39 résultats pour "1557"
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Jean de SPONDE (1557-1595) - Qui sont, qui sont ceux-là, dont le coeur idolâtre
Jean de SPO N DE ( 1557-1595) « Qui s ont, qui s ont c eux-là, dont le c œur idolâtre… » « Qui s ont, qui s ont c eux-là, dont le c œur idolâtre Se jette aux pieds du M onde, et flatte s e s honneurs Et qui s ont c e s valets , et qui s ont c e s Seigneurs , Et c e s â m e s d'Ebène, et c e s fac e s d'Albâtre ? C e s m a s q u e s d é g u i s é s , dont la troupe folâtre S ' a m u s e à c ares s er je ne s a i s q u e l s donneurs De fumées de Cour, et c e s entrepreneurs De vainc re enc or...
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Jean de SPONDE (1557-1595) - Je contemplais un jour le dormant de ce fleuve
Jean de SPONDE, « Je contemplais un jour le dormant de ce fleuve ». Je contemplais un jour le dormant de ce fleuve Qui traîne lentement les ondes dans la mer, Sans que les Aquilons le fassent écumer Ni bondir, ravageur, sur les bords qu'il abreuve. Et contemplant le cours de ces maux que j'épreuve, Ce fleuve, dis-je alors, ne sait que c'est d'aimer ; Si quelque flamme eût pu ses glaces allumer, Il trouverait l'amour ainsi que je le treuve. S'il le sentait si bien, il aurait plus de flots, L'Amou...
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Jean de SPONDE (1557-1595) - Je sens dedans mon âme une guerre civile
Jean de SPONDE, « Je sens dedans mon âme une guerre civile ». 1. Je sens dedans mon âme une guerre civile, 2. D'un parti ma raison, mes sens d'autre parti, 3. Dont le brûlant discord ne peut être amorti 4. Tant chacun son tranchant l'un contre l'autre affile. 5. Mais mes sens sont armés d'un verre si fragile 6. Que si le coeur bientôt ne s'en est départi 7. Tout l'heur vers ma raison se verra converti, 8. Comme au parti plus fort, plus juste et plus utile. 9. Mes sens veulent ployer sous ce pes...
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Jean de SPONDE (1557-1595) - Si c'est dessus les eaux que la terre est pressée
Jean de SPONDE, « Si c est dessus les eaux que la terre est pressée ». 1. Si c'est dessus les eaux que la terre est pressée, 2. Comment se soutient-elle encor si fermement, 3. Et si c'est sur les vents qu'elle a son fondement, 4. Qui la peut conserver sans être renversée ? 5. Ces justes contrepoids qui nous l'ont balancée 6. Ne penchent-ils jamais d'un divers branlement ? 7. Et qui nous fait solide ainsi cet élément, 8. Qui trouve autour de lui l'inconstance amassée ? 9. Il est ainsi, ce corps...
- Jean BOUCHET (1476-1557) - Quand nous aurons bon temps
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Sur sa fièvre
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Stances
- Jean BOUCHET (1476-1557) - Quand il lui plaît, Fortune fait avoir
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- Jean de SPONDE (1557-1595) - Si j'avais comme vous, mignardes colombelles
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Stances de la mort
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Vous languissez, mes vers...
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Qui serait dans les Cieux, et baisserait sa vue
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Il est vrai, mon amour était sujet au change
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Pour qui tant de travaux ? pour vous? de qui l'aleine
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Tandis que dedans l'air un autre air je respire
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Ne vous étonnez point si mon esprit qui passe
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- Jean de SPONDE (1557-1595) - Tout le monde se plaint de la cruelle envie
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Mon Soleil qui brillez de vos yeux dans mes yeux
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Mon Dieu, que je voudrais que ma main fût oisive
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Et quel bien de la Mort ? où la vermine ronge
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Ma belle languissait dans sa funeste couche
- Jean BOUCHET (1476-1557) - Quand j'ois parler d'un prince et de sa cour
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Quand le vaillant Hector, le grand rempart de Troie
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Mon coeur ne te rends point à ces ennuis d'absence
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- Jean de SPONDE (1557-1595) - Si tant de maux passez ne m'ont acquis ce bien
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Mortels, qui des mortels avez pris vostre vie
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Helas ! contez vos jours : les jours qui sont passez
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Mais si mon foible corps (qui comme l'eau s'escoule)
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Les vents grondaient en l'air, les plus sombres nuages
- Antoine FAVRE (1557-1624) (Recueil : Les Entretiens spirituels) - Quelles obscuritez, quels importuns nuages
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Tout s'enfle contre moy, tout m'assaut, tout me tente
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Voulez-vous voir ce traict qui si roide s'eslance
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- Antoine FAVRE (1557-1624) (Recueil : Les Entretiens spirituels) - Ce n'est pas sans raison, que l'homme on accompare
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Ha ! que j'en voy bien peu songer à ceste mort
- Jean Edouard DU MONIN (1557-1586) (Recueil : Les nouvelles oeuvres) - Si quand il faut tirer le rideau de la vie
- Antoine FAVRE (1557-1624) (Recueil : Les Entretiens spirituels) - Il estoit bien seant que ce corps veritable
- Antoine FAVRE (1557-1624) (Recueil : Les Entretiens spirituels) - Le Phenix ja chargé de chair, et de vieillesse
- Jean Edouard DU MONIN (1557-1586) (Recueil : Amours de Rondelette) - Traitres yeux mis au guet de ma haute eschauguette
- Antoine FAVRE (1557-1624) (Recueil : Les Entretiens spirituels) - Ô nuict, heureuse nuict, plus blanche que l'aurore