38 résultats pour "1596"
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Pierre de MARBEUF (1596-1645) - L'anatomie de l'oeil
Pierre de Marbeuf, « L'anatomie de l'œil ». 1. L'œil est dans un château que ceignent les frontières 2. De ce petit vallon clos de deux boulevards, 3. Il a pour pont-levis les mouvantes paupières, 4. Le cil pour garde-corps, les sourcils pour remparts. 5. Il comprend trois humeurs, l'aqueuse, la vitrée, 6. Et celle de cristal qui nage entre les deux, 7. Mais ce corps délicat ne peut souffrir l'entrée 8. A cela que nature a fait de nébuleux. 9. Six tuniques tenant notre oeil en consistance 10. L...
- Pierre de MARBEUF (1596-1645) - Songe
- Pierre de MARBEUF (1596-1645) - Le Solitaire
- Pierre de MARBEUF (1596-1645) - Discrétion
- Pierre de MARBEUF (1596-1645) - L'Iris
- Pierre de MARBEUF (1596-1645) - L'amour de mes pensers...
- Pierre de MARBEUF (1596-1645) - Le miracle d'amour
- Pierre de MARBEUF (1596-1645) - Le sein d'Amaranthe
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- Pierre de MARBEUF (1596-1645) - Les yeux d'Amaranthe
- Pierre de MARBEUF (1596-1645) - Les oreilles d'Amaranthe
- Pierre de MARBEUF (1596-1645) - Les cheveux d'Amaranthe
- Pierre de MARBEUF (1596-1645) - Les joues d'Amaranthe
- Claude MALLEVILLE (1596-1647) - La belle matineuse
- Pierre de MARBEUF (1596-1645) - La bouche d'Amaranthe
- Pierre de MARBEUF (1596-1645) - Les mains d'Amaranthe
- Pierre de MARBEUF (1596-1645) - Sur le retour d'Hélène à Paris
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- Claude MALLEVILLE (1596-1647) - À une dame qui lui demandait des énigmes
- Pierre de MARBEUF (1596-1645) - Conclusion des beautés d'Amaranthe
- Claude MALLEVILLE (1596-1647) - Imitation du Cavalier Marin
- Pierre de MARBEUF (1596-1645) - Un manteau de feuille morte
- Claude MALLEVILLE (1596-1647) - Si tôt que j'eus quitté les délices du port
- Claude MALLEVILLE (1596-1647) - L'étoile de Vénus si brillante et si belle
- Pierre de MARBEUF (1596-1645) - Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage
- Claude MALLEVILLE (1596-1647) - Le silence régnait sur la terre et sur l'onde
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- Pierre de MARBEUF (1596-1645) - La liberté des champs fait décrire à Silvandre
- Claude MALLEVILLE (1596-1647) - Philis, les yeux en pleurs et le coeur en tristesse
- Claude MALLEVILLE (1596-1647) - Cloris dont la présence à mes yeux est si chère
- Claude MALLEVILLE (1596-1647) - Quand Philis chaque jour inventait quelque outrage
- Madeleine de l' AUBESPINE (1546-1596) - L'on verra s'arrêter le mobile du monde
- Jean de LA GESSEE (1551-1596) (Recueil : La Marguerite) - Le feu bruslant, ou la torche allumée
- Jean de LA GESSEE (1551-1596) (Recueil : La Marguerite) - Les vers Toscans du Cygne Florentin
- Jean de LA GESSEE (1551-1596) (Recueil : La Marguerite) - Si je la voy pres d'un ruisseau coulant
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- Jean de LA GESSEE (1551-1596) (Recueil : La Marguerite) - L'esté grillant, et le chaud Sirien
- Jean de LA GESSEE (1551-1596) (Recueil : La Grasinde) - Grasinde, vous semblez à la vigne sauvage
- Jean de LA GESSEE (1551-1596) (Recueil : Les Meslanges) - Doctime amy, qu'Amour docteur anime
- Jean de LA GESSEE (1551-1596) (Recueil : La Marguerite) - Le jour, le point, mille foys attendu
- Jean de LA GESSEE (1551-1596) (Recueil : La Marguerite) - Le feu brusque, et leger, aus Astres s'achemine
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BÉROALDE DE VERVILLE (François BROUARD, dit)
BÉROALDE DE VERVILLE (François BROUARD, dit) Béroalde de Verville concentre admirablement les défis de la Renaissance, dont celui d'avoir engagé avec le lecteur une redoutable partie d'interprétation. Science, spiritualité et romans. Fils d'un professeur humaniste célèbre, Mathieu Béroalde, l'auteur est d'abord élevé dans la religion réformée : condisciple de d'Aubigné et de Pierre de L'Estoile, on le trouve au siège de Sancerre, puis à Genève (1572). C'est dans cette ville qu'il fait probableme...