s a v o n s à réfléc hir aujourd'hui abondent dans l e m ê m e s e n s : les pers o n n a g e s littéraires peuvent a c e point s e faire c onnaitre, appréc ier, aimer de nous , qu'ils n ou s d e v i e n n e n t a u s s i proc h e s , s i n o n d a v a n t a g e , q u e l e s i n d i v i d u s réels dont nous s o m m e s les c o n t e m p o r a i n s . Alors qu'Os c ar Wilde exprime d'un ton fac étieux et s pirituel c ette idée, en donnant pou...
- « La création poétique est d'abord une violence faite au langage. Son premier acte est de déraciner les mots. Le poète les soustrait à leurs connexions et à leurs emplois habituels », écrit le poète contemporain mexicain Octavio Paz (L'Arc et la Lyre), faisant écho à Saint-John Perse qui affirme : « Poète est celui-là qui rompt avec l'accoutumance ». En vous appuyant sur les textes du corpus et sur vos lectures personnelles, vous expliquerez et développerez ces définitions de l'acte poétique ?
- La biographie ou l'autobiographie était jadis une entreprise réservée exclusivement à des personnes célèbres. Au cours des années cette exclusivité c'est peut à peut élargie à des personnes de moins en moins connues, pour aujourd'hui être accessible à presque tous. A la fin de sa propre autobiographie (Les Mots) J.P. Sartre dit : « Tout un homme, fait de tous les hommes et qui les vaut tous et que vaut n'importe qui. » Est-ce que cette affirmation rend elle compte de l'autobiographie à travers les âges ?
- « L'esthétique de l'épopée n'est pas celle du drame : le paroxysme ne se trouve pas à la fin, mais au milieu, comme dans cette chanson où la mort de Roland est la flèche mystique d'une cathédrale héroïque. [...] L'accumulation incantatoire, les répétitions qui tassent le récit, apparentent l'art épique à la musique [...] et à l'architecture, selon une disposition du temps et de l'espace déterminée par une intention symbolique. On veut suggérer l'élan militaire ou mystique, provoquer l'admiration ou l'horreur. » Commentez et discutez ces affirmations de D. Poirion ?
-
Alors qu'il cherchait vainement un éditeur pour A la recherche du temps perdu, Proust écrivait en 1913, à la Nouvelle Revue française : Le point de vue métaphysique et moral prédomine partout dans l'oeuvre. Quelles réflexions vous inspire cette affirmation, si vous considérez plus particulièrement Du côté de chez Swann, qui parut à la fin de cette même année ?
Alors qu\'il cherchait vainement un éditeur pour A la recherche du temps perdu, Proust écrivait en 1913, à la Nouvelle Revue française : Le point de vue métaphysique et moral prédomine partout dans l\'oeuvre. Quelles réflexions vous inspire cette affirmation, si vous considérez plus particulièrement Du côté de chez Swann, qui parut à la fin de cette même année ? Pourquoi cette affirmation? L'écrivain accumule pendant les premiers mois de 1913 les démarches auprès des éditeurs pour faire publier...
-
Dans Le Théâtre, A. Ubersfeld affirme : L'une des caractéristiques les plus étonnantes du texte théâtral, la moins visible, mais peut-être la plus importante, c'est son caractère incomplet. Pour elle, le texte théâtral est donc un texte troué, qui exige du metteur en scène une interprétation. Vous discuterez ce point de vue en prenant appui sur les textes du Corpus et sur les oeuvres que vous avez lues ou étudiées, notamment Rhinocéros.
Sujet: Dans Le théâtre, A Ubersfeld affirme: "Une des caractéristiques les plus étonnantes du texte théâtral, la moins visible, mais peut-être la plus importante, c'est son caractère incomplet". Pour elle le texte théâtral est donc un texte troué qui exige du metteur en scène une interprétation. Vous discuterez ce point de vue en prenant appui sur les oeuvres que vous avez lu ou étudié. Anne Ubersfeld adopte une position provocatrice en affirmant que le texte théâtral est "incomplet", ce qui sug...